Se connecter
Se connecter

ou
Créer un compte

ou
Agrandir
Ajouter ce produit à
  • Mon ancien matos
  • Mon matos actuel
  • Mon futur matos
Pioneer DJM-2000
Photos
1/1744

Test de la Pioneer DJM-2000

Console DJ 4 voies ou plus de la marque Pioneer appartenant à la série DJM

Test écrit
3 réactions
La reine des pionnières

Avec ses 11 effets rythmiques, son crossfader par plage de fréquence, sa prise RJ45 pour connecter les lecteurs CD, sa carte son 4 voies stéréo et son écran couleur tactile 5,8”, la nouvelle console pour DJ DJM2000 de Pioneer nous donne forcément envie de voir ce qu’elle a dans le ventre. Alors c’est parti !

Confi­gu­ra­tion de test

Pioneer DJM-2000

Je chausse mes plus belles baskets, ressors des bons vieux CDJ-100s en guise de lecteur (c’est vrai que c’est moins beau que des CDJ-2000…), un petit micro Shure, un MacBook, un casque, un micro Senn­hei­ser et un gros système son RCF pour avoir un peu de volume dans les pieds. Je suis main­te­nant paré pour accueillir ce petit bijou… La photo sur le carton n’est pas très enga­geante, mais dès que l’on ouvre on s’aperçoit que l’on a affaire à du sérieux : 8,5 kg de tech­no­lo­gie dans un carré un peu impo­sant de 40 × 43 cm. Une docu­men­ta­tion de 28 pages (le strict mini­mum vu l’en­gin), un CD-ROM avec les drivers de la carte son (PC et Mac), les câbles : alimen­ta­tion et USB, mais surtout, les 4 câbles RJ45 Cat 5e que l’on a peu l’ha­bi­tude de voir dans un carton de maté­riel pour DJ. Nous verrons ça plus en détail tout à l’heu­re…

 

Aucun logi­ciel n’est fourni avec, mais Pioneer met à dispo­si­tion sur son site inter­net un logi­ciel gratuit : Rekord­box, que je me suis donc empressé de télé­char­ger. L’ins­tal­la­tion s’est dérou­lée sans diffi­culté sur le Mac Book Pro mais le logi­ciel s’est avéré assez peu utile pour ce test. En effet, il ne permet de ne lire qu’une voie à la fois et se retrouve rela­ti­ve­ment limité sans CDJ-2000/900 asso­ciés.

Le concept

Pioneer DJM-2000

Pioneer, avec cette table haut de gamme, a cher­ché à rassem­bler le maxi­mum d’in­no­va­tions tech­no­lo­giques, parfois déjà présentes sur d’autres produits. Pioneer a réussi avec cette table à « hard­wa­ri­ser » certaines fonc­tions quasi­ment unique­ment dispo­nibles au travers de logi­ciels embarqués sur un ordi­na­teur. C’est une table de mixage d’une excel­lente facture, l’en­semble est très bien fini, très profes­sion­nel, dans un esprit toujours conservé de la marque Pioneer (les vumètres histo­riques avec indi­ca­teurs de crêtes y sont sûre­ment pour beau­coup). La quasi-tota­lité des boutons est rétro-éclai­rée, d’autres clignotent pour affi­cher leur acti­va­tion et certains jouent juste sur l’in­ten­sité de la lumi­no­sité. On regret­tera juste le fait de ne pas pouvoir régler fine­ment cette dernière.

 

Nous retrou­vons évidem­ment la sortie casque pour la pré-écoute de tous les canaux et effets, l’en­trée micro avec un égali­seur deux bandes et un talk over (permet de bais­ser le son du master lorsque le signal prove­nant du micro augmente), une zone master avec un vumètre stéréo permet­tant de régler le volume et la balance de sortie, mais nous ne nous attar­de­rons pas sur ces fonc­tion­na­li­tés somme toute stan­dards sur beau­coup de tables de mixage de cette gamme.

 

Penchons-nous surtout sur les quatre voies et leurs multiples entrées, sur les cross­fa­ders épatants, sur les très nombreux effets et sur la carte son incluse qui font de cette table une des plus complètes de la gamme.

 

Les voies

Les quatre voies se répar­tissent de part et d’autre de l’écran LCD central. Sur les voies exté­rieures (1 et 4) vous pour­rez connec­ter vos mange-disques, et sur les voies du centre (2 et 3) vous raccor­de­rez vos lecteurs analo­giques favo­ris. Sur chacune d’elles vous aurez aussi une entrée signal numé­rique en S/PDIF et une entrée numé­rique via la carte son USB interne.

 

Chaque canal dispose exac­te­ment des mêmes fonc­tions :

 

  • un trim permet­tant de régler le niveau de l’en­trée
  • un égali­seur trois bandes presque stan­dard : il vous sera possible de choi­sir un mode dit « Isola­tor » qui vous permet d’al­lon­ger la course des potards en atté­nuant la bande de fréquence consi­dé­rée non plus à –26dB, mais plus de –40dB. Si vos trois potards sont à fond à gauche, vous n’en­ten­drez donc plus rien.
  • un potard « filter » permet­tant d’ajus­ter le volume de l’ef­fet « INST FX » sur la voie
  • le bouton CUE permet­tant la pré-écoute au casque
  • le fader permet­tant d’ajus­ter le volume de la voie, plutôt ferme à l’uti­li­sa­tion. Vous aurez la possi­bi­lité de chan­ger la courbe du fader au choix : linéaire ou loga­rith­mique. J’avais peut-être deux mains gauches le jour du test, mais il me semble qu’il n’est pas possible de chan­ger les faders, malgré les trois vis appa­rentes (et aucune info sur le sujet dans la doc)
  • un sélec­teur bien pratique permet­tant d’as­si­gner la voie à l’un ou l’autre des côtés du cross­fa­der (voir section cross­fa­ders ci-dessous)
  • et bien sûr le vumètre 15 LEDs avec détec­teurs de crêtes.

Les cross­fa­ders

Pioneer DJM-2000

Nous dispo­sons en tout de huit cross­fa­ders :

 

Un premier rela­ti­ve­ment stan­dard très souple situé tout en bas de la table. La dureté n’est semble-t-il pas ajus­table, mais il est démon­table pour rempla­ce­ment éven­tuel.

 

Chacune des quatre voies est assi­gnable au côté gauche ou droit de ce cross­fa­der. Nous avons aussi le choix entre trois profils de courbes d’at­té­nua­tion : un très raide (quasi­ment on/off), un autre très linéaire, et un troi­sième profil entre les deux.

Eh bien oui, ce ne sont pas un, ni deux, mais sept cross faders supplé­men­taires qui nous tendent les bras : ils se basent sur un décou­page des plages de fréquence des morceaux en cours de lecture. Mais même si la table est grande, comment faire tenir sept cross­fa­ders supplé­men­taires ? L’écran tactile bien sûr ! Et grâce à sa tech­no­lo­gie multi­touch vous pour­rez régler deux cross­fa­ders en paral­lèle. Honnê­te­ment j’ai été bluffé à l’uti­li­sa­tion, dès qu’on y prend goût impos­sible de s’en passer : en effet les possi­bi­li­tés sont presque infi­nies pour faire des mixes toujours diffé­rents avec les deux mêmes morceaux. Des petits boutons à gauche et à droite des cross­fa­ders permettent de passer instan­ta­né­ment aux extré­mi­tés. Il vous sera bien sûr possible de choi­sir les voies gauche et droite asso­ciées grâce à deux menus dérou­lants en haut de l’écran.

 

Et pour faire appa­raître ces cross­fa­ders ? Rien de plus simple : appuyer sur la touche « Mix », ils appa­raissent alors à l’écran. Petit détail qui a son impor­tance : il faut appuyer sur le bouton ON/OFF situé à côté de l’écran pour qu’ils soient actifs sur le live, j’ai eu du mal à m’y faire, à mon sens ils auraient pu être acti­vés par défaut.

Les effets

« INST FX »


Pas moins de six effets sont dispo­nibles instan­ta­né­ment, il suffit d’en sélec­tion­ner un et de régler son volume d’im­pact indé­pen­dam­ment sur chacune des voies. Une préci­sion cepen­dant, ce sera toujours le même effet qui sera appliqué sur les quatre voies, il n’est pas possible d’af­fec­ter des effets diffé­rents par voie.

Les effets sont les suivants : Noise (bruit blanc), ZIP (abaisse le pitch (vitesse de lecture)), Crush (apla­nit le son), JET (flan­ger), HPF (filtre passe-haut) et LPF (filtre passe-bas).

 

« Beat effects »

 

Pioneer DJM-2000

Pioneer est l’un des pion­niers (je suis en forme moi aujour­d’hui…) sur les effets calés sur le BPM (batte­ments par minute), ces effets sont présents sur leurs tables depuis de nombreuses années déjà. Il faudra tout d’abord choi­sir le canal sur lequel l’ef­fet va s’ap­pliquer : 1, 2, 3, 4, Micro, Cross Fader (A ou B), Master. Contrai­re­ment aux effets stan­dards dits « INST FX » un seul canal est sélec­tion­nable. Le BPM est calculé auto­ma­tique­ment, mais il est possible de le régler à la main grâce au bouton « TAP » (très pratique cela consiste juste à faire tap tap avec le doigt sur ledit bouton, et le BPM se calcule tout seul). Une petite décep­tion, le calcul du BPM est plutôt lent (10s envi­ron) et parfois peu fiable en compa­rai­son à la préci­sion des outils logi­ciels que l’on peut trou­ver sur un ordi­na­teur. Le bouton « Time » permet d’ajus­ter très préci­sé­ment le calage de l’ef­fet sur le tempo, 7 boutons permettent d’ac­cé­der direc­te­ment à des valeurs prédé­fi­nies entre 1/8ème du tempo et 4 fois le tempo.

 

L’ef­fet pourra être appliqué sur toute ou une partie de la bande de fréquence grâce aux trois potards « effect frequency ». Enfin un potard « Level » permet d’ajus­ter le volume de l’ef­fet sur la voie sélec­tion­née.

 

Il ne vous reste plus qu’à appuyer sur le bouton « ON/OFF » pour appliquer cet effet sur le live, ou pré-écou­ter ce que cela donne au casque grâce au bouton cue (extrê­me­ment pratique pour être sûr du rendu en live). Vous dispo­se­rez de 11 effets bien choi­sis qui vous permet­tront d’agré­men­ter sérieu­se­ment vox mixes : certains assez stan­dards (Delay, Gate, Echo, Reverb, Filter, Phaser), mais aussi d’autres plus exotiques qui ont retenu mon atten­tion :

  • Roll, Slip Roll, Rev Roll : se base sur un petit sampler qui va répé­ter le son sur la base du BPM, à l’en­droit, à l’en­vers …
  • Multi Tap – Delay : repro­duit jusqu’à 7 sons avec retard entre 1/1 et 1/8ème de temps.
  • Trans : proche de l’ef­fet « Gate », cette fonc­tion coupe le son à inter­valles régu­liers en fonc­tion du BPM.

Une décep­tion tout de même, j’étais très fan sur la DJM 500 de l’ef­fet AUTO PAN (bascule droite/gauche calé sur le BPM), disparu ! Snif…

 

« Side­chain Remix »


Pioneer DJM-2000

Nous accé­dons à ces effets en appuyant sur le bouton « Remix » situé à côté de l’écran LCD. Atten­tion il n’est pas possible d’y accé­der si les 7 cross­fa­ders sont appliqués sur le live. Pour ceux qui ont lu le test sur le logi­ciel MAGIX Digi­tal DJ (repa­cka­ging de Decka­dance), cet effet est rela­ti­ve­ment proche de ce que nous avions appelé le « cadran magique ». Cela consiste à faire varier deux para­mètres d’un même effet en même temps grâce à une sorte de cadran sur lequel vous allez poser le doigt, et en glis­sant sur l’axe haut/bas ou droite/gauche vous ajus­te­rez chacun des deux para­mètres.

 

Vous pour­rez choi­sir, grâce à un menu spéci­fique, de faire déclen­cher l’ef­fet sur une bande de fréquence parti­cu­lière (Low, Mid, Hi). Sept effets sont appli­cables à ce cadran : quatre oscil­la­teurs, un sampler, un pitch et enfin un gate. C’est très intui­tif à utili­ser, le résul­tat est excellent, encore une corde à l’arc de cette table Pioneer. Comme pour les « Beat effects » vous pour­rez pré-écou­ter au casque l’ef­fet souhaité avant de l’ap­pliquer sur le live grâce au bouton « ON/OFF ».

La carte son

La carte son incluse dans la table est de très bonne qualité, les drivers ont été recon­nus après un reboot de mon MacBook et m’ont permis de bran­cher un Trak­tor PRO 4 voies sans aucune diffi­culté.

 

À vrai dire la confi­gu­ra­tion Trak­tor PRO + DJM-2000 est un vrai bonheur à utili­ser, diffi­cile de faire décro­cher la config… La carte son pourra être confi­gu­rée de trois façons : 4 sorties – 0 entrée en 16 bits, 3 sorties – 1 entrée en 16 bits et 3 sorties – 0 entrée en 24 bits.

Midi

La sortie Midi calée sur le BPM de la table vous permet­tra de pilo­ter des séquen­ceurs ou logi­ciels externes. Atten­tion, la DJM-2000 n’est pas Trak­tor Ready, du coup si vous comp­tez scrat­cher via la carte son ou bien pilo­ter le Trak­tor via les faders et potards, prudence. En fait, si vous acti­vez le MIDI sur la DJM-2000, les signaux midi passent bien par le port USB, mais donnent des compor­te­ments complè­te­ment anar­chiques dans Trak­tor, vive­ment le petit fichier de config qui va bien. C’est dommage, vu que les CDJ-400/900/2000 sont tous les trois Trak­tor Ready, il ne manque plus que la DJM-2000. À suivre sûre­ment !

Cette nouvelle fonc­tion­na­lité méri­te­rait à elle seule un test entier. Petite diffi­culté pour les bourses limi­tées : cela ne marche qu’avec les CDJ-2000 et les CDJ-900 pour le moment. Cela consiste à relier l’en­semble des lecteurs CD à la table via des câbles réseau. Vous rajou­tez par-dessus un ou deux ordi­na­teurs raccor­dés eux aussi à la table via un câble réseau (après avoir installé le logi­ciel Rekord­Box) et le tour est joué : l’en­semble des morceaux dispo­nibles sur l’un ou l’autre des équi­pe­ments de la chaine est visible par tous les autres.

 

Je m’ex­plique : j’ai un titre de Michael Jack­son sur mon ordi, je peux le trans­fé­rer sur n’im­porte lequel de mes 4 CDJ-2000 (ouah la config !). Un gars vient m’ap­por­ter le dernier Patrick Sébas­tien dans une qualité toute pour­rie sur une clé USB que je branche à un de mes CDJ-2000, tous les autres pour­ront y avoir accès, c’est pas beau ça ? Malheu­reu­se­ment je n’ai pas une telle config du coup je ne peux pas vous en dire plus pour le moment… Le logi­ciel Rekord­Box permet­tra aussi aux DJs de prépa­rer leur set à l’avance en calant préa­la­ble­ment les boucles et les points CUE sans avoir à tout refaire à chaque fois.

Pour qui et à quel prix ?

Eh oui, il vous faudra quand même débour­ser 2000 € envi­ron pour cette table de mixage qui sera bien seule sans une paire de lecteurs CD et/ou une paire de platines vinyles. Atten­tion, il n’y a qu’un seul lecteur de BPM sur la table, il ne sera donc pas possible de l’uti­li­ser pour caler deux morceaux entre eux (alors que d’an­ciennes tables comme la DJM-500 le propo­saient et permet­taient de simpli­fier l’ajus­te­ment des deux morceaux). Le public visé est donc clai­re­ment les DJs profes­sion­nels qui tournent en club et qui cherchent à avoir le meilleur. Si jamais cette table deve­nait Trak­tor Ready (ou était four­nie avec un logi­ciel du même type à quatre voies de sortie) cela pour­rait certai­ne­ment étendre le spectre des ache­teurs poten­tiels. Pour les bourses plus limi­tées, il est certain qu’ils se tour­ne­ront vers d’autres modèles ou d’autres tables de la concur­rence, mais avec moins de fonc­tion­na­li­tés évidem­ment.

Conclu­sion

Ne tour­nons pas autour du pot, c’est de la bonne ! Un produit bien pensé, très bien fini, avec un excellent son et d’in­nom­brables fonc­tion­na­li­tés qui permet­tront aux DJs les plus aver­tis de s’écla­ter sans trop de limites. Pioneer a clai­re­ment pensé cette table « haut de gamme » pour être raccor­dée avec les CDJ-2000 ou 900 du même construc­teur. Si vous voulez qu’elle donne le maxi­mum de ses capa­ci­tés, c’est ce qu’il vous faudra ache­ter.

 

Mais c’est là où ça se gâte pour une bonne partie d’entre nous : grosso modo la config mini­male (DJM-2000 + 2 CDJ-900) coûte envi­ron 4500 €, pas vrai­ment une paille. Pioneer vise donc les clubs ou disco­thèques à gros budget souhai­tant donner le meilleur à leurs DJs. Ces derniers pour­ront même prépa­rer leur set à l’avance et se poin­ter unique­ment avec un CD ou une clé USB en Club sans avoir à toucher à un ordi­na­teur.

 

Points forts
  • Finition, robustesse du produit
  • Qualité sonore
  • Capacités d’entrées/sorties
  • Carte son 8 sorties (4 stéréos) intégrée
  • 7 crossfaders par bande de fréquence sur l’écran tactile
  • Les effets : instantanés, calés sur le Beat et Sidechain Remix.
Points faibles
  • Le prix (environ 2000 €)
  • Calcul du BPM beaucoup trop lent et pas assez fiable
  • Un seul lecteur de BPM
  • Pas Traktor Ready
  • clyde74 714 posts au compteur
    clyde74
    Posteur·euse AFfolé·e
    Posté le 01/10/2010 à 23:52:00

    la qualité du son est bonne? par rapport à une DJM 800? parce que Pioneer est pas réputé pour la qualité sonore de ces tables...

  • McKINLE 43 posts au compteur
    McKINLE
    Nouvel·le AFfilié·e
    Posté le 02/10/2010 à 13:01:05

    Bonjour à tous,

    Je n'en doute pas une seconde de la qualité du son et du matériel lui même (leur réputation n'est plus à prouver), par contre, est ce que cette table peut servir de contrôleur MIDI (super-ultra) afin d'utiliser toutes les fonctions de TRAKTOR Pro (en attendant les roros pour ajouter 2 CDJ 2000...), à savoir:

    - utilisation des 4 lecteurs virtuels ABCD

    - utilisation des effets (en MIDI) de TRAKTOR Pro, plus les effets du DJM 2000, bien sûr

    Je ne scratche pas, juste mix et utilise les effets.

    Merci.

    @+

  • McKINLE 43 posts au compteur
    McKINLE
    Nouvel·le AFfilié·e
    Posté le 02/10/2010 à 20:36:57

    Ce n'est pas la peine les gars, j'ai trouvé mon bonheur:

    Native Instruments Kontrol S4

    Denon DN MC 6000

    A&H Xone 4D

    Merci quand de m'avoir répondu...  icon_smile.gif

    @+

     

Vous souhaitez réagir à cet article ?

Se connecter
Devenir membre