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Makos « Une Jazz Mama qui fait le job »
Publié le 15/06/12 à 22:14Fabrication Coréenne de bonne facture.
Table épicéa, le reste en érable. Beau vernis brillant sur le tout
Mécaniques Grover, un standard de qualité, 2 humbuckers de chez Epiphone un chevalet palissandre et un "resonator" en tailpiece. L'ensemble est plaqué gold.
Cette guitare est sérieusement fabriquée. Pas de défaut apparent.
Seule ombre au tableau (rien de grave), elle est livrée avec des cordes pas terrible, certes ces dernières sont d'un tirant assez fort se voulant "jazz", mais un changement immédiat est la bonne solution pour faire sonner cette jazz-mama. Filets plats d'Addario... le bon choix.
Une autre petite chose me déplait également, une guitare de ce type devrait être livrée en étui. Ce n'est pas le cas. Il faudra donc penser à se fendre d'un billet de 50 ou 100 euros pour acquérir une boite de plus ou moins belle finition. Et très franchement, une archtop conservée en housse à 2 balles, j'imagine même pas. Ça fait tout de même enfler la douloureuse cette absence d'étui... à prendre en compte au moment de l'acquérir.
UTILISATION
Je n'ajouterai rien ici, le très bon avis précédent décrit les choses comme il faut.
SONORITÉS
Jazz, blues, rock... en fait elle est assez polyvalente. Les humbuckers Epiphone, sans être le top du genre se débrouillent plutôt pas mal. Ils n'excellent dans aucun des styles cités mais bien amplifiés, on trouve le bon son en fonction de l'inspiration du moment. Comme le souligne l'avis précédent, un upgrade de micro ne serait pas une mauvaise chose au regard de la prestation de la lutherie. Elle le mériterait. Mais dans l'état, elle fait le job comme il faut.
AVIS GLOBAL
Lointaine cousine de la L5 et de la Super 400, cette Broadway est très agréable. Elle en possède les caractéristiques principales, la présence, sans bien entendu, en avoir la finition et l'aura. Sa grosse bouille et sa tenue en font un instrument que l'on aime serrer contre-soi, y égrainer quelques accords à la Wes, puis d'un médiator bien dur la faire chanter sur un ampli lampes avec un soupçon de reverb... elle jazz. Bon feeling...
-> EDIT FEV2013 : Equipée d'un Classic 57 en position manche ainsi que d'un chevalet ABR cette Broadway devient plus qu'excellente... coût de la modif (hors pause micro car exécutée par mes soins) : 100 euros ... elle les vaut bien
Table épicéa, le reste en érable. Beau vernis brillant sur le tout
Mécaniques Grover, un standard de qualité, 2 humbuckers de chez Epiphone un chevalet palissandre et un "resonator" en tailpiece. L'ensemble est plaqué gold.
Cette guitare est sérieusement fabriquée. Pas de défaut apparent.
Seule ombre au tableau (rien de grave), elle est livrée avec des cordes pas terrible, certes ces dernières sont d'un tirant assez fort se voulant "jazz", mais un changement immédiat est la bonne solution pour faire sonner cette jazz-mama. Filets plats d'Addario... le bon choix.
Une autre petite chose me déplait également, une guitare de ce type devrait être livrée en étui. Ce n'est pas le cas. Il faudra donc penser à se fendre d'un billet de 50 ou 100 euros pour acquérir une boite de plus ou moins belle finition. Et très franchement, une archtop conservée en housse à 2 balles, j'imagine même pas. Ça fait tout de même enfler la douloureuse cette absence d'étui... à prendre en compte au moment de l'acquérir.
UTILISATION
Je n'ajouterai rien ici, le très bon avis précédent décrit les choses comme il faut.
SONORITÉS
Jazz, blues, rock... en fait elle est assez polyvalente. Les humbuckers Epiphone, sans être le top du genre se débrouillent plutôt pas mal. Ils n'excellent dans aucun des styles cités mais bien amplifiés, on trouve le bon son en fonction de l'inspiration du moment. Comme le souligne l'avis précédent, un upgrade de micro ne serait pas une mauvaise chose au regard de la prestation de la lutherie. Elle le mériterait. Mais dans l'état, elle fait le job comme il faut.
AVIS GLOBAL
Lointaine cousine de la L5 et de la Super 400, cette Broadway est très agréable. Elle en possède les caractéristiques principales, la présence, sans bien entendu, en avoir la finition et l'aura. Sa grosse bouille et sa tenue en font un instrument que l'on aime serrer contre-soi, y égrainer quelques accords à la Wes, puis d'un médiator bien dur la faire chanter sur un ampli lampes avec un soupçon de reverb... elle jazz. Bon feeling...
-> EDIT FEV2013 : Equipée d'un Classic 57 en position manche ainsi que d'un chevalet ABR cette Broadway devient plus qu'excellente... coût de la modif (hors pause micro car exécutée par mes soins) : 100 euros ... elle les vaut bien