Sujet Le son de New York ?
- 54 réponses
- 14 participants
- 5 739 vues
- 9 followers
Afficher le premier post
Si ca c'est pas chipoter
ThibautGPP
118
Posteur·euse AFfiné·e
Citation de azertyvince :
Groupe : Interpol
Album : Turn on the Bright Lights
Titre : Untitled
Sortie en : 2002
Enregistré à Bridgeport (Connecticut): bon c'est à 1h30 de route au Nord Est de New York, mais pas très loin
Si ca c'est pas chipoter
Thibaut de www.guitarplugandplay.com.
azertyvince
3119
Squatteur·euse d’AF
Learn, learn, learn.
Hit !
21755
Vie après AF ?
Autre chipotage :
Exact.
Mais oui-mais-non :
C'est sur la transition 50/60's qu'on allait davantage typer le son "L.A"; pas avant que je sache
Globalement, ceux de Detroit étaient prêts à tout (public ouvert, shows devenant extravagants), à L.A. il fallait entrer dans le moule et voir quelque chose à dire -mille groupes excellents mais qui présentaient identiquement la même chose-, et à New-York on enregistrait précisément ce type de démarquage pour se faire valoir, d'où des albums pas toujours "aboutis" ni forcément réussis après-guerre.
Mais dès '68/69, le monde -notamment musical- a changé la donne et établi ses propres règles. Témoin Alice Cooper, fils de pasteur qui s'est coltiné l'expérience de 3 façons d'enregistrer (Detroit, New-York city, Los Angeles) et de "studiier" l'ensemble avant de trouver à Toronto son Graal chez Bob Ezrin (=de KISS à ... TELEPHONE).
Autres sources musicales concernant le son de NYCity, pris également aux studios TV Atlantic en enregistrant, en '77/78 je crois, AC/DC... On n'aurait pas "ça" -et surtout pas à l'époque- sur nos ondes d'Europe ou RTL, il faut en convenir...
Citation :
Sinatra, c'est quand même lié à Capitol Studio (L.A).
Exact.
Mais oui-mais-non :
Citation :
Capitol fut le premier label basé sur la côte ouest des États-Unis, possédant un studio d’enregistrement à Los Angeles et un autre à New York. Ses principaux concurrents de l’époque sont RCA-Victor, Columbia et Decca, et avaient leur siège à New York. Dès son établissement jusqu’en 1946, Capitol figurait parmi les 6 plus gros éditeurs aux États-Unis, avec 42 million disques vendus.
C'est sur la transition 50/60's qu'on allait davantage typer le son "L.A"; pas avant que je sache
Globalement, ceux de Detroit étaient prêts à tout (public ouvert, shows devenant extravagants), à L.A. il fallait entrer dans le moule et voir quelque chose à dire -mille groupes excellents mais qui présentaient identiquement la même chose-, et à New-York on enregistrait précisément ce type de démarquage pour se faire valoir, d'où des albums pas toujours "aboutis" ni forcément réussis après-guerre.
Mais dès '68/69, le monde -notamment musical- a changé la donne et établi ses propres règles. Témoin Alice Cooper, fils de pasteur qui s'est coltiné l'expérience de 3 façons d'enregistrer (Detroit, New-York city, Los Angeles) et de "studiier" l'ensemble avant de trouver à Toronto son Graal chez Bob Ezrin (=de KISS à ... TELEPHONE).
Autres sources musicales concernant le son de NYCity, pris également aux studios TV Atlantic en enregistrant, en '77/78 je crois, AC/DC... On n'aurait pas "ça" -et surtout pas à l'époque- sur nos ondes d'Europe ou RTL, il faut en convenir...
Jx3
3111
Squatteur·euse d’AF
azertyvince
3119
Squatteur·euse d’AF
- < Liste des sujets
- Charte