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babouche369
« Excellent produit »
Publié le 17/11/22 à 23:26
Rapport qualité/prix :
Excellent
Cible :
Les utilisateurs avertis
Note: cet avis est une ébauche et sera complété au fur et à mesure.
Préambule
Je joue uniquement dans mon home-studio, organisé autour d'une trentaine de synthés. Je ne suis pas ingénieur du son, mais simple utilisateur.
J'utilisais depuis 12 ans une table Behringer MX3282A (très bon rapport qualité/prix) + un mixer Roland M240, soit 54 entrées, réservant 2 canaux de la Behringer pour la M240.
Mais cette architecture à deux niveaux ne me convenait pas, et je manquais encore d'entrées. Compte tenu de la place, il me fallait passer en numérique; je me suis donc laissé séduire par la M32 + un DL32, soit 64 entrées. J'ai choisi la version M32 Live, qui comprend un enregistreur sur carte SD en 32 canaux.
Notons que tous les instruments passent par 5 patchbays 24 points, pour une reconfiguration plus aisée.
Présentation
C'est toujours une affaire de goûts, mais je trouve la présentation générale très soignée. L'organisation de la table est assez claire, les dimensions des commandes sont généreuses, on sent que l'ergonomie a été bien pensée. On repère rapidement les fonctions majeurs, les différentes sections avec pour chacune un bouton view pour afficher les paramètres propres à la sections. Et des paramètres, il y en a plus de 2000 en tout!
Deux prises casques sont situées aux extrémités, dissimulées mais facilement accessibles.
La table aussi profonde mais est légèrement moins large que ma précédente Behringer MX3282A
J'aime son panneau relevé et son look tout noir. Par contre, la moindre poussière se voit très bien! Heureusement qu'une housse est fourníe.
L'écran n'est pas tactile. Je préfère ça, car le workflow n'en est nullement affecté, et ça évite d'avoir avec le temps un écran couvert d'empreintes digitales.
Le mode d'emploi n'est pas fourni, juste un petit guide de démarrage rapide. On le trouve facilement sur le web, mais il est incomplet (par exemple, les user routing slots sont manquant), pas toujours très clair, souvent trop succint et donc pas d'une grande utilité. Je regrette qu'il n'y ai pas plus de littérature sur le site de Midas: prise en main, conseils, astuces, ... Heureusement, il y a plusieurs tutoriels sur Youtube, dont un en français sur la chaine "Studio le 47".
J'ai dû faire une mise à jour de l'OS (via une clef USB), très facile. Détail, mais je trouve que le graphisme de l'ancien OS était plus joli.
Utilisation
Canaux
C'est similaire à une table analogique: Chaque canal dispose d'un préampli, noise gate, compresseur, égaliseur paramétrique, départ vers 16 bus; la disposition physique n'étant pas en tranche mais de gauche à droite, c'est un peu déroutant au début. Ensuite viennent les faders: la M32 affiche les 32 canaux en 2 pages de 16, avec pour chaque un bargraphe, les boutons SOLO et MUTE, un afficheur LCD et le bouton SEL pour afficher les paramètres du canal sur l'écran principal.
Les faders servent également au BUS et aux entrées auxiliaires.
Un troisième groupe de 8 faders sera utilisé également pour les BUS, mais aussi pour les Matrices et les DCA. Les DCA permettent de contrôler le volume de plusieurs canaux simutanéments; très pratique, surtout quand les canaux à contrôler sont réparties sur 2 pages.
Routage
À la différence d'une table analogique, les canaux sont logique, c'est-à-dire qu'on devra lier chaque canal à une Entrée/Sortie physique; on peut donc modifier la disposition à souhait. La table ne mixe que 40 canaux à la fois.
C'est un compromis acceptable par rapport à l'analogique, car je n'utilise jamais tous les synthés en même temps.
L'affectation entre canaux et entrées/sorties (routing) se fait par bloc de 8: par exemple, aux canaux 1 à 8, on pourra affecter un bloc de 8 entrées parmis les 8 blocs à ma disposition (8*8=64 entrées), voir 12 si j'ajoutai un deuxième DL32 (96 entrées). J'ai donc disposé mes intruments en regroupant sur un même bloc d'entrées ceux que j'utilise en même temps. Le principe est similaire pour configurer les sorties.
Est-ce à dire qu'il est impossible de dire "je mets l'entrée 3 sur le canal 1, l'entrée 17 sur le canal 2, etc..." ? Si, c'est possible grâce aux User Routing Slots. On dispose de 8 slots (4 entrées, 4 sorties), chaque slot permettant de selectionner 8 entrées ou sorties parmi l'ensemble des entrées/sorties de la table.
Le routing est assez simple à faire. À ce sujet, je regrette de ne pas pouvoir cacher certaines possibilités; mon port AES50B est vide, inutile de me l'offrir dans les choix de routing. Ça alourdit l'affichage (je comprends qu'on puisse le désirer dans certains cas - préparer avant de connecter -, mais offrez la possibilité de masquer).
On peut sauvegarder 9 configurations de routings différentes dans la librairie.
Comment rappeler une configuration de routing ? On peut la rappeler à partir de la librairie, mais ça sera juste le routage, pas les configurations des canaux (noms, paramètres). Pour avoir une gestion plus complète, il faut utiliser les SCENES.
Cue, scene, snippet
Ces trois concepts sont utilisés pour reconfigurer la table. Une SCENE mémorise tous les paramètres de la table, alors qu'un SNIPPET mémorise juste certains paramètres souhaités. Enfin, les CUE permettent de modifier séquentiellement tous les paramètres de la table; à chaque CUE, on pourra reconfigurer la table totalement (appel d'une SCENE) ou partiellement (appel d'un SNIPPET). On comprendra mieux cette notion dans le cas d'un spectacle. En studio, j'utilise donc les SCENES pour réorganiser la table et autour des instruments que je veux utiliser pour un projet donné. Utilisé avec la librairie, c'est vraiment un outil puissant!
Attention à la notion de SAFE, qui peut avoir 2 sens opposés; ici, SAFE signifie que ces paramètres seront préservés, donc pas modifiés entre les changement de SCENE ou de SNIPPET. Je trouve que l'emploi de ce terme prête à confusion, le terme preserve ou locked aurait été plus clair.
Assign
Cette section permet de configurer des raccourcis vers des paramètres. Beaucoup de paramètres, mais pas tous, sont configurables: Fader, Panoramique (appelé ici "Panorama" ?), Sends, FX, certains paramètres MIDI (CC, note send, ..), Remote (pour contrôler un DAW), Selected Channel (c'est à dire différents paramètres du canal actuellement sélectionné) et SD Recorder. On a à disposition 4 encodeurs (numérotés 1 à 4), 4 écrans de 4 lignes, et 2 lignes de 4 boutons (respectivement numérotés 5 à 8 et 9 à 12). La police de caractère sur ces écrans est petite pour pouvoir afficher les informations: la première ligne indique le paramètre assigné à l'encodeur, la seconde la valeur courante, la troisième au paramètre assigné au bouton du haut, la quatrième au paramètre assigné au bouton du bas. C'est bien pratique, mais malheureusement, on a juste 3 set (ça fait quand même 48 paramètres disponibles), on en prendrait plus.
Sauvegarde
Elle se fait sur une clef USB, à partir du menu SETUP -> Global -> Backup -> Export. Là attention: faire un backup ne signifiera pas que vous retrouverez votre configuration au prochain allumage. C'est juste une sauvegarde de tout l'ensemble (configuration, scènes, librairies, ...) au cas où il faudrait tout restaurer, par exemple après une mise à jour du firmware.
Pour sauvegarder sa config, il faut créer un CUSTOM BOOT: aller dans SETUP -> Global -> Custom boot -> Create.
Les sauvegardes sont faites en texte ASCII; il est possible d'extraire des parties ou de modifier des paramètres directement dans la sauvegarde. Étant informaticien, je me suis fait des scripts sous Linux pour créer des nouvelles configurations en extrayant des parties de sauvegarde (clin d'oeil aux amateurs de awk et sed!).
Utilisation en interface audio
La carte DN32 intégrée dans la console permet d'utiliser celle-ci comme interface audio USB pour un ordinateur. J'utilise depuis peu Cubase SX (ouais ça date un peu, mais c'est un ordinateur de récup et ça marche impec), alors j'ai voulu tester. Il faut configurer la carte DN32 pour qu'elle envoie vers USB. Ce n'est pas forcément évident à trouver car c'est mélangé avec les paramètres d'enregistrement vers la carte SD. Plusieurs configurations sont disponibles: 2 in-2 out, 8 in-8 out, etc...; j'ai choisi 8x8. Il faut ensuite changer le routing (par exemple "card1-8" sur les canaux 1-8).
Sur l'ordi, il faut installer le driver de la DN32 (disponible sur le site de Klark Teknik); Cubase voit alors un nouveau pilote ASIO. Une fois créés 8 bus mono (on ne peut pas créer directement un bus à 8 canaux; peut-être cette version de Cubase?), et affecté chaque piste à un bus, l'audio de Cubase est bien dirigé vers les canaux 1 à 8 de la M32. Great ! Fait curieux, mon morceau de test avait été enregistré en 44.1k, mais la M32 est configuré en 48k: ça marche pourtant, c'est juste plus aigu et plus rapide.
Je n'ai pas encore réussi à configurer l'entrée audio dans Cubase, à suivre donc.
Son
A tomber par terre! Mes premiers essais l'ont été avec un simple lecteur de CD et franchement, je découvre des détails que je n'avais jamais entendu avant, même sur des disques que je connais par coeur.
Idem évidemment pour les synthés. Avec un effet pervers: j'entends maintenant leurs défauts .
Préambule
Je joue uniquement dans mon home-studio, organisé autour d'une trentaine de synthés. Je ne suis pas ingénieur du son, mais simple utilisateur.
J'utilisais depuis 12 ans une table Behringer MX3282A (très bon rapport qualité/prix) + un mixer Roland M240, soit 54 entrées, réservant 2 canaux de la Behringer pour la M240.
Mais cette architecture à deux niveaux ne me convenait pas, et je manquais encore d'entrées. Compte tenu de la place, il me fallait passer en numérique; je me suis donc laissé séduire par la M32 + un DL32, soit 64 entrées. J'ai choisi la version M32 Live, qui comprend un enregistreur sur carte SD en 32 canaux.
Notons que tous les instruments passent par 5 patchbays 24 points, pour une reconfiguration plus aisée.
Présentation
C'est toujours une affaire de goûts, mais je trouve la présentation générale très soignée. L'organisation de la table est assez claire, les dimensions des commandes sont généreuses, on sent que l'ergonomie a été bien pensée. On repère rapidement les fonctions majeurs, les différentes sections avec pour chacune un bouton view pour afficher les paramètres propres à la sections. Et des paramètres, il y en a plus de 2000 en tout!
Deux prises casques sont situées aux extrémités, dissimulées mais facilement accessibles.
La table aussi profonde mais est légèrement moins large que ma précédente Behringer MX3282A
J'aime son panneau relevé et son look tout noir. Par contre, la moindre poussière se voit très bien! Heureusement qu'une housse est fourníe.
L'écran n'est pas tactile. Je préfère ça, car le workflow n'en est nullement affecté, et ça évite d'avoir avec le temps un écran couvert d'empreintes digitales.
Le mode d'emploi n'est pas fourni, juste un petit guide de démarrage rapide. On le trouve facilement sur le web, mais il est incomplet (par exemple, les user routing slots sont manquant), pas toujours très clair, souvent trop succint et donc pas d'une grande utilité. Je regrette qu'il n'y ai pas plus de littérature sur le site de Midas: prise en main, conseils, astuces, ... Heureusement, il y a plusieurs tutoriels sur Youtube, dont un en français sur la chaine "Studio le 47".
J'ai dû faire une mise à jour de l'OS (via une clef USB), très facile. Détail, mais je trouve que le graphisme de l'ancien OS était plus joli.
Utilisation
Canaux
C'est similaire à une table analogique: Chaque canal dispose d'un préampli, noise gate, compresseur, égaliseur paramétrique, départ vers 16 bus; la disposition physique n'étant pas en tranche mais de gauche à droite, c'est un peu déroutant au début. Ensuite viennent les faders: la M32 affiche les 32 canaux en 2 pages de 16, avec pour chaque un bargraphe, les boutons SOLO et MUTE, un afficheur LCD et le bouton SEL pour afficher les paramètres du canal sur l'écran principal.
Les faders servent également au BUS et aux entrées auxiliaires.
Un troisième groupe de 8 faders sera utilisé également pour les BUS, mais aussi pour les Matrices et les DCA. Les DCA permettent de contrôler le volume de plusieurs canaux simutanéments; très pratique, surtout quand les canaux à contrôler sont réparties sur 2 pages.
Routage
À la différence d'une table analogique, les canaux sont logique, c'est-à-dire qu'on devra lier chaque canal à une Entrée/Sortie physique; on peut donc modifier la disposition à souhait. La table ne mixe que 40 canaux à la fois.
C'est un compromis acceptable par rapport à l'analogique, car je n'utilise jamais tous les synthés en même temps.
L'affectation entre canaux et entrées/sorties (routing) se fait par bloc de 8: par exemple, aux canaux 1 à 8, on pourra affecter un bloc de 8 entrées parmis les 8 blocs à ma disposition (8*8=64 entrées), voir 12 si j'ajoutai un deuxième DL32 (96 entrées). J'ai donc disposé mes intruments en regroupant sur un même bloc d'entrées ceux que j'utilise en même temps. Le principe est similaire pour configurer les sorties.
Est-ce à dire qu'il est impossible de dire "je mets l'entrée 3 sur le canal 1, l'entrée 17 sur le canal 2, etc..." ? Si, c'est possible grâce aux User Routing Slots. On dispose de 8 slots (4 entrées, 4 sorties), chaque slot permettant de selectionner 8 entrées ou sorties parmi l'ensemble des entrées/sorties de la table.
Le routing est assez simple à faire. À ce sujet, je regrette de ne pas pouvoir cacher certaines possibilités; mon port AES50B est vide, inutile de me l'offrir dans les choix de routing. Ça alourdit l'affichage (je comprends qu'on puisse le désirer dans certains cas - préparer avant de connecter -, mais offrez la possibilité de masquer).
On peut sauvegarder 9 configurations de routings différentes dans la librairie.
Comment rappeler une configuration de routing ? On peut la rappeler à partir de la librairie, mais ça sera juste le routage, pas les configurations des canaux (noms, paramètres). Pour avoir une gestion plus complète, il faut utiliser les SCENES.
Cue, scene, snippet
Ces trois concepts sont utilisés pour reconfigurer la table. Une SCENE mémorise tous les paramètres de la table, alors qu'un SNIPPET mémorise juste certains paramètres souhaités. Enfin, les CUE permettent de modifier séquentiellement tous les paramètres de la table; à chaque CUE, on pourra reconfigurer la table totalement (appel d'une SCENE) ou partiellement (appel d'un SNIPPET). On comprendra mieux cette notion dans le cas d'un spectacle. En studio, j'utilise donc les SCENES pour réorganiser la table et autour des instruments que je veux utiliser pour un projet donné. Utilisé avec la librairie, c'est vraiment un outil puissant!
Attention à la notion de SAFE, qui peut avoir 2 sens opposés; ici, SAFE signifie que ces paramètres seront préservés, donc pas modifiés entre les changement de SCENE ou de SNIPPET. Je trouve que l'emploi de ce terme prête à confusion, le terme preserve ou locked aurait été plus clair.
Assign
Cette section permet de configurer des raccourcis vers des paramètres. Beaucoup de paramètres, mais pas tous, sont configurables: Fader, Panoramique (appelé ici "Panorama" ?), Sends, FX, certains paramètres MIDI (CC, note send, ..), Remote (pour contrôler un DAW), Selected Channel (c'est à dire différents paramètres du canal actuellement sélectionné) et SD Recorder. On a à disposition 4 encodeurs (numérotés 1 à 4), 4 écrans de 4 lignes, et 2 lignes de 4 boutons (respectivement numérotés 5 à 8 et 9 à 12). La police de caractère sur ces écrans est petite pour pouvoir afficher les informations: la première ligne indique le paramètre assigné à l'encodeur, la seconde la valeur courante, la troisième au paramètre assigné au bouton du haut, la quatrième au paramètre assigné au bouton du bas. C'est bien pratique, mais malheureusement, on a juste 3 set (ça fait quand même 48 paramètres disponibles), on en prendrait plus.
Sauvegarde
Elle se fait sur une clef USB, à partir du menu SETUP -> Global -> Backup -> Export. Là attention: faire un backup ne signifiera pas que vous retrouverez votre configuration au prochain allumage. C'est juste une sauvegarde de tout l'ensemble (configuration, scènes, librairies, ...) au cas où il faudrait tout restaurer, par exemple après une mise à jour du firmware.
Pour sauvegarder sa config, il faut créer un CUSTOM BOOT: aller dans SETUP -> Global -> Custom boot -> Create.
Les sauvegardes sont faites en texte ASCII; il est possible d'extraire des parties ou de modifier des paramètres directement dans la sauvegarde. Étant informaticien, je me suis fait des scripts sous Linux pour créer des nouvelles configurations en extrayant des parties de sauvegarde (clin d'oeil aux amateurs de awk et sed!).
Utilisation en interface audio
La carte DN32 intégrée dans la console permet d'utiliser celle-ci comme interface audio USB pour un ordinateur. J'utilise depuis peu Cubase SX (ouais ça date un peu, mais c'est un ordinateur de récup et ça marche impec), alors j'ai voulu tester. Il faut configurer la carte DN32 pour qu'elle envoie vers USB. Ce n'est pas forcément évident à trouver car c'est mélangé avec les paramètres d'enregistrement vers la carte SD. Plusieurs configurations sont disponibles: 2 in-2 out, 8 in-8 out, etc...; j'ai choisi 8x8. Il faut ensuite changer le routing (par exemple "card1-8" sur les canaux 1-8).
Sur l'ordi, il faut installer le driver de la DN32 (disponible sur le site de Klark Teknik); Cubase voit alors un nouveau pilote ASIO. Une fois créés 8 bus mono (on ne peut pas créer directement un bus à 8 canaux; peut-être cette version de Cubase?), et affecté chaque piste à un bus, l'audio de Cubase est bien dirigé vers les canaux 1 à 8 de la M32. Great ! Fait curieux, mon morceau de test avait été enregistré en 44.1k, mais la M32 est configuré en 48k: ça marche pourtant, c'est juste plus aigu et plus rapide.
Je n'ai pas encore réussi à configurer l'entrée audio dans Cubase, à suivre donc.
Son
A tomber par terre! Mes premiers essais l'ont été avec un simple lecteur de CD et franchement, je découvre des détails que je n'avais jamais entendu avant, même sur des disques que je connais par coeur.
Idem évidemment pour les synthés. Avec un effet pervers: j'entends maintenant leurs défauts .