DJ, métier à risque ?

Je te souhaite bien la réussite

Citation de : Djmadnat

Tu voies ahah Ca fait un ans que je mix environs 1h30 par jours et maintenant je peut me permettre de dire en tout humblimiter que j'ai du niveaux :) meme si on en apprend tout les jours!

 hé bien dis moi tu es modeste toi... s'il suffisait d'1h30 par jour pendant un an pour avoir un bon niveau, ça se saurait ^^

Enfin bon, je ne veux pas briser tes rêves...

Puisqu'on parle de métier à risque, en discomobile m'est déjà arrivé l'excité crevé saoul qui s'est mis à balancer les tables et bancs dans la salle. Pas de casse (ou pire), mais ça aurait pu.

C'est rare ce genre d'extrême. Mais c'est vrai que c'était un village de barakis.

Désolé mais là avec tout votre petit monde de bisounours, vous oubliez un détail clé...ce qui fait qu'un dj devient connu et qui peut bien vivre de sa passion c'est ses RELATIONS !!!!

Et c'est pour moi je le considère comme l'élément numéro 1 pour faire de sa vie, un long mix !

La preuve est que l'on voit souvent des gens craché sur les connus : guetta etc... mais même en étant mauvais, eh ben ils s'en mettent plein les poches ! Perso j'ai vu david guetta en live...il a quasiment pas mixé, c'était plus un enchainement de ses tubes et un secouage très intensif de ses bras au dessus des platines...

Voilà les contacts, le rentre dedans, les relations, l'audace et même le culot...sont tout plein de choses qu'il faut pour devenir un dj dans le monde du travail ! (blindé en plus !)

Alors ouai je suis d'accord : Londres, Los Angeles, New York, Paris, San Francisco, Singapour, Tokyo sont des villes ou dans le milieu de l'électronique il sera plus facile d'avoir des relations disons influentes...mais après il faut être intreprenant...voilà ce que je peux en dire, moi ici à Londres...mixant pour le ministry of sound, et encore 2 fois 1h30...(et j'en vis pas du tout encore !)

Oui c'est sur pour etre DJ en club mieux vaut s'assurer un serieux reseau de relations et bosser ses skills de PR (bon je dirais que ca ca marche dans tous les jobs). Apres forcement etre dans des villes ou pays avec un scene active et reconnu comme l'Angleterre ou l'Allemagne en Europe, ca aide aussi (mais c'est aussi beaucoup plus competitif).

PS : Bien joue pour le MoS, assassin, faut que tu me dises la prochaine fois que tu y mixes.

tkt cloud !!! je te préviens mais bon sa ne sera pas avant une autre soirée étudiante, pas encore assez connu pour mixer un vendredi pour la "gallerys" ou samedi avant les grands noms !!! Et puis leur programmation elle est prévu pour dans 3 mois alors....

Mais tkt pour une soirée étudiante jeudi...je te préviens !!! mais en tout cas c'est cool de mixer dans un endroit où les gens sont vraiment réceptifs aux sons inconnus et où le sound system est tout simplement énorme (122 dB au compteur dans la grande salle hi hi hi )

(122 dB je prevois les bouchons, mais c'est devenu une habitude depuis que je suis sur Londres)

PS : Soiree etudiante ? T'es dans une universite ? Si c'est pas indiscret laquelle !

Citation de : Djmadnat

Et relation a fond a fond a fond y a pas de secret!

C'est clair, moi j'ai un super bon relationnel avec l'assoce de pécheur ou on a fait la dernière soirée. Ils ont ptin de grand chalet 150/200 personnes et nous le font à bon prix. 

<= sort

Sinon pour l'op, c'est pas imcompatible, mais c'est différent si on peut dire ça. Et faut pas croire mixer en club, c'est pas toujours super gratifiant non plus. Faut différencier le fait de mixer en club de temps en temps, oui c'est grisant. Mais quand ça devient ton quotidien, que tu dois enquiller un set que t'a pas envie, que tu dois jouer des trucs que t'a pas envie, que t'a un patron qui te casse les c... (parce que ça reste un boulot!!!) Que tu vis en décalé, et les salaires sont pas super mirobolants. Bref

Maintenant je mixe avant toute chose pour le plaisir. On a bien refait une petite entité, mais sans grandes ambitions.

Faut bien peser le pour et le contre. DJ, c'est pas juste être le mec in de la soirée qui envoie des skeud a qui les nanas balancent leur petites culottes. Et peu sont ceux qui sortent du lots.