Sujet Commentaires sur la news : Customuse, des guitares imprimées en 3D
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Banshee in Avalon
27931
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warlus1
918
Posteur·euse AFfolé·e
daymon
21
Nouvel·le AFfilié·e
pierrobasse
74
Posteur·euse AFfranchi·e
X@vier
198
Posteur·euse AFfiné·e
Un peu cher pour aller ramasser les salades au potager.
Guinnness
819
Posteur·euse AFfolé·e
Ca fait quand même cher le kilo de plastique, qui plus est l'esthétique est ... comment dire ... discutable pour rester poli 
Anonyme
trash-o
1235
AFicionado·a
Je n'ai rien d'autre à dire que 
Anonyme
68
"des guitares imprimées en 3D"...
Je comprends même pas le titre.
Je me fais vieux
Je comprends même pas le titre.
Je me fais vieux
skarabee.nc
1082
AFicionado·a
Elles sont "imprimées" à partir d'une imprimante 3D, qui superpose des couches fines de matériaux plastiques. Certaines de ces imprimantes sont même disponible en kit à partir de 500 roros. Il suffit d'un fichier informatique 3D (même google sketchup fait la blague). Certains sites comme Sculpteo proposent déjà depuis 2 ans de réaliser des objets d'après vos plans 3D. Après, pour un corps de gratte, c'est discutable. Il y a déjà quelques temps qu'on peut voir ce genre de corps (cf une spider LP trouvée sur le Gogol en 2012, j'ai la flemme de re-rechercher)) En tant que fils d'ébéniste, j'ai une tendance naturelle à privilégier le bois, non vernis de préférence, au toucher, c'est inégalable.
D'autre part, on a encore peu de recul sur la tenue dans le temps de ce type d'assemblage. Il suffit d'une légère interruption en cours de "gravure" pour que l'intégrité structurelle du corps soit touchée. Il faut que chaque partie soit faite en une passe, et les machines actuelles ont tendance à chauffer rapidement. C'est sans doute pour cela que les corps proposés n'offre pas de grosse masse compacte, encore difficile à réaliser dans ce domaine. Ont pourrait comparer ça à de la synthèse additive (on ajoute du matériau couche après couche), par rapport à la sculpture traditionnelle: on enlève du matériau, synthèse soustractive.
. Associez à l'entrée un scanner 3D et vous pourrez cloner à distance un objet. A partir du moment ou on peut numériser en 3D et reproduire en 3D, le vieux rêve de la téléportation est en route, du moins pour l'inanimé. C'est pas pour demain, mais juste après demain. Et le jour d'après, l'ADN? Des expériences sont déjà en cours pour recomposer le code génétique d'organismes simples comme un virus. Je crois que pépé avait raison...
Bon, sinon en faisant un peu de cool-futurisme, on peut imaginer des tonnes d'applications à ce domaine:
Une pièce qui vient à lâcher, vous êtes à des milliers de km du dépanneur, celui ci vous télécharge le fichier de la pièce que vous n'avez plus qu'à imprimer chez vous. Plus besoin de stock de pièces à expédier par avion, juste des rouleaux de polymères, nouveaux consommables informatiques.
Vous avez réalisé une sculpture impossible à matérialiser par les moyens traditionnels, hop, un coup d'imprimante, et voili (déjà des tonnes d'exemples, petite recherche Gogol)
Vous voulez réaliser un proto pour du moulage métal? idem
Un objet vous plait dans un catalogue (lampe, accessoires de bureau, déco)? téléchargez le fichier à imprimer.
J'arrête, j'ai d'autres idées, mais je les garde au chaud...
D'autre part, on a encore peu de recul sur la tenue dans le temps de ce type d'assemblage. Il suffit d'une légère interruption en cours de "gravure" pour que l'intégrité structurelle du corps soit touchée. Il faut que chaque partie soit faite en une passe, et les machines actuelles ont tendance à chauffer rapidement. C'est sans doute pour cela que les corps proposés n'offre pas de grosse masse compacte, encore difficile à réaliser dans ce domaine. Ont pourrait comparer ça à de la synthèse additive (on ajoute du matériau couche après couche), par rapport à la sculpture traditionnelle: on enlève du matériau, synthèse soustractive.
Hors sujet :
Ces imprimantes sont en train de se démocratiser, avec les inévitables dérapages à chaque fois qu'une innovation technique tombe dans le champ de l'utilisateur lambda. Une des premières applications a été de construire un flingue en plastique à un coup, indétectable par les portique des aéroports... (Quand j'étais jeune, il y a environ 100 000 ans, mon grand-père disait déjà en parlant du feu: l'homme est le seul à utiliser des choses qu'il ne maîtrise pas, il va faire des conneries avec. Depuis, on a eu Hiroshi-Fukushima, et maintenant l'imprimante à guitare et flingueoff-topic
. Associez à l'entrée un scanner 3D et vous pourrez cloner à distance un objet. A partir du moment ou on peut numériser en 3D et reproduire en 3D, le vieux rêve de la téléportation est en route, du moins pour l'inanimé. C'est pas pour demain, mais juste après demain. Et le jour d'après, l'ADN? Des expériences sont déjà en cours pour recomposer le code génétique d'organismes simples comme un virus. Je crois que pépé avait raison...Hors sujet :
off-topic
Bon, sinon en faisant un peu de cool-futurisme, on peut imaginer des tonnes d'applications à ce domaine:
Une pièce qui vient à lâcher, vous êtes à des milliers de km du dépanneur, celui ci vous télécharge le fichier de la pièce que vous n'avez plus qu'à imprimer chez vous. Plus besoin de stock de pièces à expédier par avion, juste des rouleaux de polymères, nouveaux consommables informatiques.
Vous avez réalisé une sculpture impossible à matérialiser par les moyens traditionnels, hop, un coup d'imprimante, et voili (déjà des tonnes d'exemples, petite recherche Gogol)
Vous voulez réaliser un proto pour du moulage métal? idem
Un objet vous plait dans un catalogue (lampe, accessoires de bureau, déco)? téléchargez le fichier à imprimer.
J'arrête, j'ai d'autres idées, mais je les garde au chaud...
...non, rien....
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