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Sujet Editorial du 28 mai 2016 : commentaires

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1 Editorial du 28 mai 2016 : commentaires

Une partie de la France est en grève et, quoi que l’on puisse penser du bienfondé de cette dernière et des actions de ceux qui la conduisent, on s’étonnera vraiment du vocabulaire employé par quantité de médias, le gouvernement, l’opposition ou le patronat pour les décrire. Ici on parle de « radicalisation », là de « prise d’otage », ou même encore, comme dans le Figaro, de « terrorisme social ». Moi qui pensais naïvement que le terrorisme consistait à ouvrir le feu sur une foule de civils ou à se faire exploser dans un lieu public, moi qui étais persuadé que prendre quelqu’un en otage, c’était mettre un canon sur sa tempe et lui brûler la cervelle à moins d’obtenir une quelconque satisfaction, je prends note que ces termes sont désormais synonymes de syndicalisme et me demande même si, avec le recul, les grandes heures de notre histoire, celles que nos élus, journalistes et patrons chantent la main sur le coeur à chaque 14 juillet ou avant les matchs de football, ne sont pas au final qu’une sombre histoire de terrorisme. Parce que de la prise de la Bastille à mai 68 en passant par les événements de la Commune ou le Front Populaire, on peut dire que du terrorisme social, de la radicalisation et de la prise d’otage, il y a en eu pour faire de la France ce qu’elle est.

World Trade CenterPar conséquent, il faudra qu’on corrige les manuels d’histoire dans ce sens, pour bien expliquer aux enfants dans les écoles ce qu’on entend par « terrorisme » désormais. Et il faudra aussi trouver un autre mot pour leur raconter ce qui s’est produit au Bataclan il y a à peine 6 mois de cela, et à la rédaction de Charlie Hebdo il y a un an et demi. Parce qu’aussi jeunes soient-ils, ils ne manqueront pas de souligner que ce n’est pas tout à fait la même chose d’assassiner sauvagement 102 personnes, de faire des centaines de blessés, et de bloquer l’accès à des réserves d’essence ou d’immobiliser des trains.

Coupable moi-même de terrorisme éditorial en cet instant, je m’en vais vous présenter le radical sommaire de cette semaine qui fait bien mieux qu’un minimum syndical. On commence avec le rétrotest du fabuleux Matrix-12 d’Oberheim, accompagné d’une nouvelle émission nommée Installe/Désinstalle et qui s’attarde pour son premier numéro sur le plug-in Magic AB 2. Toujours au rayon vidéo, On Refait Le Patch prend en otage le multieffet Movement d’Output, ce qui n’empêche pas Bruce Franklin et Rick Wartell, les deux guitaristes du légendaire groupe Trouble (les inventeurs du Doom Metal), de venir vous causer grattes, effets et amplis.

Sur ce, bon week et à la semaine prochaine.

Los Teignos
From Ze AudioTeam

 

__________________________________________________________________________________
Le GIEC chiffre à 3,3 milliards le nombre de victimes du réchauffement climatique. On en parle ?

 

[ Dernière édition du message le 28/05/2016 à 01:57:32 ]

2
oui , les termes employés ne sont absolument pas innocents , et probablement dictés . tout contrevenant journalistes étant séverement puni loin des regards .
le langage mediatique est manipulation-communication . ce qui semble être la même chose au final . un gouvernement de gauche ? un gouvernement "à l'américaine" oui . un gouvernement à l'image de la mondialisation . ni plus ni moins .

je crois qu'on en a pas fini avec les attentats . (les vrais ) .:fache:

En france on a du pêt drôle , mais on a pas d'idées.

CANIGOU ...C'EST  FOU !!!

un jour ton tour viendra

3
Super Article!!!
4
Les premiers terroristes sont ceux qui nous gouvernent ... si l'on comptabilise tous les suicides qui leurs sont directement imputables, ( RSI, Policiers, Agriculteurs, ect, ect ... ) ils font plus de victimes que ceux qui tiennent des armes !! ils faudra bien un jour que l’hécatombe s'arrête et qu'on les mette définitivement hors d'état de gouverner !
5
What a plume, comme toujours... Assez fan - non, carrément - des éditoss de LosTeignos.
Une réaction? Une petite alors... Les mots sont galvaudés, déformés, la parole ne veut plus dire grand chose quand on assume sans vergogne de dire tout et son contraire du jour au lendemain sans que celà ne pose le moindre problème, à l'heure où l'info se doit de speeder à défaut d'analyser, quand on décrit le monde en noir ou blanc plutôt que de se fatiguer à restituer les échelles de gris. Raccourcis malheureux, lieux communs, phrases qui ne veulent rien dire, les mots n'ont plus de substance. Les discours sonnent creux et c'est la mort des pédagogues, l'ère des démagogues - de tous bords d'ailleurs puisqu'il faut ratisser large.

Du coup plus personne ne parle la même langue, ce qui devient problématique lorsqu'il s'agit des débats d'idées qui tournent en rond, battles de postures bégayantes, et forcement plus personne ne s'écoute, c'est un dialogue de sourds qui emploient des mots de plus en plus fort pour se faire entendre... alors qu'il s'agit de faire comprendre, de se comprendre.

Bref, j'ai pas forcément le vocabulaire adéquat pour extraire tout le jus de ma pensée - je me soigne - mais je dirais que dans une société en quête de sens il serait effectivement salutaire de remettre les mots à leur place. Ça serait un bon début.

SignOtheTime comme le chantait le Kid mauve.
Kiss.

PS : oh purée j'ai pondu (avec douleurs et contractions) un pavé paraphrasant
Keytof
6
Toujours aussi pertinent! Tes éditos sont souvent salués, voir plébiscités.Peut-être parce que sans trop en dire tu esquisses une direction, sans développer tu proposes des sujets qui ne demande qu'à être creusés.Mais à partir de là chacun pourra s'engager dans des propositions plus emprofondies qui pourront amener à plus de contradiction.A' prendre plus de risque.
Il m'arrive d'écouter la radio pour me tenir au courant non pas des nouvelles mais de la manière dont elles sont traitées.La télé je l'ai abandonnées.Certaines émissions sur les ondes comme elles sont dirigées par les mêmes qui sont impliqués dans le grand réseau financier et économiques ne sont rarement neutre.La "liberté du journalisme" est un mythe afin de tenter de nous faire croire à une vérités nues .Derrière ces médias, la plupart du temps, le ou les pouvoirs du sommet manipulent vers le sens subliminal ou évident de leur motivation profonde.
Quelques fois on a droit à des interventions séléctionnées de "gens de la rue"ou du tout venant qui téléphonent pour nous jeter à la face des phrases rappelant la "voix de leur maitre".A' croire qu'ils ont encore quelque chose à perdre dans ce vieux monde.Cela diffuse la division, la peur, la haine en inversant le principe du bourreau et de la victime.L'inversion des valeurs est un système aussi très prisé actuellement.La "servitude acceptée" existe aussi.Devant l'inconnu du changement certains préfèrent leur vielle chaine.Et l'on fait croire que l'abus de pouvoir est plus valable quand c'est la vielle caste autoproclamée qui en dispose.Le citoyen de base doit alors se soumettre au dictate même s'il va à l'encontre de ses intérêts et de ceux du plus grand nombre.
La France hélas est un pays de caste ou l'ascension sociale n'est plus possible; sinon c'est que vous avez été récupéré et corrompu par le système.
Le pouvoir et les castes ont peur que le peuple prennent conscience de sa force naturelle.Ils jouent de pressions divers pour inhiber les velléités d'évolution(le language et la rhétorique sont un des moyens).
On nous a prétendu que l'état central serait tel le cerveau à l'organisme, un système équivalent à ce que l'on trouve dans la nature.Est-ce aussi sur?
Quand l'individu perd la tête et se confronte au danger, le corps et les cellules prennent le relais.Peut-être que eux n'ont jamais perdus la connection avec le grand tout.
Je pense que la structure future du pays devra se construire sur la base de citoyens représentant de leur quartier .Une ensemblée formant un tissue urbain pourra régir les décisions au niveau d'une ville.Cela existe déjà.En Angleterre, une ville a sa propre monaie, produit localement en particulier son énergie, divers notions alternatives y sont appliquées.Une Pyramide inversée, où c'est de la base que vient les initiatives. Enfin il existe d'autres solutions que celle que nos politiciens et banquiers corrompus veulent nous imposer pour leur intérêts: En particulier celui de nous rendre esclaves psychologiquement et physiquement..Il ya des alternatives à la "solution finale" que nous imposent les agents des loges secrètes sous le nom d "ordre nouveau"et "globalisation".

[ Dernière édition du message le 28/05/2016 à 05:00:28 ]

7
Cette fois, Los Teignos, et à moins que ton message sublime-minant m'ait échappé sur le rapport qu'il peut y avoir entre notre Hymne nationale et le terrorisme, je vais afficher au grand jour le résultat de mes recherches sur la Marseillaise.
Je risque certainement de lancer un pavé dans y en a marre des langues de bois.
"La Marseillaise laïque et républicaine ?

Je cite mon inspectrice de l'Éducation Nationale, Mme M... : "le renforcement des valeurs de la République et la laïcité passe aussi par l'apprentissage de la Marseillaise, hymne national". C'est oublier le "Grand Dieu" (Allahu akbar, en arabe) du 3e couplet qui, à l'époque n'était pas une invective gratuite ! La séparation des églises et de l'État ne date que du 9 décembre 1905... La Marseillaise, laïque ? Heureusement, la Déclaration de 1789 stipule : "Art. 10. Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la Loi." Est-ce que réfléchir sur notre Hymne est troubler l'ordre public ? Si oui, le fait de devoir choisir quelques couplets de la Marseillaise pour les faire chanter aux élèves (nouvelles Instructions officielles à mettre en œuvre à la rentrée prochaine, et encore, que pour les CP, CE1 et CE2) demande aussi réflexion, donc opinion.

C'est un chant de guerre devenu par le hasard de l'Histoire, et encore après moult péripéties, notre hymne national, le plus vieil au monde après le God save the Queen (1745), et la Marche royale d'Espagne (1770), adopté définitivement en 1879 (même s'il n'apparaît pas dans la Constitution), puis clairement écrit dans notre IVe Constitution de 1946. Oui, c'est notre hymne. Oui, je l'ai déjà fait chanter dans un climat neutre. Oui, en tant que fonctionnaire républicain, je le referai chanter si on me le demande en laissant au PE (professeur d'école) qui, malgré tout le soin qu’il aura pris pour en expliquer « le contexte de leur écriture », devra les convaincre que jurer par Dieu est tout à fait laïc et que d’aller massacrer est indispensable à la sureté de l’État, puis d’enchaîner dans « une évidente obligation de neutralité » avec une belle leçon d’éducation civique et morale qui permettra de développer chez les élèves qui « sont des sujets {sic ! du roi ?} dont l’autonomie ne peut être progressivement acquise que s’ils ont la capacité de veiller à la cohérence de leur pensée, à la portée de leurs paroles et à la responsabilité de leurs actions ».
Tout hymne national qu’il soit, est-il possible de vanter les vertus républicaines de ce chant de guerre ? Non, et pour deux raisons :
1) il a été écrit par un royaliste, modéré certes, dans la nuit du 25 au 26 avril 1792 alors que la première République ne naîtra que le 24 juin 1793, soit plus d’un an après, ce qui par le fait même le place hors contexte républicain mais encore royaliste,
2) Il va de soi qu'en 1792, il pouvait avoir toute sa valeur associée à son régime de Terreur dont la devise était "la fraternité ou la mort" (septembre 1792-juillet 1794 = 100 000 victimes. Eh oui, Al Qaïda et Daech n'ont rien inventé et peuvent même passer pour des amateurs malgré leurs années d'ancienneté) ! Écrit pourtant 3 ans après la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, on y parle de patrie (est-ce que la patrie est une valeur de la République ?) et de liberté, certes, mais, on aura beau chercher, on ne peut y voir aucune allusion aux autres valeurs de la Ve République : égalité ou fraternité. Et pour cause : même si la Constitution de 1791, encore royaliste, dit "qu'il sera établi des fêtes nationales pour entretenir la fraternité entre les citoyens et les attacher à la Constitution, à la Patrie et aux lois" (cette fraternité disparaîtra sous notre première République dans la Constitution du 24 juin 1793, ne réapparaîtra que dans la Charte — royaliste (la fraternité n'est donc pas en soi une valeur républicaine) — constitutionnelle du 4 juin 1814 "que tous les français vivent en frères" alors que le mot "liberté" disparaît et réapparaît dans la Charte — encore royaliste — du 4 août 1830), la Fraternité n'apparaît enfin en tant que "principe", au même titre que la Liberté, l'Égalité (tous les trois avec une majuscule) que dans la Constitution du 4 novembre 1848 de notre IIe République, et "en présence de Dieu", article IV du préambule, soit 59 ans après 1789 ! Dans le même état d'esprit, notre IIe République abolit définitivement l'esclavage (chapitre II, article 6) et invente l'assurance chômage pour les plus démunis (article VII du préambule). La fraternité disparaît de nouveau avec la Constitution de 1852 du Second Empire puisqu'elle "confirme et garantit les grands principes proclamés en 1789" dont cette fraternité est absente. Elle ne réapparaît définitivement en tant que devise cette fois-ci, qu'avec la Constitution de notre IVe République, le 27 octobre 1946, puis réaffirmée en 1948, dans la Déclaration Universelle des Droits de l'Homme, article premier, et dans notre Constitution du 4 octobre 1958, article 2, toujours en vigueur. Je ne vois donc pas comment associer la fraternité avec ce chant de guerre d'où toute fraternité est absente, et pour cause : ils sont antinomiques mais en concordance totale avec la devise de la Terreur "la fraternité ou la mort" ! La Marseillaise, républicaine ?

Encore, si Rouget de l’Isle, s’était contenté, même sous les auspices de l’Être suprême, d’y vanter la liberté qui « consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui » et « l’égalité en droits », ou de chanter d’autres articles de la Déclaration de 89, on pourrait y trouver les futures valeurs républicaines. Mais non ! Dans ce Chant de guerre pour l'armée du Rhin, anti-royaliste comme il se doit (à propos, contre quel roi doit-on se battre aujourd'hui en France ? le fait même de vouloir abattre un roi, prouverait que nous sommes encore en royauté), Rouget de l’Isle y énumère par le menu la liberté de faire tout ce qui pourra nuire à autrui. C’est une apologie de massacres, d'égorgement, de sang, de vengeance, de coups, de fiers guerriers, d'ennemis expirants, de sacrifice, de jeunes héros qui partagent le cercueil de leurs aînés en ce jour de gloire. Tout ce qui a choqué la France lors des attentats de 2015 et qu’on croirait tout droit sortis d’intégristes musulmans. Qu'on traduise ce texte en arabe en ôtant le mot "patrie", et il conviendrait parfaitement à tous les djihadistes du monde ! À ce propos, quand on sait que bon nombre de terroristes sortent de nos écoles, il serait temps que la France fasse un examen de conscience quand elle apprend à ses élèves d'aller tuer ou se faire tuer. C'est tout ce que réclament les djihadistes et, apparemment la seule chose qu'ils retiennent de la grandeur de notre République. Ou qu'on me prouve le contraire !

Si nous sommes toujours en guerre, ce texte est parfait, mais il faudrait supprimer le jour férié du 11 novembre qui rappelle trop que nous sommes en paix. Chante-t-on d'autres chants de guerre aujourd'hui ? Non !
Si nous sommes encore en royauté, et qu'il faille abattre un roi, ce texte est parfait. Mais nous sommes en république.
Alors pourquoi conserver ce chant ? Est-ce comme l'arme nucléaire, le seul moyen de dissuasion que nous ayons et qui dit : "regardez ce que nous sommes capables de faire, autant et plus que tous les terroristes du monde réunis !" Franchement, Francement, est-ce là la seule gloire à faire briller aux yeux du monde, dans notre pays reconnu pour ses droits de l'homme... à pouvoir tuer bien que la peine de mort y soit abolie depuis le 18 septembre 1981?

Dans mon école, où certains élèves (donc leur famille) pensent que les morts du Bataclan et de Charlie Hebdo étaient méritées, ce serait aujourd'hui mettre de l'huile sur le feu, voire plus, que de la faire chanter. Donc, tant qu'on ne me la demande pas, je m'abstiens".
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3Project, ce que tu décris, n'est pas une pyramide inversée, mais tout simplement une pyramide.
Les blocs constituants la base sont d'une importance capitale, elles supportent toute la structure et à mesure que l'on monte, l'influence des pierres s'amoindrit (contrairement à une croisée d'ogives par exemple).
C'est la 5ème république qui est une pyramide inversée, où tout repose sur quelque dizaine de personnes, avec le plus hargneux, le plus beau parleur, ou le plus chanceux au sommet (ou la base, comme on voudra).

Je suis bien d'accord, pour que la démocratie soit plus équilibrée, il faut un maximum de pouvoir local et limiter le pouvoir de l'état (et au delà) à ce qu'il devrait être : le régalien.
Mais c'est complètement contraire à la vision républicaine, unificatrice donc centralisatrice, paternaliste donc liberticide.
Sauf que c'est justement ce que "combattent" les "syndicats" : l'article 2 de la loi travail.

Quant aux mots, ils ont l'importance qu'on leur donne. Je ne crois pas qu'en 4,5 milliards d'années d'existence, le soleil ne se soit couché une seule fois... Pourtant que de baisés échangés au "couché du soleil", avant que des coeurs soient "brisés" (des coeurs "de glace" sans doute).
Pas plus qu'un Son n'ait jamais "brillé" (de "mille" feux ?), ou "chauffé".

Si je suis d'accord sur le fond (quoi que pas sur tout, notamment concernant la révolution française qui fût une véritable boucherie - pardon, extermination de masse, raciale, totalitaire), ce que décrie Los Teignos, c'est finalement "l'analogie"... Les fondement des techniques du son et la musique depuis les phonographes, gramophones et autres phonautographes...

Ce que je constate c'est que lorsque les mots sont galvaudés, c'est souvent parce que ce qu'ils décrivent est pauvre en arguments ou en intérêt...
Il est a craindre qu'il y ait encore et beaucoup de terroristes que ne soient que des "déséquilibrés" et des gueulards qui "prennent en otage" tout un pays "irréformable".

Finalement je crois qu'aux mots je préfère la musique.
9
Oh ben ...y z'ont la forme les Afiens cmatin!!!...bon ben...VIva la revolucion!!! ...Moi chui anar!!C'est vrai quoi, y'en a marre!

[ Dernière édition du message le 28/05/2016 à 07:34:17 ]

10
Le fait de donner aux différents acteurs d'un conflit des noms excessifs et abusifs n'est pas nouveau. La Résistance était nommée terroristes par l'occupant et la collaboration.
Depuis, chaque mouvement cherche une image forte, dans un sens comme dans l'autre, et le jeu des médias, avec une caisse de résonance (tiens, je l'aurais bien écrit avec 2 "n" ce mot icon_wink.gif) de plus en plus grande contribue à la recherche de l'excès.

Incrédule sur tout, sceptique sur le reste

[ Dernière édition du message le 28/05/2016 à 07:45:04 ]