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Nektar ajoute un plus à sa gamme Impact LX

Nektar met à jour son entrée de gamme avec une version + des claviers Impact LX disponible en 49 et 61 touches.

Au programme, de la lumière sous les pads et une inté­gra­tion toujours plus pous­sée avec le gros des STANs du marché. Voici les fonc­tion­na­li­tés du clavier :

  • Inté­gra­tion avec les STAN suivantes : Bitwig Studio/8-Track, Cubase, Digi­tal Perfor­mer, FL Studio, Gara­ge­Band, Logic, Nuendo, Reaper, Reason, Sonar et Studio One.
  • 49 ou 61 touches de taille normales sensibles à la vélo­cité.
  • Molettes de Pitch bend et de modu­la­tion.
  • Boutons de trans­po­si­tion par ton ou octave.
  • Ecran à segments LED à trois carac­tères.
  • 9 faders avec un bouton pour chaque.
  • 8 poten­tio­mètres rota­tifs.
  • Boutons Mixer et Instru­ment avec indi­ca­teur LED pour l’in­té­gra­tion dans la STAN.
  • Bouton Preset avec indi­ca­teur LED pour le contrôle MIDI géné­rique.
  • 5 presets utili­sa­teurs confi­gu­rables.
  • Bouton Page avec deux LED pour l’in­té­gra­tion dans la STAN et le passage entre le mapping par défaut et la mapping utili­sa­teur.
  • Default Instru­ment mapping screen prin­ting in blue for Nektar DAW Inte­gra­tion.
  • Boutons dédiés à la pistes et au patch.
  • 6 boutons de trans­port avec touche Shift pour des fonc­tions suplé­men­taires.
  • 8 pads sensi­tifs rétroé­clai­rés avec 4 couleurs
  • 4 maps de pad.
  • Boutons Clips et  Scenes.
  • Connec­teur pour un Foot switch.
  • Bouton de mise en/hors tension.
  • Connec­teur USB.
  • Utili­sable via USB class compliant sous OS X, Windows, Linux et iOS (via camera connec­tion kit).
  • Bitwig 8-Track inclus.

Quant au prix, il est de 180 euros pour la version 49 touches et de 200 euros pour la version 61 touches.


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Arnaud Cueff(Los Teignos)
Auteur·rice de l’article

Si j'ai fait de la guitare et un peu d'harmonica classiques en ENM dans mon enfance, c'est en autodidacte que j'ai fait l'essentiel de ma formation en matière de musique comme d'audio. Après des études de Lettres Modernes, j'ai travaillé pour la presse spécialisée puis web, tant dans le domaine des instruments de musique que dans celui des jeux vidéo (d'où mon pseudo). Je suis monté à bord du bateau Audiofanzine en 2004 en tant que rédacteur en chef, fonction que j'ai laissée quelques années plus tard à Grégoire Nachbauer (Red Led) tout en gardant un pied dans l'éditorial, en conservant notamment la rédaction de l'édito envoyé chaque semaine via la newsletter hebdomadaire du site comme en réalisant des tests, dossiers et contenus vidéo sur mes sujets de prédilection.