Voir les autres avis sur ce produit :
Pete_shifter « Avec Presonus, on en a plus ! »
Publié le 27/06/23 à 00:14
Rapport qualité/prix :
Excellent
Cible :
Les utilisateurs avertis
Bon, j'ai tenté un slogan... 
Au-delà de la blague, a qualité équivalente, il est clair qu'il y a toujours plus d'entrées-sorties ou de fonctionnalités dans le matos Presonus que chez la concurrence.
Acheté en 2016, je ne mets un avis que maintenant parce que je viens de me rendre compte que les précédents datent un peu. Entre temps, la partie logicielle et firmware a pas mal évolué.
Utilisation quasi exclusive en studio, et 2 fois en live. Ce qui m'a séduit tout de suite c'est les gains des préamp mémorisables. Du coup là, quand on passe d'une scène à l'autre, c'est un recall total ! Et ça c'est vraiment le pied, je ne pourrai plus jamais m'en passer.
Autre point qui m'a plu c'est l'absence d'interface physique. Faut pas se mentir, dans ce budget là, une table avec des faders et des potards, c'est galère assurée, sans même parler de la qualité perçue.
Evidemment, le point fort qui en découle c'est le pilotage en wifi, sur tablette ou smartphone, iOs ou Android. En live, on peut se mettre à côté du musicien pour régler ses retours. Il peut même installer une appli sur son smartphone pour gérer le volume de son instrument dans son retour. En studio, je laisse carrément mon iPad pour qu'il puisse faire lui-même son mix.
Encore un autre point fort ? C'est une interface audio. Pour le studio, l'utilité est évidente, mais en live, c'est la possibilité d'enregistrer la presta en multipiste sur un ordinateur portable. Et donc de pouvoir la remixer après. Les effets et traitements ne sont pas obligatoirement appliqués aux pistes, on a toute latitude pour bosser proprement.
Cette génération de Studiolive (2) a bénéficié du partenariat entre Presonus et SMAART, le système d'étalonnage audio. On branche un micro de mesure à 50 ou 100 balles, le système génère un bruit rose et affiche un égaliseur pour corriger les défauts du studio ou de la salle. Ca prend 5 minutes. La génération 3 des Studiolive ne dispose plus de cette fonction. Dommage !
Pour le reste : un gate, un compresseur, un limiteur, un EQ paramétrique 4 bandes, un coupe-bas, une inversion de phase et un alim 48V par tranche. Les 8 bus de sortie bénéficient eux aussi des traitements de dynamique et de l'égalisation paramétrique.
4 effets au choix parmi reverb et delay sur bus auxiliaires. Et un égaliseur graphique 31 bandes sur le master et les 8 sorties. De quoi affronter à peu près n'importe quelle situation !
En terme de fiabilité, jamais une panne, jamais un plantage. C'est hyper rassurant !
Au chapitre des défauts, une interface pas forcément toujours intuitive. Et puis il y a tellement de possibilités. Avec l'habitude évidemment, on s'y retrouve. Mais c'est compliqué de passer les commandes à quelqu'un qui n'a jamais mis les mains dedans.
Au-delà de la blague, a qualité équivalente, il est clair qu'il y a toujours plus d'entrées-sorties ou de fonctionnalités dans le matos Presonus que chez la concurrence.Acheté en 2016, je ne mets un avis que maintenant parce que je viens de me rendre compte que les précédents datent un peu. Entre temps, la partie logicielle et firmware a pas mal évolué.
Utilisation quasi exclusive en studio, et 2 fois en live. Ce qui m'a séduit tout de suite c'est les gains des préamp mémorisables. Du coup là, quand on passe d'une scène à l'autre, c'est un recall total ! Et ça c'est vraiment le pied, je ne pourrai plus jamais m'en passer.
Autre point qui m'a plu c'est l'absence d'interface physique. Faut pas se mentir, dans ce budget là, une table avec des faders et des potards, c'est galère assurée, sans même parler de la qualité perçue.
Evidemment, le point fort qui en découle c'est le pilotage en wifi, sur tablette ou smartphone, iOs ou Android. En live, on peut se mettre à côté du musicien pour régler ses retours. Il peut même installer une appli sur son smartphone pour gérer le volume de son instrument dans son retour. En studio, je laisse carrément mon iPad pour qu'il puisse faire lui-même son mix.
Encore un autre point fort ? C'est une interface audio. Pour le studio, l'utilité est évidente, mais en live, c'est la possibilité d'enregistrer la presta en multipiste sur un ordinateur portable. Et donc de pouvoir la remixer après. Les effets et traitements ne sont pas obligatoirement appliqués aux pistes, on a toute latitude pour bosser proprement.
Cette génération de Studiolive (2) a bénéficié du partenariat entre Presonus et SMAART, le système d'étalonnage audio. On branche un micro de mesure à 50 ou 100 balles, le système génère un bruit rose et affiche un égaliseur pour corriger les défauts du studio ou de la salle. Ca prend 5 minutes. La génération 3 des Studiolive ne dispose plus de cette fonction. Dommage !
Pour le reste : un gate, un compresseur, un limiteur, un EQ paramétrique 4 bandes, un coupe-bas, une inversion de phase et un alim 48V par tranche. Les 8 bus de sortie bénéficient eux aussi des traitements de dynamique et de l'égalisation paramétrique.
4 effets au choix parmi reverb et delay sur bus auxiliaires. Et un égaliseur graphique 31 bandes sur le master et les 8 sorties. De quoi affronter à peu près n'importe quelle situation !
En terme de fiabilité, jamais une panne, jamais un plantage. C'est hyper rassurant !
Au chapitre des défauts, une interface pas forcément toujours intuitive. Et puis il y a tellement de possibilités. Avec l'habitude évidemment, on s'y retrouve. Mais c'est compliqué de passer les commandes à quelqu'un qui n'a jamais mis les mains dedans.