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Electrocig
« Multi-processeur de dynamique semi-modulaire et analogique »
Publié le 21/01/18 à 18:08
Rapport qualité/prix :
Excellent
Cible :
Les utilisateurs avertis
CARACTERISTIQUES
Concept de base: une paire de vca et de filtres passe-haut plus passe-bas contrôlés numériquement.
- 2 entrées et sorties audio analogiques
- 2 entrées side-chain
- 2 entrées key input (side-chain dédié au module ducker/gate)
- trio midi
Effets proposés:
- compresseur
- limiteur
- expandeur
- déesseur
- gate
- ducker
- fader
- LFO (auto-pump etc)
- enveloppe
- auto-pan
- phaser
- plusieurs chaînes d'effets possibles, par exemple expandeur+limiteur+ducker+LFO.
- deux modes permettant d'empiler les deux voix et de créer une chaîne opérant théoriquement sur deux bandes en mono.
Autres particularités
- possibilité de linker 2 m500 en maître/esclave, par exemple pour profiter des modes dual bands en stéréo.
- midi clock, reçoit et envois des notes on/off, sampling d'enveloppes, presets et ce qu'on attends d'une machine numérique en général.
- sauvegarde et rappel via sysex super facile
- l'audio n'est jamais convertis et reste 100% analogique.
- c'est la machine qui a inspiré les plug-ins types auto-pump/LFO.
UTILISATION
La machine demande pas mal de temps avant d'être prise en main et une bonne compréhension de la notion de dynamique sonore. Ce qui est surtout nécessaire, c'est de ne pas la considérer comme un compresseur. En fait, c'est probablement l'usage qui en sera le plus rarement fait. Le m500 sonne très bien en temps que compresseur basique mais l'ergonomie est moins adaptée qu'un compresseur traditionnel.
L'intêret de la machine réside dans ses possibilités étendues de traitement de la dynamique et même, grâce aux filtres, du contenu fréquentiel de ce que vous voudrez bien lui nourrir. Ce n'est pas un outil pour ingénieurs du son, plus pour producteurs.
SON
Lent et épais.
CONCLUSION
Avant tout une boîte à expérimenter. Les trucs qui en sortent sonnent souvent complètement aliens, c'est du design sonore, pas de la gestion de dynamique. Une fois qu'on la connait bien, après avoir fini 4 ou 5 morceaux avec, et de longues heures parfois frustrantes à expérimenter dans le vide, on devient capable de prévoir ses réactions et on y trouve rapidement ce qu'on cherche, de la trance-gate envoyée dans le lfo aux effets de filtrage et de layers. Même une fois arrivé là, passer un quart d'heure à torturer un break juste pour voir ce que le m500 en fera reste une vrai source d'inspiration.
Concept de base: une paire de vca et de filtres passe-haut plus passe-bas contrôlés numériquement.
- 2 entrées et sorties audio analogiques
- 2 entrées side-chain
- 2 entrées key input (side-chain dédié au module ducker/gate)
- trio midi
Effets proposés:
- compresseur
- limiteur
- expandeur
- déesseur
- gate
- ducker
- fader
- LFO (auto-pump etc)
- enveloppe
- auto-pan
- phaser
- plusieurs chaînes d'effets possibles, par exemple expandeur+limiteur+ducker+LFO.
- deux modes permettant d'empiler les deux voix et de créer une chaîne opérant théoriquement sur deux bandes en mono.
Autres particularités
- possibilité de linker 2 m500 en maître/esclave, par exemple pour profiter des modes dual bands en stéréo.
- midi clock, reçoit et envois des notes on/off, sampling d'enveloppes, presets et ce qu'on attends d'une machine numérique en général.
- sauvegarde et rappel via sysex super facile
- l'audio n'est jamais convertis et reste 100% analogique.
- c'est la machine qui a inspiré les plug-ins types auto-pump/LFO.
UTILISATION
La machine demande pas mal de temps avant d'être prise en main et une bonne compréhension de la notion de dynamique sonore. Ce qui est surtout nécessaire, c'est de ne pas la considérer comme un compresseur. En fait, c'est probablement l'usage qui en sera le plus rarement fait. Le m500 sonne très bien en temps que compresseur basique mais l'ergonomie est moins adaptée qu'un compresseur traditionnel.
L'intêret de la machine réside dans ses possibilités étendues de traitement de la dynamique et même, grâce aux filtres, du contenu fréquentiel de ce que vous voudrez bien lui nourrir. Ce n'est pas un outil pour ingénieurs du son, plus pour producteurs.
SON
Lent et épais.
CONCLUSION
Avant tout une boîte à expérimenter. Les trucs qui en sortent sonnent souvent complètement aliens, c'est du design sonore, pas de la gestion de dynamique. Une fois qu'on la connait bien, après avoir fini 4 ou 5 morceaux avec, et de longues heures parfois frustrantes à expérimenter dans le vide, on devient capable de prévoir ses réactions et on y trouve rapidement ce qu'on cherche, de la trance-gate envoyée dans le lfo aux effets de filtrage et de layers. Même une fois arrivé là, passer un quart d'heure à torturer un break juste pour voir ce que le m500 en fera reste une vrai source d'inspiration.