Sujet Editorial du 9 novembre 2019 : commentaires
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Los Teignos
Partant des accords de 745 tubes, une équipe de chercheurs allemands a cherché à comprendre le plaisir que pouvaient ressentir les auditeurs en fonction des progressions harmoniques. Analysant le fonctionnement cérébral de 80 personnes via un IRM, ils ont ainsi pu déterminer que lorsque les gens étaient relativement sûrs du prochain accord, ils éprouvaient du plaisir si ce dernier les surprenait. Mais le plaisir pouvait aussi provenir lorsqu’ils n’étaient pas certains de la suite et que l’accord suivant n’étant du coup pas surprenant. Dur de dire si la chose pourra vous être d’une quelconque utilité pour vos compos de ce week-end de trois jours, mais sachez que les progressions les mieux notées étaient celles de Invisible Touch (Genesis), Hooked On A Feeling (BJ Thomas) et Ob-La-Di, Ob-La-Da (Beatles).
On gardera aussi ça à l’esprit en allant voir ce qu’il se passe cette semaine sur AF TV, avec RED BEATS qui nous propose de faire de la Trap Rock tandis que l’équipe Des Pieds Dans Le Patch reçoit Antoine Husson d’Electric Rescue.
Sur ce, bon week et à la semaine prochaine.
Los Teignos
From Ze AudioTeam
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Le GIEC chiffre à 3,3 milliards le nombre de victimes du réchauffement climatique. On en parle ?
milsabords
en fait une écoute découverté prolongée peut fatiguer car le cerveau travaille toujours aux mêmes endroits.
si on alterne écoute musique connu / écoute musique qu'on découvre , alors il travaille de deux façons distinctes et le cerveau ne se repose pas seulement quand on dort , il se repose en faisant autre chose.
ainsi l'alternance de musiques qu'on connait et de musique qu'on découvre lors d'une même soirée est plus interessante pour le cerveau du point de vue d'un neurologue du moins.
C'ets ce que je pratique en guitare solo quand rarement je joue quelque part , je joue au moins un ou deux morceaux connus, des thèmes avant de jouer une compo ou deux , et je tache d'alterner tout du long.
Si on joue une compo en premier morceau ou un thème génial mais pas très connu ,il y a intérêt à ce que ce soit un morceau qui accroche bien l'attention , ça induit tout le reste pour l'auditeur.
les gens aiment quand on leur joue des thèmes qu'ils connaissent par cœur ,soit en se cadrant sur le thème sans s'en écarter soit en le remaniant à la sauce jazzy , musette , rock , ou rumba catalane.
C'ets ce que j'ai fait sur ma version bidouillée de "comment te dire adieu", je réalise une intro en rumba catalane en accords avant d'attaquer le thème en y étant parfaitement fidèle, et avant la fin je repasse sur le thème (partie 2) avec un dérapage qui s'en va comme si on allait partir dans une impro fouillée et longue , et au bout de quelques secondes, brusquement je reviens sur le thème au lieu de proposer la longue déclinaison. et ça fait son effet.
Une façon de tenir en haleine et de surprendre. Il n' y a dans ce cas ni effets ni électrification , juste micro prémp et amplification , tout le phrasé vient du travail des doigts. c’est chaud-patate.
En france on a du pêt drôle , mais on a pas d'idées.
CANIGOU ...C'EST FOU !!!
Musella
Moi j'écoute de la musique pour les souvenirs qu'elle fait resurgir !
Quant aux nouvelles, elles n'ont pas encore d'histoire mais le temps et ma mémoire vont les placer dans des cases...
Il en va de même pour les parfums . Je me souviens du parfum de ma maîtresse d'école, en première année de maternelle, l'odeur du savon jaune en forme d'olive, fixée au mur dans la salle d'eau etc...
Chez moi musiques et parfums sont assez liés et opèrent exactement de la même façon !
skarabee.nc
Musella:
"Chez moi musiques et parfums sont assez liés et opèrent exactement de la même façon !"
Et y'a aussi des odeurs répulsives...
...non, rien....
robertho
Pas de mélodie, pas de voix.
Pour ne pas introduire de "notions psychologiques" dixit le test.
Wills01
L’art ne se décrète pas… il se constate..
Anonyme
Mais il ne leur est pas passé par la tête d’essayer avec Bach, Debussy, Prokofiev...
C’est con un allemand.
christian_r
Trop de régularité (boucle qui n'évolue pas assez, suite harmonique trop prévisible) c'est vite ennuyeux.
Trop de cacophonie (instabilité des accords, musique dodécaphonique sérielle) c'est du bruit.
L'art est de mélanger subtilement les deux.
Christian
MaiMai
La musique est toujours un compromis entre l'ordre et le chaos.
Trop de régularité (boucle qui n'évolue pas assez, suite harmonique trop prévisible) c'est vite ennuyeux.
Trop de cacophonie (instabilité des accords, musique dodécaphonique sérielle) c'est du bruit.
L'art est de mélanger subtilement les deux.
+1
Sachant aussi qu'on ne peut pas s'attendre au même "chaos" harmonique ou melodique chez Couperin et chez Xenakis...!
au fait, quel était ce personnage (aussi pianiste), qui "demontait" la musique atonale devant la musique tonale lors de conférences? C'était excellent! En gros, une dissonance peut être jouissive chez Mozart mais ne l'est plus du tout dans le cadre du chaos atonal!!
moi, j'ai pas d'blé mais j'ai du son...
Jeff Bec
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