
« DMX Operator 384 : polyvalente mais… amnésique ! »
Publié le 11/06/25 à 07:38
Rapport qualité/prix :
Correct
Cible :
Tout public
Mon avis détaillé
Les plus :
Généreuse en canaux et en mémoire – 384 canaux DMX (12 projecteurs × 32 canaux) et 30 banques de 8 scènes, soit 240 scènes ; on dispose aussi de 12 chases programmables.
Pilotage MIDI et audio – Entrée MIDI pour déclencher banques, chases ou blackout, micro interne / entrée RCA pour le mode « sound-to-light ».
Format pratique – 19″ rack, faders « Speed » & « Fade » dédiés, joystick assignable, prix contenu : parfait pour un petit plateau ou une tournée.
Le gros moins : la perte de mémoire
Comme beaucoup de petites consoles, la DMX Operator 384 conserve ses scènes grâce à une pile/batterie interne ; si la table reste longtemps hors tension, la pile se décharge et… adieu les programmes. Dans mon cas, j’avais tout préparé en mai ; 2 mois plus tard, au lancement de la saison, tout était effacé. Une vraie douche froide !
Conseils pour éviter la mésaventure
Alimentez-la régulièrement : quelques minutes toutes les deux-trois semaines suffisent généralement à maintenir la sauvegarde.
Conclusion
La DMX Operator 384 est une petite « bête de somme » très complète, idéale pour les prestas mobiles et les scènes de moyenne taille. Mais sa mémoire volatile impose une discipline de sauvegarde stricte : sans ça, elle peut ruiner des heures de programmation le jour J. Si vous êtes prêt à surveiller sa pile (ou à la garder alimentée), elle reste un excellent rapport performances/prix ; sinon, tournez-vous vers un contrôleur doté d’une mémoire non volatile ou d’un export USB simple.
Les plus :
Généreuse en canaux et en mémoire – 384 canaux DMX (12 projecteurs × 32 canaux) et 30 banques de 8 scènes, soit 240 scènes ; on dispose aussi de 12 chases programmables.
Pilotage MIDI et audio – Entrée MIDI pour déclencher banques, chases ou blackout, micro interne / entrée RCA pour le mode « sound-to-light ».
Format pratique – 19″ rack, faders « Speed » & « Fade » dédiés, joystick assignable, prix contenu : parfait pour un petit plateau ou une tournée.
Le gros moins : la perte de mémoire
Comme beaucoup de petites consoles, la DMX Operator 384 conserve ses scènes grâce à une pile/batterie interne ; si la table reste longtemps hors tension, la pile se décharge et… adieu les programmes. Dans mon cas, j’avais tout préparé en mai ; 2 mois plus tard, au lancement de la saison, tout était effacé. Une vraie douche froide !
Conseils pour éviter la mésaventure
Alimentez-la régulièrement : quelques minutes toutes les deux-trois semaines suffisent généralement à maintenir la sauvegarde.
Conclusion
La DMX Operator 384 est une petite « bête de somme » très complète, idéale pour les prestas mobiles et les scènes de moyenne taille. Mais sa mémoire volatile impose une discipline de sauvegarde stricte : sans ça, elle peut ruiner des heures de programmation le jour J. Si vous êtes prêt à surveiller sa pile (ou à la garder alimentée), elle reste un excellent rapport performances/prix ; sinon, tournez-vous vers un contrôleur doté d’une mémoire non volatile ou d’un export USB simple.