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Furt
Publié le 27/02/05 à 22:52
Ensemble de 2 cartes : une pour la synchro, l’autre comportant la connectique SPDIF, ADAT et les dsp, accompagnées d’un Dock externe comprenant 2 excellents pré amplis Tfpro avec une alimentation fantôme commune (ça c’est dommage), 2 ports midi, 6 entrées – 8 sorties symétriques, une entrée platine avec préampli RIAA, 4 sorties hp stéréos 3,5 mm, sortie casque, sortie SPDIF optique et bien sur de bons convertisseurs, les mêmes que ceux utilisés par le célèbre produit de Digidesign - l'interface ProTools HD 192 E/S.
J’en oublie encore tellement l’EMU veut être une véritable usine à gaz.
UTILISATION
Tout irait pour le mieux avec le meilleur des matériels s’il n’y avait les drivers et ce fichu Patchmix qui viennent gâcher la fête.
Avec Samplitude, en utilisant le driver WDM, on ne peut pas accéder aux entrées soties numériques Adat ou SPDIF. Il faut utiliser pour cela le driver Asio et se priver de la possibilité d’utiliser 2 cartes en même temps.
La configuration du patchmix est tout sauf intuitive.
Or le musicien n’a pas de temps à perdre en manipulations et configurations de toute sorte. C’est ce qui fait que les musiciens préfèrent le Mac au PC : tout y est plus simple. Alors pourquoi les fabricants s’ingénient-ils à compliquer au possible la tâche des utilisateurs.
On doit pouvoir choisir rapidement et clairement les entrées et sorties de sa carte son ce qui n’est pas le cas avec l’EMU.
Son utilisation avec Samplitude relève du casse tête permanent, c’est peut être la faute du logiciel mais la majorité des autres interfaces audio ne posent pas ce problème. On a l’impression que la 1820m a été conçue pour fonctionner uniquement avec Cubase.
Le manuel en français est complet mais pas d'un grand secours car il n'explique pas la philosophie des concepteurs de la carte. L'assignation des tranches de consoles est nébuleuse parceque mal expliquée.
MISE EN OEUVRE
EMU semble se moquer complètement des utilisateurs : les mises à jour, lorsqu'elles existent, n'apportent pas d'améliorations notables.
La latence, avec Samplitude, peut être de 5ms,ce qui n'est pas mal.
AVIS GLOBAL
Lorsqu'on arrive à connecter les pistes de samplitude avec les E/S de la 812m, tout se passe bien.
Les préamplis sont excellents, les convertisseurs ne me semblent pas d'une qualité renversante tout en étant plutôt bons.
Je n'aime pas les effets du patchmix.
Par contre, l'audiodock chauffe beaucoup et il serait appréciable de pouvoir l'éteindre.
J'ai acheté cette interface pour pallier aux difficultés rencontrées avec la Motu 828 MK2 et parceque son rapport qualité/prix m'a paru très bon.
Compte tenu du temps que je perds régulièrement à retrouver des configurations qui ont pourtant été, en principe, sauvegardées, je ne referai pas du tout ce choix. il y a bien d'autres choses plus interessantes chez les concurrents : Edirol, Présonus, RME j'en arrive à regretter mon ancienne Seck'd Prodif 96 pro.
J’en oublie encore tellement l’EMU veut être une véritable usine à gaz.
UTILISATION
Tout irait pour le mieux avec le meilleur des matériels s’il n’y avait les drivers et ce fichu Patchmix qui viennent gâcher la fête.
Avec Samplitude, en utilisant le driver WDM, on ne peut pas accéder aux entrées soties numériques Adat ou SPDIF. Il faut utiliser pour cela le driver Asio et se priver de la possibilité d’utiliser 2 cartes en même temps.
La configuration du patchmix est tout sauf intuitive.
Or le musicien n’a pas de temps à perdre en manipulations et configurations de toute sorte. C’est ce qui fait que les musiciens préfèrent le Mac au PC : tout y est plus simple. Alors pourquoi les fabricants s’ingénient-ils à compliquer au possible la tâche des utilisateurs.
On doit pouvoir choisir rapidement et clairement les entrées et sorties de sa carte son ce qui n’est pas le cas avec l’EMU.
Son utilisation avec Samplitude relève du casse tête permanent, c’est peut être la faute du logiciel mais la majorité des autres interfaces audio ne posent pas ce problème. On a l’impression que la 1820m a été conçue pour fonctionner uniquement avec Cubase.
Le manuel en français est complet mais pas d'un grand secours car il n'explique pas la philosophie des concepteurs de la carte. L'assignation des tranches de consoles est nébuleuse parceque mal expliquée.
MISE EN OEUVRE
EMU semble se moquer complètement des utilisateurs : les mises à jour, lorsqu'elles existent, n'apportent pas d'améliorations notables.
La latence, avec Samplitude, peut être de 5ms,ce qui n'est pas mal.
AVIS GLOBAL
Lorsqu'on arrive à connecter les pistes de samplitude avec les E/S de la 812m, tout se passe bien.
Les préamplis sont excellents, les convertisseurs ne me semblent pas d'une qualité renversante tout en étant plutôt bons.
Je n'aime pas les effets du patchmix.
Par contre, l'audiodock chauffe beaucoup et il serait appréciable de pouvoir l'éteindre.
J'ai acheté cette interface pour pallier aux difficultés rencontrées avec la Motu 828 MK2 et parceque son rapport qualité/prix m'a paru très bon.
Compte tenu du temps que je perds régulièrement à retrouver des configurations qui ont pourtant été, en principe, sauvegardées, je ne referai pas du tout ce choix. il y a bien d'autres choses plus interessantes chez les concurrents : Edirol, Présonus, RME j'en arrive à regretter mon ancienne Seck'd Prodif 96 pro.