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[NAMM] Korg K25, K49 et K61

La guerre du clavier maître aura bien lieu puisqu'après les nouveautés d'E-MU et de M-Audio, c'est au tour de Korg de présenter les K25, K49 et K61, trois claviers MIDI USB proposant respectivement 25, 49 et 61 touches.

Doté de grandes touches et propo­sant 4 courbes de vélo­cité diffé­rentes, les claviers K partagent les même carac­té­ris­tiques. Une touche 'Octave Shift’ permet d’ac­cé­der à la gamme complète des notes et, en plus des tradi­tion­nelles molettes de Pitch Bend et de modu­la­tion, on notera la présence d’un joys­tick 'Click­Point™' qui peut servir de contrô­leur X/Y comme de péri­phé­rique de poin­tage (pour rempla­cer la souris). On dispose aussi d’un slider, de 2 potars et de 2 switchs assi­gnables, sachant que les valeurs On et Off de ces derniers peuvent être para­mé­trées. Côté exten­sion, la série K dispose d’un entrée foot switch sur l’ar­rière.

Un éditeur logi­ciel gratuit devrait simpli­fier le mapping des diffé­rents contrô­leurs avec la possi­bi­lité de sauve­gar­der et rappe­ler diffé­rentes confi­gu­ra­tions à la volée, cepen­dant que de nombreux templates prêts à l’em­ploi devraient être four­nis. Pour complé­ter le bundle, Korg s’est enfin fendu d’une version LE de son émula­tion du célèbre M1, un plug utili­sable au format RTAS, VST ou AudioU­nits.

Sachez enfin que ceux qui achè­te­ront un clavier de série K dispo­se­ront d’une offre spéciale d’up­grade pour acqué­rir la Korg Legacy Collec­tion – DIGI­TAL EDITION.

Aucun prix de vente n’a pour l’heure été annoncé.
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    Arnaud Cueff(Los Teignos)
    Auteur·rice de l’article

    Si j'ai fait de la guitare et un peu d'harmonica classiques en ENM dans mon enfance, c'est en autodidacte que j'ai fait l'essentiel de ma formation en matière de musique comme d'audio. Après des études de Lettres Modernes, j'ai travaillé pour la presse spécialisée puis web, tant dans le domaine des instruments de musique que dans celui des jeux vidéo (d'où mon pseudo). Je suis monté à bord du bateau Audiofanzine en 2004 en tant que rédacteur en chef, fonction que j'ai laissée quelques années plus tard à Grégoire Nachbauer (Red Led) tout en gardant un pied dans l'éditorial, en conservant notamment la rédaction de l'édito envoyé chaque semaine via la newsletter hebdomadaire du site comme en réalisant des tests, dossiers et contenus vidéo sur mes sujets de prédilection.