Sujet Chasse aux sorcières ?

et ouais, mais qu'est-ce que tu veux... les droits d'auteurs, l'argent toussa...

Ce n'est pas YouTube qui décide, c'est la loi. Les droits d'auteur durent jusque 70 ans après le décès de l'auteur (selon les législations) Les héritiers et éditeurs se chargent de faire respecter...

Droits d'auteur : d'accord et c'est bien normal ! Mais là il sagit de 4 accords guitare pour aider les débutants , le tout sur 3 min...Il n'y a donc pas reproduction de morceau à des fins pécunières...Autant faire payer des droits à quelqu'un d'heureux qui sifflote un air connu !!!

Oui, mais c'est pas à nous qu'il faut dire ça ... c'est aux politiciens qui font des lois et qui roulent pour les lobbys.

Citation de Raggasonic :

C'est la monnaie qui dirige le monde
C'est la monnaie qui dirige la terre
Et qu'on le veuille ou non c'est comme ça on ne peut rien y faire

Je sais bien qu'ici vous déplorez ceci autant que moi...Ce que je souhaiterai savoir c'est si c'est une politique générale et de remise des "pendules à l'heure", en cette fin d'année approchant à grand pas, si vous l'avez vous même constaté et si, sur d'autre médias de lecture de vidéos c'est la même chose...Car pour avoir bien vérifier mes favoris c'est quasiment 80% de ces petits morceaux d'étude qui sont passés à la trappe en moins d'un mois !?

Parceque si je pousse le bouchon : il existe des milliers de vidéos de concert live dont certaines avec une bande son pas trop mauvaise... Que l'on peut facilement "ripper" avec un logiciel adéquate...Alors pourquoi 2 poids 2 mesures ?

La règle est que toute utilisation publique d'une oeuvre déposée ne peut se faire que moyennant le respect des droits d'auteur (donc autorisation et/ou indemnisation des auteurs)

Cela n'a rien de nouveau. Ce qui change c'est que les auteurs et éditeurs qui ont été débordés tout un temps par l'utilisation d'internet commencent à reprendre progressivement le contrôle de l'utilisation des oeuvres. Toutes proportions gardées il s'était passé la même chose dans les années 60 avec les radios pirates installées sur des bâteaux en eaux internationales pour échapper aux législations en vigueur.