trabigwe
Publié le 13/06/09 à 20:40
- Basse électrique conçue par le luthier Kamel Chenaouy et assemblée à la main au Japon en 1982.
- Manche conducteur 3 parties en érable, touche palissandre, 24 cases. Ailes en aulne.
- 2 micros doubles bobinages Apex.
- Chevalet à 4 pontets en laiton massif. Sillet en laiton
- 1 sélecteur de micros 3 positions, 1 volume, 1 tonalité, 1 split pour chaque micro, 1 inverseur de phase pour le micro aigu. Ca peut faire un peu "usine à gaz", mais les sons sont au rendez-vous (cf. plus loin)
Finition: une superbe robe "encre violet métallisé"
UTILISATION
La prise en main est très agréable, inhabituelle: la basse est étonnamment légère, bien équilibrée, assis comme debout. Les chanfreins sont bien pensés,et se font tout simplement oublier ( c'est finalement ce qu'on leur demande)
Le manche est remarquable: un profil assez fin, un accès aux aigus exceptionnel, on se fait plaisir sur tout le longueur du manche sans fatigue.
Le pilotage de l'électronique demande un petit temps d'adaptation pour s'y retrouver (14 sons différents au total, tout de même !!!), mais ça vaut le coup d'y passer un peu de temps.
SONORITÉS
Cette basse se coule facilement dans tous les styles. On passe du gros son au plus claquant sans problème. Le manche se prête bien au slap.
On garde tout de même, quoiqu'il arrive, beaucoup de brillance et d'aigus.
Le sustain et la définition des notes sont remarquables
Toutes les positions de switches ne sont pas forcément intéressantes (par exemple, le micro aigu hors-phase n'a d'intérêt que combiné au micro grave donne un super son funk), mais en quelques manips, on fini presque toujours par trouver son compte.
AVIS GLOBAL
J'ai cette basse depuis quelques semaines seulement. Voilà bien longtemps que je cherchai à me procurer un instrument Apex, dont je connaissais la réputation.
Ce n'est décidément pas usurpé: la qualité de fabrication de cet instrument parle pour elle. Pour preuve, ma basse, de 1982, est "dans son jus", et tout fonctionne à merveille. Increvable !
Un point négatif?
Ce n'en est pas un pour moi, mais il est certain que la forme, l'esthétique, les choix de couleurs de ces instruments collent à leur époque,ce qui pourra en rebuter certains.
Tant pis pour eux: ils se privent ainsi d'instruments français dont la qualité, rare, dépasse les "grands noms" de la guitare qui n'ont pas hésité, eux, à faire dans le médiocre.
- Manche conducteur 3 parties en érable, touche palissandre, 24 cases. Ailes en aulne.
- 2 micros doubles bobinages Apex.
- Chevalet à 4 pontets en laiton massif. Sillet en laiton
- 1 sélecteur de micros 3 positions, 1 volume, 1 tonalité, 1 split pour chaque micro, 1 inverseur de phase pour le micro aigu. Ca peut faire un peu "usine à gaz", mais les sons sont au rendez-vous (cf. plus loin)
Finition: une superbe robe "encre violet métallisé"
UTILISATION
La prise en main est très agréable, inhabituelle: la basse est étonnamment légère, bien équilibrée, assis comme debout. Les chanfreins sont bien pensés,et se font tout simplement oublier ( c'est finalement ce qu'on leur demande)
Le manche est remarquable: un profil assez fin, un accès aux aigus exceptionnel, on se fait plaisir sur tout le longueur du manche sans fatigue.
Le pilotage de l'électronique demande un petit temps d'adaptation pour s'y retrouver (14 sons différents au total, tout de même !!!), mais ça vaut le coup d'y passer un peu de temps.
SONORITÉS
Cette basse se coule facilement dans tous les styles. On passe du gros son au plus claquant sans problème. Le manche se prête bien au slap.
On garde tout de même, quoiqu'il arrive, beaucoup de brillance et d'aigus.
Le sustain et la définition des notes sont remarquables
Toutes les positions de switches ne sont pas forcément intéressantes (par exemple, le micro aigu hors-phase n'a d'intérêt que combiné au micro grave donne un super son funk), mais en quelques manips, on fini presque toujours par trouver son compte.
AVIS GLOBAL
J'ai cette basse depuis quelques semaines seulement. Voilà bien longtemps que je cherchai à me procurer un instrument Apex, dont je connaissais la réputation.
Ce n'est décidément pas usurpé: la qualité de fabrication de cet instrument parle pour elle. Pour preuve, ma basse, de 1982, est "dans son jus", et tout fonctionne à merveille. Increvable !
Un point négatif?
Ce n'en est pas un pour moi, mais il est certain que la forme, l'esthétique, les choix de couleurs de ces instruments collent à leur époque,ce qui pourra en rebuter certains.
Tant pis pour eux: ils se privent ainsi d'instruments français dont la qualité, rare, dépasse les "grands noms" de la guitare qui n'ont pas hésité, eux, à faire dans le médiocre.