rubiks04
« Usine à tout faire ! »
Publié le 09/11/15 à 22:58
Rapport qualité/prix :
Excellent
Cible :
Les utilisateurs avertis
J'utilise cet instrument pour jouer principalement de la variété dans le cadre familial. Je joue la musique, ils chantent. Parfois quelques morceaux plus anciens, tel que Tango, Valses, Cha-cha, etc... Rarement des musiques récentes typées techno, même si quelques styles d'accompagnement pourraient s'y prêter, l'instrument datant un peu maintenant.
Solide et bien fini : Affirmatif ! Lourd. La bête fait son petit poids (une bonne quinzaine de kilos). Prise en main facile si on ne cherche pas à tout personnaliser. Quand on rentre dans les détails, plutôt facile une fois qu'on a pris le coup avec les menus sur l'écran.
Qualité du clavier : type "synthé" (touché léger). Bon en dynamique. Pas d'after-touch et "seulement" 68 touches.
Séquenceur facile, permet de "muter" certaines pistes à la volée. Facile à utiliser.
Les styles d'accompagnement sont variés, avec 4 niveaux d'accompagnement (avec plus ou moins d'instruments en même temps), variable par boutons ou par la dynamique du jeu de la main droite (un délice !). Intros multiples, fill-in simple ou avec changement de niveau d'accompagnement, endings multiples.
Sonorités de très bonne facture, parmi les meilleures de l'époque (1995), éditables, groupables, que l'on peut affecter main droite ou main gauche en plus de l'accompagnement.
La polyphonie est suffisante. Je n'ai pas vraiment eu de souci avec ça.
Le PSR 6000 est destiné à deux mondes :
- privé pour se faire plaisir et jouer les chansons facilement avec les accompagnements d'usine,
- scène ou environnement public avec ses capacités de jeu en live grâce à ses pads programmables, loops d'accords ou main droite, percus en live, le séquenceur et les rythmes que l'on peut créer soit même pour que l'accompagnement ressemble le plus possible à la chanson jouée.
Ce que j'apprécie le plus : la polyvalence de l'engin. On peut tout faire avec, avec ce qu'il peut faire (pas d'échantillonneur ni gestion fichiers mp3). Lit les fichiers midi. On peut importer des accompagnements supplémentaires grâce au lecteur de disquettes (pas d'usb à cette époque). Totalement gérable par port midi.
Je conseille au moins la pédale de sustain, voire pour un meilleur jeu, une seconde pédale ON/OFF comme contrôle (assignable) et pour les perfectionniste, la pédale d'expression.
Ce que j'aime le moins : écran monochrome (même si la couleur n'aurait pas apporté grand chose) et le léger manque de graves par les haut-parleurs intégrés. Leur puissance est tout de même largement suffisante dans le cadre familial.
Au final : j'ai cassé ma tirelire en 1995. Cet instrument me suit encore aujourd'hui, 20 ans plus tard et il se pourrait qu'il soit bientôt rejoint par son grand frère, le Tyros 5. Si c'était à refaire, je reprendrais le même, sans hésitation !
Solide et bien fini : Affirmatif ! Lourd. La bête fait son petit poids (une bonne quinzaine de kilos). Prise en main facile si on ne cherche pas à tout personnaliser. Quand on rentre dans les détails, plutôt facile une fois qu'on a pris le coup avec les menus sur l'écran.
Qualité du clavier : type "synthé" (touché léger). Bon en dynamique. Pas d'after-touch et "seulement" 68 touches.
Séquenceur facile, permet de "muter" certaines pistes à la volée. Facile à utiliser.
Les styles d'accompagnement sont variés, avec 4 niveaux d'accompagnement (avec plus ou moins d'instruments en même temps), variable par boutons ou par la dynamique du jeu de la main droite (un délice !). Intros multiples, fill-in simple ou avec changement de niveau d'accompagnement, endings multiples.
Sonorités de très bonne facture, parmi les meilleures de l'époque (1995), éditables, groupables, que l'on peut affecter main droite ou main gauche en plus de l'accompagnement.
La polyphonie est suffisante. Je n'ai pas vraiment eu de souci avec ça.
Le PSR 6000 est destiné à deux mondes :
- privé pour se faire plaisir et jouer les chansons facilement avec les accompagnements d'usine,
- scène ou environnement public avec ses capacités de jeu en live grâce à ses pads programmables, loops d'accords ou main droite, percus en live, le séquenceur et les rythmes que l'on peut créer soit même pour que l'accompagnement ressemble le plus possible à la chanson jouée.
Ce que j'apprécie le plus : la polyvalence de l'engin. On peut tout faire avec, avec ce qu'il peut faire (pas d'échantillonneur ni gestion fichiers mp3). Lit les fichiers midi. On peut importer des accompagnements supplémentaires grâce au lecteur de disquettes (pas d'usb à cette époque). Totalement gérable par port midi.
Je conseille au moins la pédale de sustain, voire pour un meilleur jeu, une seconde pédale ON/OFF comme contrôle (assignable) et pour les perfectionniste, la pédale d'expression.
Ce que j'aime le moins : écran monochrome (même si la couleur n'aurait pas apporté grand chose) et le léger manque de graves par les haut-parleurs intégrés. Leur puissance est tout de même largement suffisante dans le cadre familial.
Au final : j'ai cassé ma tirelire en 1995. Cet instrument me suit encore aujourd'hui, 20 ans plus tard et il se pourrait qu'il soit bientôt rejoint par son grand frère, le Tyros 5. Si c'était à refaire, je reprendrais le même, sans hésitation !