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Gronoeil Vert « Excellente guitare trop injustement oubliée »
Publié le 08/11/23 à 13:41
Rapport qualité/prix :
Excellent
Cible :
Tout public
La série SZ était une déclinaison de la série S (sabre), dont on a épaissi le corps en acajou et rajouté une table en érable.
Le manche est à un diapason de 25,1 pouces, diapason très proche de celui retrouvé sur les PRS, et collé.
Son gabarit est plutôt médium, très confortable à jouer, en tous cas il est inhabituel pour une Ibanez.
Le chevalet est un Gibraltar 3 dont les pièces sont très bien couplées, les cordes traversent le corps, tout est réuni pour donner une belle résonance à la guitare.
Des 3 exemplaires que j’ai eu en main, toutes avaient un excellent sustain, très long.
En ce qui concerne l’électronique, on se retrouve sur la SZ520 avec un couple de Duncan/Ibz qui sont basés, pour le micro chevalet, sur le SH6, et pour le micro manche, sur le sH1N. Il y a également un sélecteur 3 positions du genre tres costaud (qui splitte les micros en position intermédiaire, de mémoire), 2 volumes et une tonalité
La seule partie de la guitare qui était de base perfectible est à mon sens le sillet, en plastique moyen a l’origine, qui gagne à être changé pour un modèle supérieur comme un Graphteq Black Tusq par exemple.
La guitare est un peu lourde, mais très ergonomique et très agréable à jouer, que ce soit en position debout ou assise. Son électronique d’origine trahit plutôt une guitare pensée pour le rock énervé et le metal, mais on peut aussi facilement avoir des sons chauds en position manche.
Elle réagit très bien également aux changements de micros, les personnes qui voudront changer sa personnalité y arriveront facilement. Pour ma part, l’exemplaire que j’ai gardé est montée en Cecca Guitars Blade Runner, qui lui vont parfaitement bien.
On trouve au moment où je rédige cet avis cette guitare dans les 300-450€ en occasion, parfois moins. C’est une excellente affaire pour une guitare qui en remontre facilement aux Gibson et autres PRS, avec un excellent confort de jeu couplé à des qualités de lutherie certaines.
Le manche est à un diapason de 25,1 pouces, diapason très proche de celui retrouvé sur les PRS, et collé.
Son gabarit est plutôt médium, très confortable à jouer, en tous cas il est inhabituel pour une Ibanez.
Le chevalet est un Gibraltar 3 dont les pièces sont très bien couplées, les cordes traversent le corps, tout est réuni pour donner une belle résonance à la guitare.
Des 3 exemplaires que j’ai eu en main, toutes avaient un excellent sustain, très long.
En ce qui concerne l’électronique, on se retrouve sur la SZ520 avec un couple de Duncan/Ibz qui sont basés, pour le micro chevalet, sur le SH6, et pour le micro manche, sur le sH1N. Il y a également un sélecteur 3 positions du genre tres costaud (qui splitte les micros en position intermédiaire, de mémoire), 2 volumes et une tonalité
La seule partie de la guitare qui était de base perfectible est à mon sens le sillet, en plastique moyen a l’origine, qui gagne à être changé pour un modèle supérieur comme un Graphteq Black Tusq par exemple.
La guitare est un peu lourde, mais très ergonomique et très agréable à jouer, que ce soit en position debout ou assise. Son électronique d’origine trahit plutôt une guitare pensée pour le rock énervé et le metal, mais on peut aussi facilement avoir des sons chauds en position manche.
Elle réagit très bien également aux changements de micros, les personnes qui voudront changer sa personnalité y arriveront facilement. Pour ma part, l’exemplaire que j’ai gardé est montée en Cecca Guitars Blade Runner, qui lui vont parfaitement bien.
On trouve au moment où je rédige cet avis cette guitare dans les 300-450€ en occasion, parfois moins. C’est une excellente affaire pour une guitare qui en remontre facilement aux Gibson et autres PRS, avec un excellent confort de jeu couplé à des qualités de lutherie certaines.
