Un ampli signature Guy Pratt chez Ashdown, l'Interstellar-600

La section égali­sa­tion du nouvel Inter­stel­lar-600 dispose de trois potards, Bass, Middle et Treble mais aussi de six faders. Quand ces faders sont au milieu, seuls les potards agissent sur l’éga­li­sa­tion. On peut si besoin inter­ve­nir sur des fréquences plus spéci­fiques et le boos­ter ou couper de +/- 15dB.

Les autres contrôles présents en façade permettent de régler le niveau d’en­trée (Input) le niveau de sortie (Output) et le niveau de gain. L’am­pli dispose d’une section de satu­ra­tion à lampe qu’on peut acti­ver/désac­ti­ver via le switch Tube. On peut aussi débrayer l’éga­li­sa­tion via le switch EQ. Selon la marque, la section de satu­ra­tion à lampe peut simple­ment ajou­ter du carac­tère au son dans ses réglages de gain les plus bas, mais égale­ment aller jusqu’à une grosse distor­sion.

L’am­pli possède toutes les connexions dont Guy Pratt peut avoir besoin. On trouve une boucle d’ef­fets, une sortie accor­deur, une sortie ligne et une entrée ligne qui permet de connec­ter une autre source sonore (on sait que Guy Pratt utilise notam­ment la pédale Taurus de chez Moog). Au-dessus de l’en­trée instru­ment sur jack se trouvent des switches : le premier permet de bascu­ler entre deux impé­dances, l’une pour les basses actives et l’autre pour basses passives. Le second bouton permet de bascu­ler entre un son « flat » et un son « shape » avec un peu plus de person­na­lité. Enfin, du côté droit de l’am­pli se trouvent deux boutons dont le premier sert à placer la sortie directe pré ou post EQ et le second permet de couper le son de la sortie ligne pour s’ac­cor­der en silence.

Comp­tez $1 500 pour cet ampli Inter­stel­lar-600 dispo­nible en pré-commande.

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