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Native Instruments String Ensemble
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Test du Native Instruments Symphony Series - String Ensemble

Ensemble de cordes virtuelles de la marque Native Instruments appartenant à la série Symphony

Prix public : 499 € TTC
Test écrit
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9/10
Award Valeur sûre 2016
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Continuant son exploration de l’orchestre virtuel, Native Instruments s’associe à Audiobro pour proposer le troisième volume de sa Symphony Series, String Ensemble.

De la suite dans les idées. On se demande d’ailleurs comment Native fait, puisque les sorties sont multiples et quasi inces­santes au fil des années, avec une produc­tion parti­cu­liè­re­ment abon­dante et de tous types, que ce soit du maté­riel ou des logi­ciels. On ne refera pas l’his­to­rique de ces derniers temps, il suffit de se rendre sur la page News dédiée aux produits de l’édi­teur/fabri­cant pour se rendre compte de la somme de ressources, d’un point de vue déve­lop­pe­ment tout aussi bien qu’hu­maines, que cela peut repré­sen­ter.

Pendant des années, l’édi­teur a laissé à d’autres concep­teurs le soin de profi­ter de la plate­forme Kontakt pour déve­lop­per les banques orches­trales, résul­tant en ce qui est sûre­ment l’une des plus abon­dantes produc­tions dans le genre, à côté des produits East­West utili­sant Play, qui n’est pas tout le temps une siné­cure à utili­ser et surtout de la Vienna Sympho­nic Library qui, elle, dispose de ce qui peut être consi­déré comme l’un des meilleurs logi­ciels/lecteurs d’échan­tillons dédiés à l’or­chestre, Vienna Instru­ments Pro et d’un envi­ron­ne­ment de créa­tion d’es­paces acous­tiques tout aussi raffiné (MIR, dont le test de la version Pro24 est ici) ainsi qu’un hôte multi­ca­nal MIDI et audio, Vienna Ensemble Pro. Le nombre d’édi­teurs utili­sant Kontakt est en effet assez impor­tant, et les produits consa­crés à l’or­chestre utili­sant les tech­niques et scripts dispo­nibles dans le lecteur d’échan­tillons de Native sont plétho­riques : citons, sans volonté d’ex­haus­ti­vité, les biblio­thèques signées 8DIO (la série Adagio, par exemple), Soun­di­ron (on y revient), Spit­fire Audio (avec les Albion, ici ou , ou la BML), Sono­ki­ne­tic (avec Capric­cio, Da Capo, ou Vivace), Impact Sound­works (avec Bravura), Project SAM (Orches­tral Essen­tial, ou la série des Sympho­bia), Cine­samples, Orches­tral Tools (avec la superbe série Berlin, ou les String Runs, ou le tout récent Nocturne que l’on retrou­vera bien­tôt sur votre site préféré), Sample Logic (avec Morphes­tra) ou encore Audio­bro et ses excel­lents, même si parfois un peu touf­fus, LASS.

Ce qui est inté­res­sant, c’est que, malgré l’uti­li­sa­tion d’une plate­forme commune, aucune biblio­thèque ne ressemble à une autre, non seule­ment au niveau des échan­tillons (c’est la moindre des choses), mais aussi au niveau de l’in­ter­face utili­sa­teur, des scripts : pas grand-chose de commun en effet entre l’uti­li­sa­tion d’un Cappri­cio et d’une BML, par exemple. Native Instru­ments n’est d’ailleurs pas tombé dans la suren­chère lors du déve­lop­pe­ment des premiers produits mettant un pied dans l’or­chestre (ça fait du bruit…) : le concept à base de phrases de Action Strings ou de Emotive Strings, permet de les mettre dans une caté­go­rie à part, n’em­pié­tant pas sur le terrain des masto­dontes du genre. On peut aussi signa­ler Session Strings Pro, qui lui jouait plutôt dans la cour des biblio­thèques concur­rentes, et toujours suivant le prin­cipe d’as­so­cia­tion avec un éditeur tiers, ici e-instru­ments.

Pour­tant, l’édi­teur a, semble-t-il, décidé de fran­chir le cap de la biblio­thèque plus géné­ra­liste (enten­dez par là un instru­ment dédié à une section, permet­tant de jouer direc­te­ment de plusieurs arti­cu­la­tions via le prin­cipe de KeyS­witches et de divers scripts). À cet effet, Native a initié, fidèle à son habi­tude (ce qui permet de faire appel à des éditeurs ayant une habi­tude de la « niche » visée), une colla­bo­ra­tion avec Soun­dI­ron pour la réali­sa­tion des deux premiers volumes de la Symphony Series, Brass Ensemble et Brass Solo. On imagi­nait que l’es­sai ne reste­rait pas sans suite, et que le reste de l’or­chestre suivrait. C’est chose faite aujour­d’hui, avec String Ensemble, réalisé cette fois en asso­cia­tion avec Audio­bro, déjà mentionné plus haut.

Intro­du­cing Native Instru­ments Symphony Series – String Ensemble

Rien de changé dans la procé­dure d’ac­qui­si­tion et d’au­to­ri­sa­tion des biblio­thèques (et logi­ciels pesant un certain poids) chez Native : après achat sur le site (499 euros, ou 299 euros grâce à l’op­tion Tran­si­tion, pour les posses­seurs de Komplete 9 Ulti­mate par exemple), on télé­charge l’ins­tal­leur de la biblio­thèque, permet­tant de rapa­trier sur l’or­di­na­teur les 34 Go de conte­nus (équi­valent à 44 Go une fois décom­pres­sés depuis le format native de Nati­ve…), en plusieurs fois si néces­saire.

Il faudra dispo­ser de Kontakt version complète ou de Kontakt Player (gratuit) depuis la version 5.5, les spéci­fi­ca­tions sont donc celles de ces logi­ciels. On auto­ri­sera la biblio­thèque direc­te­ment via le Service Center ou via l’on­glet Libra­ries dans Kontakt, et le bouton Acti­vate. On est ensuite prêt à travailler.

Consti­tu­tion athlé­tique

Visi­ble­ment, Native a choisi de revoir les choses à la baisse dans la consti­tu­tion des pupitres, alors que Brass propo­sait un regrou­pe­ment par huit instru­men­tistes par section (37 instru­men­tistes répar­tis en quatre pupitres de huit joueurs plus cinq solistes). La présente biblio­thèque compte une forma­tion compre­nant 60 instru­men­tistes, 30 violo­nistes (16+14), 12 altistes, 10 violon­cel­listes et huit contre­bas­sistes (soit deux altos et une contre­basse de plus que Holly­wood Strings, pour ordre d’idée), ce qui corres­pond à une forma­tion assez tradi­tion­nelle de l’or­chestre sympho­nique. Tiens, première chose à remarquer, là où Brass propo­sait d’en­trée Brass Solo, une version avec solistes, String Ensemble vient seul… La suite au prochain épisode ?

Native Instruments String Ensemble : 01 Full

On peut dès le départ se poser la ques­tion de la cohé­rence sonore entre les deux parties de l’or­chestre, puisque les Brass ont été enre­gis­trés dans une église améri­caine (Saint Paul), alors que String Ensemble l’a été dans une salle (non préci­sée) de Buda­pest, fréquem­ment utili­sée par l’or­chestre sympho­nique de Buda­pest (sans que l’on soit sûr non plus que les musi­ciens soient ceux de l’or­chestre. On peut cepen­dant imagi­ner que le studio utilisé soit celui de Radio-Bartok, dont les dimen­sions pour­raient corres­pondre à celle indiquée par l’édi­teur (plafond à plus de neuf mètres). On revien­dra sur la ques­tion de l’en­vi­ron­ne­ment sonore.

L’or­ga­ni­sa­tion des programmes est très simple : cinq présets, Violins, Violas, Cellos, Bass et String Ensemble, et c’est tout. Pourquoi pas, mais on peut se deman­der pourquoi la Symphony Series ne présente pas les mêmes hiérar­chies sur son ensemble, puisque Brass offrait des dossiers compor­tant un programme global au nom de l’ins­tru­ment, puis des arti­cu­la­tions sépa­rées incluant elles-mêmes des varia­tions. Il peut être parfois préfé­rable de char­ger une seule arti­cu­la­tion (gestion du CPU, de la RAM, du strea­ming, etc.) plutôt qu’un programme les regrou­pant toutes.

On retrouve en revanche la même inter­face graphique, dont nous avions salué la réus­site, graphique et ergo­no­mique, ainsi que son orga­ni­sa­tion en onglets, au nombre de trois, Perfor­mance, Mixer et Setup A+B (ou Setup I+II pour Violins et String Ensemble). Perfor­mance reprend exac­te­ment les fonc­tions mises en place pour Brass, à savoir le gros rota­tif permet­tant de jouer sur la dyna­mique via la molette de modu­la­tion (ou autre contrô­leur continu), permet­tant de passer d’at­taques douces à petit volume, à plus marquées dans les réglages supé­rieurs. Quatre tirettes permettent ensuite de modi­fier l’ex­pres­sion (volume global par rapport à un réglage de dyna­mique, c’est la combi­nai­son des deux qui donnera le côté réaliste du jeu), l’en­ve­loppe dyna­mique de volume (Attack, Release) et le timbre des instru­ments (Bright­ness). Choix diffé­rents de Brass, donc.

Native Instruments String Ensemble : Browser

À l’iden­tique, on sélec­tionne les arti­cu­la­tions via KeyS­witches (ou via contrô­leur MIDI). Celles-ci sont au nombre de 11, entre Legato, Legato Vibr. Cntr. (sauf pour les Basses), Sordino Sus. Vib, Tremolo, Trills (sauf pour les Cellos et Basses), Harmo­nics, Stac­cato, Spic­cato, Pizzi­cato et Octave Run Up (sauf pour les Basses). Les Basses profitent, elles, de pizzi­ca­tos Bartok, et de Marcato. On peut donc program­mer son propre Set grâce à l’Ar­ti­cu­la­tion Slot Setup, en défi­nis­sant l’ordre des huit slots, ainsi que le pré-réglage des volumes via rota­tif indi­vi­duel, et la plage de réponse à la vélo­cité, puis sauve­gar­der le programme sous le nom désiré. Tout aussi réussi que dans Brass.

On para­mètre ensuite le seuil de passage entre les arti­cu­la­tions Porta­mento à Legato suivant la vélo­cité, ainsi que la vitesse d’exé­cu­tion du Porta­mento (Speed). L’édi­teur précise bien qu’il s’agit là d’ar­ti­cu­la­tions réel­le­ment enre­gis­trées, donc non simu­lées comme cela peut parfois être le cas.

Voici quelques exemples de ces arti­cu­la­tions qui utilisent l’Auto Divisi (une des grandes forces de cette biblio­thèque, abor­dée plus avant).

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Les arti­cu­la­tions Vibr. Ctrl. disposent d’un taux de vibrato réglable, hélas situé par défaut dans la page deux des contrô­leurs sur le clavier KKS ; mais comme on peut réas­si­gner à loisir les contrô­leurs dans le Komplete Kontrol, ceci pourra être aisé­ment modi­fié.

On enten­dra ici les Cellos et les Violas.

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Native Instruments String Ensemble : EQ

Les arti­cu­la­tions Harmo­nics disposent quant à elles d’un réglage de durée de relâ­che­ment supplé­men­taire.

Les arti­cu­la­tions courtes sont pour­vues de réglages diffé­rents, ce qui semble logique… Ainsi d’un Round Robin, pouvant être continu (l’un après l’autre dans l’ordre) ou pseudo-aléa­toire (entre deux et quatre échan­tillons suivant l’ins­tru­ment). Le bouton Slam applique une compres­sion plus ou moins forte pour un effet de son plus massif. Autre chan­ge­ment, la section Repe­ti­tion, dans laquelle on choi­sira une divi­sion ryth­mique (croche, trio­let de croches, et double-croche) et une figure ryth­mique, hélas non program­mable (pas d’ac­cent, Accent sur le 1, sur 1 et 3 et sur Strong Accent 1 + 3).

Quelques exemples de cette section, sur les diffé­rentes arti­cu­la­tions.

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On dispose dans Mixer, et pour chaque programme, d’un master Stereo, et de prises Close, Mid et Far, dont on peut choi­sir les sorties (en fonc­tion de celles réglées dans Kontakt ou Komplete Kontrol) et que l’on peut acti­ver, désac­ti­ver et mixer comme désiré.

Voici plusieurs exemples des trois pers­pec­tives sonores, puis du pré-mix Stereo.

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Native Instruments String Ensemble : Mixer

Dans cette même page, on trou­vera l’EQ trois bandes (deux semi, un para­mé­trique), la réverbe à convo­lu­tion dotée d’IR spéci­fiques (Cine­ma­tic, produite par Audio­bro, offrant quatre présets, Modern Film, Lush Film, Clas­sic Film et Lush Clas­sic, et utili­sant une IR nommée LA Verb, plus 100 IR signées Soun­di­ron, et présentes dans Brass, ce qui permet­tra d’es­sayer de mêler les deux biblio­thèques indé­pen­dam­ment de la signa­ture de leurs « pièces » d’en­re­gis­tre­ment diffé­rentes), deux filtres (HiPass, LoPass) et un compres­seur (le Solid Bus), EQ, réverbe et Comp pouvant être acti­vés/désac­ti­vés selon les besoins. On pourra aller sauve­gar­der les IR de la réverbe Cine­ma­tic dans les réglages User, en mode d’édi­tion, afin de les récu­pé­rer pour Symphony Series – Brass, pour assu­rer une autre cohé­sion sonore à l’en­semble.

Le gros morceau

Une des grandes forces de LASS réalisé par Audio­bro était l’in­té­gra­tion des divisi, indis­pen­sables si l’on ne veut pas se retrou­ver avec des orchestres de taille tota­le­ment irréa­liste. Prenons l’exemple de la _5e_ de Mahler : les violons I jouent quatre notes (les trémo­los, partie 18, _Klagend. Nicht Eilen._).

Native Instruments String Ensemble : SlotSetup

Si on veut repro­duire ce passage, ou écrire quelque chose dans le genre, il faut donc une biblio­thèque propo­sant premiers et seconds violons, ce qui n’est pas le cas de toutes. Et enfin, la possi­bi­lité de sépa­rer les sections pour attri­buer les voix néces­saires. Sinon, on se retrouve avec des monstres invrai­sem­blables, avec quarante instru­men­tistes, voire plus (une section complète de violons compo­sée de 20 instru­men­tistes, sans répar­ti­tion premiers/seconds ni divisi, avec un accord de quatre notes, se trans­forme en section de 80 instru­men­tistes !).

Avec String Ensemble, il suffit d’ac­ti­ver la partie Auto Divisi, pour que le logi­ciel divise et répar­tisse les voix auto­ma­tique­ment, grâce à l’en­re­gis­tre­ment réel de petites sections. Pour les violons, par exemple, on dispose du pupitre complet (30 instru­men­tistes), mais aussi de Violons I (16), Violons II (14), et la divi­sion de ces sections en deux parties distinctes (Violons IA et IB, huit instru­men­tistes chacune et Violons IIA et IIB, sept chacune).

Prenons un accord de quatre notes, sur l’en­semble du pupitre (30 violons) sans acti­ver l’Auto Divisi. On enten­dra donc… 120 instru­men­tistes !

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Main­te­nant acti­vons l’Auto Divisi, et jouons le même accord. Le résul­tat est bien plus natu­rel, se répar­tis­sant en 8+8+7+7. On enten­dra dans l’exemple l’ac­cord complet, puis l’égre­nage des notes permet­tant d’en­tendre au fur et à mesure la divi­sion se faire et la masse orches­trale chuter d’au­tant.

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Bien sûr, on ne pourra pas repro­duire tous les cas de figure, tel l’exemple de Mahler, qui résul­te­rait ici en une section de premiers violons de 32 instru­men­tistes (8+8+8+8). Pas tota­le­ment réaliste, mais déjà plus crédible que les 120 du départ…

Bilan

Ce qui faisait, entre autres, le succès des LASS était bien entendu la possi­bi­lité d’uti­li­ser des divisi. Leur inté­gra­tion ici s’ajoute à l’ex­cel­lente qualité sonore de la biblio­thèque, et à celle de la program­ma­tion (montage, édition, bouclages, cross­fades, keys­witches, etc.).

On rencontre peu d’ar­te­facts sonores, le passage entre les layers de réponse à la vélo­cité s’ef­fec­tue en douceur (jusqu’à quatre niveaux), seules les trop grandes modi­fi­ca­tions de tempo se feront entendre lors de l’uti­li­sa­tion des Runs, qui sont eux-mêmes un des bonus très inté­res­sants de la biblio­thèque (mineurs et majeurs ascen­dants). Mais comme on l’in­diquait dans le test de Brass, il vaut mieux effec­tuer un bounce à la vitesse d’ori­gine, puis utili­ser un logi­ciel perfor­mant pour viser le tempo de desti­na­tion. Autre chose à prendre en compte : en termes de jeu live, il faudra prendre l’ha­bi­tude de légè­re­ment jouer en avant, comme les instru­men­tistes le font, d’ailleurs. Et en cas de program­ma­tion dans le Piano Roll, ne surtout pas quan­ti­ser, et ne pas hési­ter à avan­cer les notes par rapport à la grille, sous peine de perdre le béné­fice du réalisme de la biblio­thèque.

On appré­cie aussi la très belle qualité sonore des prises Close, qui le sont réel­le­ment (Close…). Ce sera d’ailleurs un problème avec Brass, puisque l’on est obligé pour ceux-ci de couper sévè­re­ment le Release, les prises dites « Close » conte­nant beau­coup trop de pièce…

Bref, les deux éditeurs réunis ont réussi un très bon produit, qui pour­rait parfai­te­ment conve­nir en temps que premier achat, en offrant de plus les divisi, ce qui est main­te­nant indis­pen­sable à toute biblio­thèque digne de ce nom (il faut par exemple ache­ter les Holly­wood Diamond chez East West pour y avoir droit, et avec moins de souplesse et de faci­lité d’uti­li­sa­tion qu’ici. Sans comp­ter qu’ils coûtent 840 euros, plus les 200 euros de disque dur et clé iLok…).

Bref, Symphony Series – String Ensemble est une belle réus­site, méri­tant un Award Valeur Sûre, que je m’em­presse de lui accor­der. Et l’on attend de pied ferme les instru­ments solo.

Télé­char­gez les extraits sonores (format FLAC)

  • Native Instruments String Ensemble : 01 Full
  • Native Instruments String Ensemble : Browser
  • Native Instruments String Ensemble : Conv1
  • Native Instruments String Ensemble : Conv2
  • Native Instruments String Ensemble : Divisi
  • Native Instruments String Ensemble : EQ
  • Native Instruments String Ensemble : Groups
  • Native Instruments String Ensemble : Knobs
  • Native Instruments String Ensemble : Layers
  • Native Instruments String Ensemble : Mixer
  • Native Instruments String Ensemble : MixerFX
  • Native Instruments String Ensemble : Performance
  • Native Instruments String Ensemble : SectionSetup
  • Native Instruments String Ensemble : Slots
  • Native Instruments String Ensemble : SlotSetup
  • Native Instruments String Ensemble : Sorties

 

9/10
Award Valeur sûre 2016
Points forts
  • Conception
  • Réalisation
  • Auto Divisi, génial
  • Qualité de la programmation
  • Nombre d’articulations
  • Quatre Layers de réponse à la vélocité
  • Prises Close très réussies
  • Round Robin
  • 100 IR réalisées par Soundiron, déjà dispo dans Symphony Series - Brass
  • Quatre IR Cinematic supplémentaires
  • Runs, rarement fournis
  • Intégration avec les claviers Kontrol S-Series
Points faibles
  • Acoustique différente de celle de Symphony Series - Brass
  • Rythmes de Répétition non programmables
  • Répétition moins convaincante que le reste

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