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Behringer Eurolight LC2412
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Behringer Eurolight LC2412
à Chaud à Chaud
Publié le 08/05/06 à 01:15
Je viens juste de me servir de l'Eurolight LC2412 pour mon premier concert.

J'ai lu et relu le mode d'emploi avant de l'acheter pour essayer d'y comprendre quelque chose et voir si la bête corespondait à mon besoin.

Je suis tombé sur le mode d'emploi de la MA Lighting Lightcommander 12/2 qui a servi à Behringer comme modèle pour concevoir l'Eurolight LC2412. Ce mode d'emploi est nettement plus tourné vers l'utilisateur avec des paragraphes pleins de conseils pour apprendre le maniement de la bécane. "Entrainez vous à utiliser les fonctions décrites ci dessus
avant d'aborder le prochain chapitre" revient à chaque fin de chapitre et c'est ce qu'il faut faire. Vous le trouvez en français sur le net.
Ça m'a aidé pour comprendre la pholisophie de la machine finalement assez simple queand on est rentré dedans.

Ensuite, j'ai acheté la console Eurolight LC2412 et fait pas mal de manips en suivant le bouquin à la lettre. J'ai fini par comprendre. Il a fallu quand même que je recommence les manips à plusieurs jours d'intervalle pour bien les connaître.

Pour ce premier concert, j'avais branché les projecteurs (9 PC1000 en blanc pour la face + 10 PAR64 et 5 PAR56 répartis en 3 couleurs à contre) de manière appropriée sur mon bloc de puissance pour que les faders du haut de la console correspondent à un ordre logique:
Face gauche, face centre gauche, face centre droit, face droite, face central, bleu gauche, bleu milieu, bleu droit, rouge gauche, rouge milieu, rouge droit et enfin ocre (tous les PAR56 en parallèle) ce qui occupe les 12 canaus de la console et les 12 voies du bloc de puissance.

J'ai programmé des memorys avec plusieurs variantes de la face, les rouges sur un fader, les bleus sur un autre et les ocres sur un autre.
J'avais également mis des chenillards sur les 4 canaux memories de droite, ce qui permettait de faire clignoter les projos: pendant les applaudissement, le même projos que ceux qui aviant été éclairés pendant la scène se mettaient à faire bravo à leur manière.

Pendant le concert, j'avais à ma gauche le gars du son et à ma droite le gars qui faisait l'enregistrement live. Les deux ont très vite compris comment ça marchait et s'amusaient comme des petits fous à faire les lumières du concert à ma place.

Une fois compris et réalisé, c'est finalement simple. Mais j'ai passé pas mal d'heures avant de comprendre comment m'en servir.

De toutes les façons, avec une autre console comme la MA Lighting Lightcommander 12/2, c'est à peu près la même philosophie, à ceci près que Behringer a rajouté davantage de possibilités et donc davantage de boutons et de complications.