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DjDecks 0.70b

Le logiciel de DJing djDecks vient de passer en version 0.70b. La mise à jour corrige quelques bugs et apporte de menues améliorations au niveau du détecteur de tempo BPM, qui s'avère désormais plus efficace sur les chansons problématiques (rnb, dnb, rock, ambient, etc.).

Rappe­lons que ce logi­ciel pour Windows permet de mixer des CD ou des fichiers audio au format mp3, ogg, wma, flac ou wav, au moyen de 3 decks, chaque deck dispo­sant d’une section d’ef­fets (EQ 3 bandes, Echo/Sampler/Looping, Flan­ger, Compres­seurr/Norma­lieur, Gapper). Compa­tible ASIO et Direct­Sound, le logi­ciel est égale­ment à même de gérer des plug-ins VST et permet bien évidem­ment de faire du Time Stret­ching et du Pitch Shif­ting pour trans­po­ser et synchro­ni­ser les diffé­rents morceaux.

Capable de gérer deux cartes sons et dispo­sant d’un routing confi­gu­rable pour la pré-écoute, djDecks peut travailler en 24 bits / 96 kHz et incor­pore une section Mixer à cross­fa­der para­mé­trable (pente et courbes de fondu). Doté d’un gestion­naire de fichiers avancé, il est enfin compa­tible avec de nombreux maté­riels externes, qu’il s’agisse de mixeurs analo­giques, des contrô­leurs MP3 DMC1 & DAC2, la DJ Console d’Her­cules, le XP10 d’EKS ou de solu­tions à base de vinyles time­co­dés (FinalS­cratch, VirtualDJ, SSL & MsPinky).

Bref, un petit soft qui, s’il ne devrait pas faire d’ombre au récent Trak­tor 3 en terme de puis­sance et de fonc­tion­na­li­tés, s’avère rela­ti­ve­ment complet en regard de son prix très raiso­nable : 27 €.
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    Arnaud Cueff(Los Teignos)
    Auteur·rice de l’article

    Si j'ai fait de la guitare et un peu d'harmonica classiques en ENM dans mon enfance, c'est en autodidacte que j'ai fait l'essentiel de ma formation en matière de musique comme d'audio. Après des études de Lettres Modernes, j'ai travaillé pour la presse spécialisée puis web, tant dans le domaine des instruments de musique que dans celui des jeux vidéo (d'où mon pseudo). Je suis monté à bord du bateau Audiofanzine en 2004 en tant que rédacteur en chef, fonction que j'ai laissée quelques années plus tard à Grégoire Nachbauer (Red Led) tout en gardant un pied dans l'éditorial, en conservant notamment la rédaction de l'édito envoyé chaque semaine via la newsletter hebdomadaire du site comme en réalisant des tests, dossiers et contenus vidéo sur mes sujets de prédilection.