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Plus fort que Terminator : Emulator

Reprenant en partie l'architecture des cartes 1212M et 1820M, l'Emulator X et l'Emulator X Studio d'E-MU cumulent les fonctions d'interface audio pro 24/192, de synthé et de sampler.

Utili­sant le nouveau DSP de la marque (l’E-DSP) qui auto­rise jusqu’à 16 effets en temps réel sans latence, chacune des deux cartes permet ainsi de créer des samples à partir de fichiers WAV ou encore d’ex­ploi­ter des échan­tillons aux formats EOS, EIII, Giga­Sam­pler ou Akai. Côté synthèse, on nous annonce jusqu’à 36 patch­cords par voix, plus de 50 Z-Plane morphing filters, des LFO à formes d’ondes multiples et des possi­bi­li­tés de modu­la­tion éten­dues.

Une nouvelle fois, les prix semblent plutôt inté­res­sants puisque l’Emu­la­tor X sera vendue 300 € contre 600 € pour l’Emula­tor X Studio (Prix incluant une TVA de 16%).

Quant à la connec­tique, l’Emu­la­tor X reprend celle de la 1212M, à savoir :
  • 2 entrées analo­giques symé­triques
  • 2 sorties analo­giques symé­triques
  • 1 entrée/sortie ADAT
  • 1 entrée/sortie S/PDIF (Coaxial)
  • 1 entrée/sortie MIDI
  • 1 connec­tion Fire­Wire
Tandis que l’Emula­tor X Studio reprend les carac­té­ris­tiques de l’E-MU 1820M, ainsi que ses conver­tis­seurs de luxe :
  • 2 préam­plis Micros TFPro (avec alim fantome 48V)
  • 6 entrées analo­giques symé­triques
  • 8 sorties analo­giques symé­triques
  • 1 entrée Phono inté­grant un préam­pli RIAA pour connec­ter une platine disque
  • 8 sorties pour les enceintes confi­gu­rables en 7.1
  • 1 entrée/sortie ADAT
  • 1 entrée/sortie S/PDIF (Coaxial)
  • 1 sortie S/PDIF optique
  • 2 entrées/sorties MIDI
  • 1 connec­tion Fire­Wire
  • 1 entrée/sortie Word Clock
  • 1 entrée/sortie SMPTE
  • 1 sortie MTC
Quant à savoir si toutes ces merveilles fini­ront dans les Sound­Blas­ter de 2010, c’est une autre histoi­re…
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    Arnaud Cueff(Los Teignos)
    Auteur·rice de l’article

    Si j'ai fait de la guitare et un peu d'harmonica classiques en ENM dans mon enfance, c'est en autodidacte que j'ai fait l'essentiel de ma formation en matière de musique comme d'audio. Après des études de Lettres Modernes, j'ai travaillé pour la presse spécialisée puis web, tant dans le domaine des instruments de musique que dans celui des jeux vidéo (d'où mon pseudo). Je suis monté à bord du bateau Audiofanzine en 2004 en tant que rédacteur en chef, fonction que j'ai laissée quelques années plus tard à Grégoire Nachbauer (Red Led) tout en gardant un pied dans l'éditorial, en conservant notamment la rédaction de l'édito envoyé chaque semaine via la newsletter hebdomadaire du site comme en réalisant des tests, dossiers et contenus vidéo sur mes sujets de prédilection.