Jeux à la con=> dénigre le posteur précédent (avec modération bien sur.)

Cette salope allait payer ses affronts et elle mordrait la poussière du ring !

Depuis trop longtemps elle la défiait et l'insultait par interviews interposées et cette fois le temps était venu, le combat était enfin programmé.
Géraldine la boxeuse, la grande rivale, cette petite pute allait s'en prendre plein la tronche et elle finirait par s’effondrer dans l'humiliation ... terrassée par la puissance et l'intelligence de la grande Sybelle et cette pétasse ne s'en remettrait pas.

Quand le jour du combat arriva Sybelle était au top de sa forme. Gonflée à bloc et prête à en découdre. Ce serait expéditif, facile !

Les préliminaires, recommandations de l'arbitre, saluts d'usage et quelques insultes et sourires narquois étant passés, le combat commença.

Nos deux championnes se livrèrent alors instantanément une série de coups qui ne laissaient pas le moindre doute sur leurs intentions furieuses. Mais si dans un premier temps chacune esquivait, c'est au milieu du premier round que Sybelle remarqua pour la première fois les petits pénis discrets qui décoraient le tee-shirt de Géraldine. Ils étaient suffisamment sobres, juste des lignes pastelles sur un fond clair et ainsi passaient inaperçu aux yeux du monde mais, assez précis pour que de près ils se fassent remarquer. Dans les mouvements gracieux de la boxeuse ils s'animèrent et prirent vie.

Quand retenti la cloche de reprise pour le second round Sybelle pensa qu'elle allait l'envoyer au tapis pour de bon. La première partie avait été le round d'observation, elle avait un peu rêvé certes, quel mauvais goût ce tee-shirt ... elle s'était laissée aller à des considérations extérieures ... mais s'en était fini !

Encore une fois Géraldine su esquiver avec un jeu de jambe vif et souple, et les petits pénis s'animèrent à nouveau sous l'emprise de l'agitation gracile, imprimée au tissu du tee-shirt imprégné de sueur, collé à sa peau ... Sybelle combattait mais n'arriva jamais à oublier ces palpitantes petites visions fugitives et qui se mêlaient à tous ces gestes virevoltants, quand elle sentit l'impact, sur son foie, du poing qu'elle n'avait pas vu venir (toute à ses petits pénis), l'ébranler une seconde, la paralysant souffle coupé, livrée au formidable uppercut qui instantanément s'ensuivit, elle s’effondra et le combat fût terminé.

Elle ne parla jamais à quiconque des petits pénis de Géraldine et invoqua une indisposition médicale, un genre de gastro, pour expliquer cette victoire éclair par KO concédée à sa grande rivale glorieuse qui d'ailleurs prenait retraite avec ce combat.

Les petits pénis restèrent leur secret.