Sujet Assedic : de nouvelles méthodes de pression sur les artistes ?
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solidaire.....
amo
- depuis de longues années, v'la-t-y-pas que les assedic lancent à mon encontre une procédure de contrôle ! Ok, tout va bien, c'est normal, ils ont le droit (est-ce bien sûr ?) et pis de toute façon je suis en règle que j'me dis...Studioneptune
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Upupup 
nomorecelinedion
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Quelques nouvelles (pour ceux qui s'inquiéteraient !) :
Je viens de recevoir de la banque un récap de mes relevés de comptes depuis 2002...
Je vais donc pouvoir les fournir a l'ASSEDIC mais j'en ai pour un bout de temps à pointer les encaissement de mes salaires (cf début du forum).
Mon avocat m'a confirmé la "stratégie" de l'ASSEDIC : dévellopper les contrôles afin de trouver des frôdeurs (pas de bol pour eux, j'ai tout bon !!!) et surtout se servir de ceux qu'ils trouveront pour communiquer sur le thème : vous le voyez bien que c'est un système qui ne fonctionne pas puisqu'il y a des frôdeurs !!
Bon, déjà ça ils ont bien communiqué là dessus, y'a qu'a demander à Booz
Bon, sinon ce qui est plus grave, c'est que j'ai n'ai pas encore toutes les pièces nécessaires à mon dossier... Ca fait déja 15 jours que j'ai reçu la missive et je pense que j'en ai encore pour 15 jours de boulot et d'attente des pièces.
Comme je l'ai déjà dit, ma compagne est contrôlée aussi mais comme elle est en renouvellement, son dossier est bloqué et donc elle ne touche rien pour le moment...
Imaginons un instant qu'elle vive seule avec nos deux enfants, elle vient de passer d'un revenu moyen de 1300€ à rien ! (puisqu'elle n'a pratiquement bossé que sur le contrôle assedic depuis 15 jours...).
C'est pas mal comme stratégie, si t'es dans ce cas, je vois pas comment tu en réchappe ??
En tout cas, ça me débecte ! Ca m'incite à me radicaliser ! Encore un coup comme ça et je fonce acheter le dernier NTM !
Je viens de recevoir de la banque un récap de mes relevés de comptes depuis 2002...
Je vais donc pouvoir les fournir a l'ASSEDIC mais j'en ai pour un bout de temps à pointer les encaissement de mes salaires (cf début du forum).
Mon avocat m'a confirmé la "stratégie" de l'ASSEDIC : dévellopper les contrôles afin de trouver des frôdeurs (pas de bol pour eux, j'ai tout bon !!!) et surtout se servir de ceux qu'ils trouveront pour communiquer sur le thème : vous le voyez bien que c'est un système qui ne fonctionne pas puisqu'il y a des frôdeurs !!
Bon, déjà ça ils ont bien communiqué là dessus, y'a qu'a demander à Booz
Bon, sinon ce qui est plus grave, c'est que j'ai n'ai pas encore toutes les pièces nécessaires à mon dossier... Ca fait déja 15 jours que j'ai reçu la missive et je pense que j'en ai encore pour 15 jours de boulot et d'attente des pièces.
Comme je l'ai déjà dit, ma compagne est contrôlée aussi mais comme elle est en renouvellement, son dossier est bloqué et donc elle ne touche rien pour le moment...
Imaginons un instant qu'elle vive seule avec nos deux enfants, elle vient de passer d'un revenu moyen de 1300€ à rien ! (puisqu'elle n'a pratiquement bossé que sur le contrôle assedic depuis 15 jours...).
C'est pas mal comme stratégie, si t'es dans ce cas, je vois pas comment tu en réchappe ??
En tout cas, ça me débecte ! Ca m'incite à me radicaliser ! Encore un coup comme ça et je fonce acheter le dernier NTM !
amo
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solidaire.....amo
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Thank you amo ! 
Studioneptune
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UPUPUP
JORVEL
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Un petit compte-rendu de la situation actuelle...
Depuis Janvier, ma compagne xxxx et moi-même (musiciens/comédiens tous deux intermittents) faisons l’objet d’un contrôle de la part de l’ASSEDIC…
Jusqu’ici rien de plus normal si ce n’est qu’on eut bien envie de contester les termes mêmes de la missive – intitulée « AUDIT » ! - qui pousse jusqu’à nous demander nos avis d’imposition et nos relevés bancaires depuis 2002.
Mais on n’en fit rien. On envoya les papiers demandés dès que possible (début février).
Il faut préciser que nous sommes tous deux employés (presque exclusivement) par une petite compagnie que nous avons grandement contribué à créer il y a de cela 7 ans : la compagnie WWWWW. Celle-ci reçut, en janvier également, une demande parallèle intitulée « demande de confirmation d’emploi ».
On attendit.
On s’aperçut alors que le dossier de xxxx était en attente de traitement. On s’inquiéta et on se vit répondre « ha ben c’est normal, s’il est au contrôle, il peut pas être traité, il est à TATAOUINE alors on peut rien faire, nous »
On attendit, persuadés qu’à la vue de la tonne de papiers transmis, l’ « auditeur » reconnaîtrait notre flagrante bonne foi sous huit jours (en outre, il nous avait assuré par téléphone qu’à réception de ces papiers, il fallait compter justement huit à dix jours avant d’avoir de ses nouvelles).
On attendit.
La compagnie reçut début mars une demande « complémentaire ». C'est-à-dire tous les contrats de cession, conventions et facturation afférant aux cachets depuis 2002.
On fut un peu surpris. D’autant qu’à titre personnel, on ne fut informé de rien.
On envoya donc au directeur de l’ASSEDIC de PETSOUILLE-LES-OIES (dont nous dépendons) ainsi qu’à l’ « auditeur » un recommandé exigeant, sinon l’étude rapide du dossier de xxxx (sans indemnité depuis janvier) du moins une explication valable de ce silence radio.
Nous l’eûmes sous la forme d’un appel téléphonique de l’ « auditeur », surpris de notre réaction, voire étonné de notre agacement « vous comprenez, on ne va pas étudier les droits de votre compagne, ce serait absurde, si après j’étais amené à prendre une décision contraire… ». D’autre part, il me signala qu’il n’avait pas reçu mes papiers, envoyés pourtant début février…
Depuis, on contacta le conseiller général avec lequel nous sommes en relation depuis qu’il est en charge de la commission culture du département pour lui signaler notre détresse financière et la menace inhérente de disparition de la compagnie… Emu, il décrocha son téléphone et appela l’ « auditeur » dont, à cette occasion, il ne se fit pas un ami. Au passage, l’ « auditeur » fit remarquer que xxxx fut chef d’entreprise (graphiste) avant d’être musicienne et qu’il ne « croyait pas » à cette reconversion d’autant qu’elle fut également présidente de l’association avant d’en démissionner pour pouvoir en être l’employée.
Face à tant d’abus et d’absurdité, nous sommes un peu déconfits. Outre que nous sommes dans une situation plus que périlleuse d’un point de vue financier.
Que faire quand UBU s’en mêle à ce point ? Combien de mois encore faudra-t-il tenir ?
La suite au prochain épisode...
Depuis Janvier, ma compagne xxxx et moi-même (musiciens/comédiens tous deux intermittents) faisons l’objet d’un contrôle de la part de l’ASSEDIC…
Jusqu’ici rien de plus normal si ce n’est qu’on eut bien envie de contester les termes mêmes de la missive – intitulée « AUDIT » ! - qui pousse jusqu’à nous demander nos avis d’imposition et nos relevés bancaires depuis 2002.
Mais on n’en fit rien. On envoya les papiers demandés dès que possible (début février).
Il faut préciser que nous sommes tous deux employés (presque exclusivement) par une petite compagnie que nous avons grandement contribué à créer il y a de cela 7 ans : la compagnie WWWWW. Celle-ci reçut, en janvier également, une demande parallèle intitulée « demande de confirmation d’emploi ».
On attendit.
On s’aperçut alors que le dossier de xxxx était en attente de traitement. On s’inquiéta et on se vit répondre « ha ben c’est normal, s’il est au contrôle, il peut pas être traité, il est à TATAOUINE alors on peut rien faire, nous »
On attendit, persuadés qu’à la vue de la tonne de papiers transmis, l’ « auditeur » reconnaîtrait notre flagrante bonne foi sous huit jours (en outre, il nous avait assuré par téléphone qu’à réception de ces papiers, il fallait compter justement huit à dix jours avant d’avoir de ses nouvelles).
On attendit.
La compagnie reçut début mars une demande « complémentaire ». C'est-à-dire tous les contrats de cession, conventions et facturation afférant aux cachets depuis 2002.
On fut un peu surpris. D’autant qu’à titre personnel, on ne fut informé de rien.
On envoya donc au directeur de l’ASSEDIC de PETSOUILLE-LES-OIES (dont nous dépendons) ainsi qu’à l’ « auditeur » un recommandé exigeant, sinon l’étude rapide du dossier de xxxx (sans indemnité depuis janvier) du moins une explication valable de ce silence radio.
Nous l’eûmes sous la forme d’un appel téléphonique de l’ « auditeur », surpris de notre réaction, voire étonné de notre agacement « vous comprenez, on ne va pas étudier les droits de votre compagne, ce serait absurde, si après j’étais amené à prendre une décision contraire… ». D’autre part, il me signala qu’il n’avait pas reçu mes papiers, envoyés pourtant début février…
Depuis, on contacta le conseiller général avec lequel nous sommes en relation depuis qu’il est en charge de la commission culture du département pour lui signaler notre détresse financière et la menace inhérente de disparition de la compagnie… Emu, il décrocha son téléphone et appela l’ « auditeur » dont, à cette occasion, il ne se fit pas un ami. Au passage, l’ « auditeur » fit remarquer que xxxx fut chef d’entreprise (graphiste) avant d’être musicienne et qu’il ne « croyait pas » à cette reconversion d’autant qu’elle fut également présidente de l’association avant d’en démissionner pour pouvoir en être l’employée.
Face à tant d’abus et d’absurdité, nous sommes un peu déconfits. Outre que nous sommes dans une situation plus que périlleuse d’un point de vue financier.
Que faire quand UBU s’en mêle à ce point ? Combien de mois encore faudra-t-il tenir ?
La suite au prochain épisode...
CMC6
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