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JX de poche
8/10
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Dévoilée à la rentrée, la nouvelle série Boutique de Roland propose d’emblée trois mini-synthés numériques modélisant des références vintage de la marque. Au menu de ce test, le JX-03.

Small is beau­ti­ful. C’est incon­tes­ta­ble­ment le mot qui circule dans les dépar­te­ments R et D des fabri­cants de synthés ces dernières années. Le Mini­Brute d’Ar­tu­ria a ouvert un segment de marché où les non-clavié­ristes, qu’ils soient MAOistes, guita­ristes, bassistes, DJ ou encore chan­teurs, se sont vu propo­ser une offre inno­vante de synthés plus compacts, plus mobiles, plus directs, plus écono­miques… avec beau­coup moins de touches que le stan­dard, puis des touches plus petites, ce qui n’a pas manqué de faire râler les habi­tués de la voltige au clavier, entre 61 et 88 touches. Les réac­tions furent et demeurent vives, voire extrêmes, certains parlant de « fin d’une époque », de « n’im­porte quoi » et même d’« arnaque » !

Ce constat de chan­ge­ment de para­digme nous renvoie au concept de destruc­tion créa­trice de Schum­pe­ter : l’in­no­va­tion est précé­dée d’une période de destruc­tion. Cela s’est produit maintes fois, il y a un bout de temps déjà : l’im­pri­me­rie a laminé les moines copistes, la lampe à incan­des­cence a souf­flé la bougie, la photo numé­rique a virtua­lisé l’ar­gen­tique… Sera-ce le sort réservé aux grands synthés ? C’est ce que semble nous dire Artu­ria (Micro­Brute), puis Korg (MS20 Mini/ARP Odys­sey) et tout récem­ment Yamaha (Reface DX, CS, CP, YC). C’est main­te­nant au tour de Roland de s’y mettre, propo­sant sa propre vision du micro synthé auto­nome, présenté dans sa nouvelle Boutique, avec pas moins de trois modules accom­pa­gnés de leur station d’ac­cueil, modé­li­sant trois synthés vintage de légende : le JP-08 (Jupi­ter-8), le JU-06 (Juno-106) et le JX-03 (JX-3P & PG-200). Après l’ul­tra­book, le segment de l’ul­tra­synth s’ins­tal­le… mais pour le moment, débal­lons le JX-03.

Mini module

Roland JX-03

Les commandes sont de bonne facture et agréables à manier : 18 poten­tio­mètres, 6 sélec­teurs rota­tifs, 7 inter­rup­teurs et 21 boutons lumi­neux francs. Certes, elles sont très serrées et on pour­rait craindre que l’es­pa­ce­ment des poten­tio­mètres rota­tifs soit insuf­fi­sant, mais on se rend compte à l’usage qu’ils sont tout à fait jouables, d’au­tant que leur bonne résis­tance limite les fausses mani­pu­la­tions.

La prise en main est immé­diate, car la grande majo­rité des para­mètres est direc­te­ment acces­sible en façade. Le reste se fait en combi­nai­son avec les touches [Chorus] ou [Manual] ; cela concerne essen­tiel­le­ment les fonc­tions du séquen­ceur ou les réglages globaux, tels que l’ac­cord global, le canal MIDI, la trans­po­si­tion d’oc­tave (-4 /+5) ou par demi-ton, la courbe de réponse à la vélo­cité (assi­gnée au volume unique­ment) ou le tempé­ra­ment de jeu via le ruban de Pitch bend ; cela concerne aussi quelques para­mètres de synthèse addi­tion­nels mémo­ri­sés avec les programmes : temps de porta­mento, mode de jeu (solo/unis­son/poly) et effet délai. Dommage que le construc­teur n’ait pas séri­gra­phié ces fonc­tions sur la façade, il restait de la place pour cela.

Le JX-03 reprend l’in­té­gra­lité des commandes du PG-200 et la charte graphique du JX-3P : DCO et leurs modu­la­tions, VCF, VCA, LFO et enve­loppe unique. La rangée infé­rieure est compo­sée de boutons lumi­neux, permet­tant de gérer les presets, les programmes, les séquences et les fonc­tions globales. À gauche, on trouve deux rubans d’ex­pres­sion avec rappel et rétro-éclai­rage laté­ral suivant la posi­tion (déli­cate atten­tion), l’un pour le Pitch bend, l’autre pour la modu­la­tion ; le premier permet égale­ment la pré-écoute des sons lorsque rien n’est connecté à la machine, avec choix du tempé­ra­ment parmi 16 types prédé­fi­nis.

La connec­tique, située à l’ar­rière, est commune à la série Boutique : inter­rup­teur secteur, port USB type micro B (alimen­ta­tion, MIDI et audio), mini poten­tio­mètre de volume, sortie casque, sortie ligne, entrée ligne (routée direc­te­ment vers les sorties audio analo­giques/USB, pour casca­der plusieurs modules) et entrée/sortie MIDI au format DIN. Toute la connec­tique audio est au format mini-jack stéréo. En dessous du module, on trouve un petit HP (dont nous repar­le­rons) et une trappe pour insé­rer les 4 piles AA-LR6 four­nies (à défaut d’un cordon micro USB/alimen­ta­tion secteur non fourni). En conjonc­tion avec le petit HP et le ruban de Pitch bend, elles rendent le synthé tota­le­ment auto­nome, du moins pendant les 6 heures annon­cées par le construc­teur.

ACBien mieux

Dès les premières notes, le JX-03 nous donne un sourire de satis­fac­tion. Les niveaux audio sont élevés et ceux qui utilisent un casque pour lecteur MP3/smart­phone ont inté­rêt à réduire le volume avec le petit poten­tio­mètre idoine situé à l’ar­rière !

Roland JX-03

Outre un mode manuel, la machine propose 16 mémoires utili­sa­teur et les 32 presets origi­nels du JX-3P. Aucun doute que le JX-03 soit le fils numé­rique de son père analo­gique, non seule­ment au niveau des commandes, iden­tiques, mais aussi sur le plan du son. L’écoute des presets nous rappelle immé­dia­te­ment le JX-3P de notre jeunesse, avec des strings au chorus ample, des orgues percu­tants (un poil plus que sur le modèle d’ori­gine, de mémoire), des cuivres géné­reux (avec ou sans chorus) et des basses bien rondes. On n’ou­blie pas les clas­siques, tels que Chime (carillon à base de Metal Mod), Voice (voix humaine solo un peu retra­vaillée pour l’exemple audio), Filter Flow (balayage de filtre chaleu­reux), Sync Wah (synchro rapide), Sync Sweep (synchro lente­ment modu­lée) ou encore Planet (nappe réso­nante). On appré­cie la qualité du filtre modé­lisé et les inter­ac­tions d’os­cil­la­teurs bien maîtri­sées, signa­ture du JX. Le souffle origi­nel du chorus a même été repro­duit, mais on peut régler le volume par combi­nai­son de touches.

On retrouve donc le grain et les points forts carac­té­ris­tiques du JX-3P dans le JX-03. Mais ce qui nous a le plus plu, c’est la qualité de la modé­li­sa­tion ACB repro­dui­sant les imper­fec­tions de l’ana­lo­gique, avec une flui­dité remarquable des commandes conti­nues

. Les oscil­la­teurs sont stables comme les DCO du JX-3P, mais on entend de petites fluc­tua­tions subtiles dans les filtres et les niveaux quand on alterne les voix… C’est très appré­ciable sur un synthé poly­pho­nique ! Lorsqu’on débranche la sortie audio ou casque, le petit HP inté­gré est activé : autant le dire tout de suite, son 0,5 W et sa posi­tion à l’ar­rière ne lui permettent pas de briller. Très vite, il sature et peine à resti­tuer les aigus et surtout les graves. Il est loin du niveau des 2 × 2 W + Bass Reflex des Reface de Yamaha, mais permet aux synthés Boutique de rester sous la barre des 5 V/500 mA de consom­ma­tion, syno­nyme d’ali­men­ta­tion via USB. On ne peut pas tout avoir…

A2 Strings2
00:0000:14
  • A2 Strings2 00:14
  • A3 Organ1 00:19
  • A4 Organ2 00:18
  • A12 Vibra­phone 00:11
  • A13 Chime 00:19
  • A15 Accor­dian 00:09
  • A16 Voice 00:19
  • B6 Synth­Brass2 00:15
  • B8 Juicy­Funk 00:12
  • B9 Filter­Flow 00:23
  • B12 SyncS­weep 00:21
  • B15 Planet 00:13
  • A1 Strings1 00:14
  • A7 Brass2 00:12
  • A8 EPia­no1 00:13
  • A9 EPia­no2 00:11
  • A10 Clavi­net 00:12

Cœur ouvert

Roland JX-03

Le JX-03 est un synthé numé­rique à modé­li­sa­tion analo­gique (un VA) poly­pho­nique 4 voix et mono­tim­bral. On peut jouer les 4 voix en poly­pho­nie, mono­die ou à l’unis­son (sans accès au Detune entre les voix). En poly­pho­nie, il n’y a pas de vol des voix, c’est un peu ballot. Le JX-03 modé­lise les 32 para­mètres de synthèse du JX-3P sorti en 1983, en repre­nant les commandes directes du module PG-200, auxquels il apporte quelques fonc­tions supplé­men­taires, à savoir des ondes supplé­men­taires pour les oscil­la­teurs et le LFO, ainsi que de nouvelles inter­mo­du­la­tions d’os­cil­la­teurs. Le son est généré par 2 oscil­la­teurs accor­dables de 2 à 64 pieds par octave, avec accor­dages gros­sier et fin pour le second. Ils peuvent s’in­ter­mo­du­ler de 5 manières diffé­rentes : 2 synchro (soft et hard), 2 Cross Modu­la­tion et 1 Ring Mod pour géné­rer un tas d’ef­fets spéciaux métal­liques et de sons de cloche. Chaque oscil­la­teur offre 6 formes d’onde : sinus, triangle, dent de scie, impul­sion fixe, carré et bruit (rose sur le premier oscil­la­teur, blanc sur le second). Il n’y a donc pas d’im­pul­sion variable, comme sur le JX-3P. Le pitch de chaque oscil­la­teur peut être modulé par le LFO et l’en­ve­loppe, avec quan­ti­tés sépa­rées et inver­seur d’en­ve­loppe.

Roland JX-03

Le signal des deux oscil­la­teurs est mélangé dans une balance puis passe dans un filtre passe-haut statique, suivi d’un filtre passe-bas réso­nant 4 pôles, qui s’ar­rête à la limite de l’auto-oscil­la­tion, comme sur le JX-3P. La fréquence de coupure peut être modu­lée par le LFO, l’en­ve­loppe (bipo­laire) et le suivi de clavier. La résul­tante passe alors dans un ampli, dont on peut régler le volume et la source de modu­la­tion (Gate ou enve­loppe). Le LFO est assez basique, avec réglage de la vitesse (non synchro­ni­sable en MIDI), du délai et de la forme d’onde parmi 6 possi­bi­li­tés : sinus, triangle, dent de scie descen­dante, carrée, aléa­toire et bruit. L’en­ve­loppe est une clas­sique ADSR, bien pêchue de surcroit. Elle est, en résumé, assi­gnable au pitch, au filtre et à l’am­pli. En sortie d’am­pli, le JX-03 offre un chorus stéréo, qui élar­git et réchauffe le son de manière impor­tante. Il souffle tout autant que son modèle, mais comme déjà dit, on peut en régler le niveau par combi­nai­son de touches ([Manual] + [12] puis [1] – [2] – [3] pour 0% – 50% – 100% de souffle). En bout de chaîne, on trouve un effet délai basique, dont on peut régler le niveau, le temps et le feed­back sur 16 valeurs. Toujours ça de pris… Tous ces para­mètres sont sauve­gar­dés dans une mémoire un peu light de 16 programmes utili­sa­teurs préchar­gés d’usine, en plus des 32 Presets d’ori­gine.

Séquen­ceur 16 pas

Roland JX-03

Le JX-3P propo­sait un petit séquen­ceur à un seul motif de 128 pas, trans­po­sable à la volée. Le JX-03 intègre quant à lui un petit séquen­ceur 16 pas et 16 motifs, sauve­gar­dés indé­pen­dam­ment des programmes. On bascule en mode séquen­ceur en appuyant simul­ta­né­ment sur les touches [Chorus] et [Manual] ; on en ressort de la même manière, sans arrê­ter la repro­duc­tion en cours, ce qui permet de chan­ger de programme alors que le séquen­ceur tourne. Le séquen­ceur joue au tempo souhaité ou en synchro MIDI. Son trans­port se limite à une unique touche Play / Stop. On le programme avec les 16 boutons lumi­neux et [Chorus]/[Manual] situés en rangée infé­rieure. Les fonc­tions ne sont pas séri­gra­phiées, ce qui est un mauvais point, sauf pour le déve­lop­pe­ment de la mémoi­re…

Il existe 4 signa­tures tempo­relles : triple-croche, double-croche, trio­let de doubles-croches et trio­let de croches. Pour chaque pas (entre 1 et 16), on peut entrer une note et une seule, au moyen du clavier ou du ruban de Pitch bend, ou garder le silence, ce qui veut dire que le séquen­ceur est mono­dique. La vélo­cité est prise en compte lorsqu’on entre les notes au clavier, sympa. Le temps de Gate se règle avec le ruban de modu­la­tion, pour chaque pas ou de manière globale (avec la touche [Chorus]). Chose amusante, il existe diffé­rents modes de lecture : à l’en­droit, en inver­sion des pas impairs/pairs, pas pairs joués seuls, pas impairs joués seuls, pas impairs puis pairs, pas pairs puis impairs, aléa­toire. Du coup, ça met du groove dans le rythme, groove que l’on peut accen­tuer avec un Shuffle program­mable. L’au­to­ma­tion des commandes n’est toute­fois pas possible et les notes séquen­cées ne sont pas trans­mises en MIDI/USB. De même, on ne peut pas trans­po­ser la lecture à la volée. Ce serait bien que des amélio­ra­tions d’OS prennent cela en comp­te…

MIDI et audio

Pour commu­niquer vers l’ex­té­rieur, les synthés Boutique sont équi­pés de prises MIDI et USB. Un mode Chain permet de casca­der plusieurs JX-03 via MIDI Out/In (et audio Out vers In) et ainsi augmen­ter la poly­pho­nie. Une fois dans ce mode, les notes au-delà de 4 simul­ta­nées sont trans­mises par MIDI Out à la machine suivante (connec­tée en MIDI In, donc…). Les commandes en façade émettent alors des CC ou des Sysex ; même les chan­ge­ments de programme lancent une séquence de Sysex, nous igno­rons s’il s’agit d’un dump du programme sélec­tionné, faute de docu­men­ta­tion sur le sujet. On pourra aussi bran­cher la sortie audio du module esclave dans l’en­trée audio du maître, ça évitera de manger une entrée stéréo sur la table ou la carte son, c’est d’ailleurs pour ça qu’elle est faite.

Roland JX-03

C’est via USB que l’on peut sauve­gar­der et restau­rer les mémoires du JX-03 : cela ne fonc­tionne pas en dump Sysex, il faut relier le JX-03 à un ordi­na­teur et le mettre en mode spécial à l’al­lu­mage en main­te­nant une touche. L’or­di­na­teur accède alors à un réper­toire conte­nant deux sous-réper­toires : Backup et Restore. Backup contient les fichiers de chaque programme et séquence. Il suffit alors de placer ces fichiers dans le réper­toire Restore pour les retrou­ver le moment voulu.

C’est aussi grâce à la prise USB que le JX-03 se trans­forme en inter­face audio stéréo 24 bit/44 kHz en entrée/sortie. Les sons du module et de son entrée audio analo­gique sont ainsi conver­tis en numé­rique et peuvent être envoyés à une STAN. Réci­proque­ment, les sons sortant de la STAN sont conver­tis et envoyés à la sortie audio analo­gique du module. C’est donc un instru­ment virtuel dépourvu d’au­to­ma­tion de ses commandes de synthèse, compte tenu de ce que nous avons dit précé­dem­ment. Ceci néces­site au préa­lable d’ins­tal­ler le driver PC/Mac fourni par Roland (indis­po­nible au moment de notre test). Fran­che­ment c’est agréable de voir des capa­ci­tés audio over USB présentes sur les instru­ments de cette gamme, la concur­rence ferait bien de s’en inspi­rer, surtout sur des machines plus élitis­tes…

On the road

La nouvelle série Boutique est une réponse bit pour bit à la série Reface de Yamaha. Vu le court délai entre la sortie des deux séries, il est fort à parier que les deux construc­teurs les ont déve­lop­pées en même temps. Si l’ap­proche et la cible sont iden­tiques (musi­ciens/chan­teurs/DJ nomades souhai­tant un synthé de voyage auto­nome), la concep­tion diffère un peu. Roland a opté pour un concept intel­li­gent de module VA connec­table au besoin à une station d’ac­cueil, avec une alimen­ta­tion par pile ou USB. Ceci limite la puis­sance du système d’am­pli­fi­ca­tion inté­gré, réduit ici à sa plus simple expres­sion. Là où Roland remporte la mise, c’est sur l’au­dio over USB et le pilo­tage total de modules casca­dés par CC ou Sysex Midi. Le choix entre les diffé­rentes offres se portera égale­ment sur le type de synthèse ou le modèle de synthé émulé. Et sur ce point, le JX-03 réus­sit sa mission, que ce soit sur le plan du look, des commandes ou du son. Roland n’a pas oublié les mémoires, ce qui rend le JX-03 tota­le­ment auto­nome. Avec un prix très calculé, voilà une alter­na­tive à consi­dé­rer par ceux que la rareté, le prix, l’er­go­no­mie (sans PG-200) et la main­te­nance du JX-3P rebutent !

Télé­char­gez les extraits sonores (format FLAC)

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8/10
Points forts
  • La qualité de la modélisation sonore
  • La fluidité des commandes continues
  • Les paramètres éditables identiques à l’original
  • Autonome, compact et mobile
  • La qualité de construction
  • La prise en main immédiate
  • Les mémoires de programmes et séquences
  • Les presets d’origine à l’identique
  • L’existence d’un petit séquenceur
  • L’USB MIDI et audio
  • Le mode Chain, avec pilotage par CC ou Sysex
  • Le concept de station d’accueil optionnelle
Points faibles
  • La polyphonie limitée à 4 notes
  • La mémoire utilisateur un peu light
  • Un seul petit HP vite saturé
  • Séquenceur mono, sans transposition ni émission de notes en MIDI
  • Pas de cordon USB/alimentation secteur fourni
  • Une seule enveloppe
Auteur de l'article synthwalker Passionné de synthés, concepteur produits et rédacteur presse

J'aime tous les synthés, avec une préférence pour les poly vintage à mémoires, qui m'accompagnent depuis le début des 80's. J'écris depuis 25 ans sur les synthés et j'ai contribué au développement de certains d'entre eux. Plusieurs centaines de mes articles ont été publiés sur Audiofanzine et auparavant dans les magazines PlayRecord, Recording, Keyboards, Musicsound et Musiciens.


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J'aime tous les synthés, avec une préférence pour les poly vintage à mémoires, qui m'accompagnent depuis le début des 80's. J'écris depuis 25 ans sur les synthés et j'ai contribué au développement de certains d'entre eux. Plusieurs centaines de mes articles ont été publiés sur Audiofanzine et auparavant dans les magazines PlayRecord, Recording, Keyboards, Musicsound et Musiciens.