Pas mal fait en effet. Et enfin des chiffres crédibles. Seul oubli : Le fait que bien souvent les labels indépendants ne doivent leur survie qu'à la cession régulière des contrats de leurs artistes les plus bankables à de plus gros labels voire à des majors.
Il y a développement et développement. Si effectivement les gros labels et majors ne font plus de développement artistique mais signent des artistes déjà "affinés" par les petits indés, seuls ces gros labels disposent des moyens financiers et logistiques pour assurer un développement commercial. Les chiffres donnés permettent à chacun de se faire une idée des revenus des uns et des autres en label indé. Pas vraiment de quoi faire rêver...