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« La valeur sûre de la compression »
Publié le 21/01/22 à 22:54
Rapport qualité/prix :
Excellent
Cible :
Tout public
J'en possède quatre unités (8 canaux, donc puisqu'il est stéréo ou double mono).
En studio, mon utilisation du DL-241 est assez variée : sur les toms, les guitares folk ou sur un bus de guitares saturées, mais aussi et bien sûr sur la caisse claire ou la grosse caisse.
Il peut même fonctionner pour détruire certains signaux dans le cadre d'une compression parallèle ou sur des room.
Bref, il est très polyvalent et sait être transparent en utilisation courante, mais aussi plus coloré avec des temps d'attaque et de relâchement très courts.
Globalement il gomme un peu le haut du spectre, logique pour un vca de cette génération. Ce n'est pas un problème, ça peut même être un atout si on s'en sert en connaissance de cause.
En revanche, il n'introduit que très peu de souffle, ce qui est appréciable.
En terme de réglages, il est très complet : capable d'attaques hyper rapides comme très longues, des ratios qui vont de l'à peine perceptible au limiteur.
Le clipper (dénommé "peak limiter") peut aider à scalper certaines crêtes de façon plutôt radicale, ou à gérer la dynamique sur deux étages avec un compression plus modérée en amont. Par exemple avec 4-5 dB de réduction au compresseur et une action ponctuelle du clipper sur les pics plus forts. Très pratique et plus discret dans certains cas qu'un taux de compression radical.
Le gate est efficace aussi, même si aujourd'hui les plugins et leurs formidables possibilités, notamment de side chain seront clairement mon premier choix (Fabfilter).
Je me constitue au fil du temps une petite collection de compresseurs sympa (IGS Zen, Joemeek vintage, Elysia, 1176, etc.) ; le Drawmer est parfaitement à sa place dans ce parc.
En résumé, vous l'aurez compris, je suis un inconditionnel du Drawmer DL-241.
Pour :
- Son prix en occasion
- Sa polyvalence
- Son caractère
- Sa fiabilité
On aurait adoré avoir le choix entre soft et hard knee, mais il ne faut pas trop en demander non plus.
En studio, mon utilisation du DL-241 est assez variée : sur les toms, les guitares folk ou sur un bus de guitares saturées, mais aussi et bien sûr sur la caisse claire ou la grosse caisse.
Il peut même fonctionner pour détruire certains signaux dans le cadre d'une compression parallèle ou sur des room.
Bref, il est très polyvalent et sait être transparent en utilisation courante, mais aussi plus coloré avec des temps d'attaque et de relâchement très courts.
Globalement il gomme un peu le haut du spectre, logique pour un vca de cette génération. Ce n'est pas un problème, ça peut même être un atout si on s'en sert en connaissance de cause.
En revanche, il n'introduit que très peu de souffle, ce qui est appréciable.
En terme de réglages, il est très complet : capable d'attaques hyper rapides comme très longues, des ratios qui vont de l'à peine perceptible au limiteur.
Le clipper (dénommé "peak limiter") peut aider à scalper certaines crêtes de façon plutôt radicale, ou à gérer la dynamique sur deux étages avec un compression plus modérée en amont. Par exemple avec 4-5 dB de réduction au compresseur et une action ponctuelle du clipper sur les pics plus forts. Très pratique et plus discret dans certains cas qu'un taux de compression radical.
Le gate est efficace aussi, même si aujourd'hui les plugins et leurs formidables possibilités, notamment de side chain seront clairement mon premier choix (Fabfilter).
Je me constitue au fil du temps une petite collection de compresseurs sympa (IGS Zen, Joemeek vintage, Elysia, 1176, etc.) ; le Drawmer est parfaitement à sa place dans ce parc.
En résumé, vous l'aurez compris, je suis un inconditionnel du Drawmer DL-241.
Pour :
- Son prix en occasion
- Sa polyvalence
- Son caractère
- Sa fiabilité
On aurait adoré avoir le choix entre soft et hard knee, mais il ne faut pas trop en demander non plus.