Fender sort trois guitares inspirées de la série Game of Thrones

Trois nouveaux modèles inspi­rés direc­te­ment du visuel des trois clans de la série Game of Thrones font leur appa­ri­tion pour célé­brer la sortie de la nouvelle saison.

Construite dans une pièce légère de frêne des marais, la Tele­cas­ter rend hommage à la maison Stark. Le manche est en érable avec une touche en ébène ; on retrouve le sigle tête de loup incrusté sur la première frette ainsi que gravé sur la plaque métal­lique. Les boutons de potards ainsi que la plaque de manche sont gravés à la main. Cette Tele­cas­ter est propo­sée à un tarif de $20 000, elle est livrée en étui rigide fourré en imita­tion four­rure de loup.

Une Jaguar aux couleurs du clan Lannis­ter fait aussi son appa­ri­tion. Avec un corps en aulne léger, un manche en érable et une touche en ébène, cette Jaguar se distingue par son opulente fini­tion. Recou­verte de feuilles d’or 24 carats sur la table, le dos et la tête, la guitare rend hommage à l’opu­lent château du roi. On trouve un lion en laiton gravé à la main et incrusté à la première frette que l’on retrouve égale­ment sur la plaque dorée. La plaque de manche est égale­ment gravée tout comme les boutons de poten­tio­mètres. L’ac­cas­tillage est doré et la guitare est fourni en étui repre­nant lui aussi les couleurs du clan. La Jaguar Lannis­ter est propo­sée à $30 000.

Enfin, une Stra­to­cas­ter aux couleurs du clan Targa­ryen complète la liste de ces guitares. Recou­verte d’écailles de dragon sur la dos et la table, elle reprend le célèbre logo du clan, gravé dans de l’ar­gent et incrusté ici à la première case. Sur le pick­guard en cuir, fait à la main, le fameux logo est présent égale­ment. On retrouve la plaque de manche gravée à la main et les boutons de poten­tio­mètres repre­nant le visuel de la guitare. Cette Stra­to­cas­ter est propo­sée à $35 000, elle est four­nie en étui lui-aussi orné d’ac­cents rouges et repti­liens.

Ces trois guitares ont été conçues et réali­sées en étroite colla­bo­ra­tion avec le créa­teur de la série et ont demandé deux ans de travail. 

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