BigBadPete
« Guitare unique... Comme vous, moi, son créateur... »
Publié le 07/12/16 à 18:59
Rapport qualité/prix :
Excellent
Cible :
Les utilisateurs avertis
Précisons une chose essentielle : la démarche de se faire faire un instrument est délicate. Il faut savoir ce que l’on aime et ce que l’on veut en faire.
Depuis que j’ai vu des guitares en métal, j’ai toujours trouvé ça fascinant, mais ne disposant pas d’une somme d’argent équivalente au PIB du Venezuela, je n’osais passer le pas.
Jusqu’à ce que je trouve le site du Sieur Le Pape. Intéressant. Après la demande de renseignements sur le site, Maître Loïc me rappelle et a dû bouffer la moitié de son forfait (!)…
Un tour chez Guitar-Village pour tester une bonne douzaine de ses créations, et je savais que ça valait le coup.
Il faut quelques échanges pour arriver à définir le projet. En ce sens, ce n’est pas un truc de débutant. Mais c’est tellement passionnant, avant que la guitare n’existe, on lui insuffle déjà sa personnalité.
Livrée par transporteur dans une valise de très belle facture, j’ouvre, je gratte à peine les cordes, ça résonne… presque comme une acoustique et bien mieux qu’une électrique !
Contre soi, c’est encore plus dingue, on sent la guitare vibrer. Oui, vibrer ! Alors que le corps est en métal ! Dingue, je vous dis…
Sur ses conseils, j’ai choisi un micro de type P90, c’est un SP Custom bobiné plutôt musclé. Et l’avantage d’une guitare en acier, c’est qu’elle fait cage de Faraday, donc les bbzzzzzzz…. Finis ! ‘A p’us !!!
Un seul micro, un volume, une tonalité. Avec une électronique aussi minimaliste, on se force à jouer des potards et de la dynamique, et finalement, la polyvalence est là. C’est fou ce qu’on peut faire avec seulement un micro. Là encore, un conseil de Loïc.
Comment sonne-t-elle ? Que fait-on avec ? C’est à son image, c’est roots, c’est brut, c’est rentre-dedans tout en étant subtil à la fois.
Branchée dans des trucs de fast-food (amplis à modélisation) pour cause d’appartement, c’est déjà très beau, mais… au détour de studios de répèt’, avec un Fender Deluxe Reverb ou un VOX AC/30, on tutoie les étoiles.
Et moi qui suis d’habitude un maniaque du gain qui met tout à 11, je découvre les joies des sons plus vraiment propres, mais pas encore très sales.
Passer du clair au crunch rien qu’à l’attaque et au volume, du brillant au doux toujours à l’attaque et à la tonalité, du bonheur !
C’est une guitare blues, rock, hard-rock, punk.
Elle est vivante, elle est unique, elle est à moi comme je suis à elle.
N.B. : Ajouter à ça que le Père Le Pape gagne vraiment à être connu.
Un type qui fait de pareils instruments, qui ne se la pète pas, et qui reste sympa… BRAVO ! Y en a qui aurait chopé le melon pour bien moins que ça !!!
Depuis que j’ai vu des guitares en métal, j’ai toujours trouvé ça fascinant, mais ne disposant pas d’une somme d’argent équivalente au PIB du Venezuela, je n’osais passer le pas.
Jusqu’à ce que je trouve le site du Sieur Le Pape. Intéressant. Après la demande de renseignements sur le site, Maître Loïc me rappelle et a dû bouffer la moitié de son forfait (!)…
Un tour chez Guitar-Village pour tester une bonne douzaine de ses créations, et je savais que ça valait le coup.
Il faut quelques échanges pour arriver à définir le projet. En ce sens, ce n’est pas un truc de débutant. Mais c’est tellement passionnant, avant que la guitare n’existe, on lui insuffle déjà sa personnalité.
Livrée par transporteur dans une valise de très belle facture, j’ouvre, je gratte à peine les cordes, ça résonne… presque comme une acoustique et bien mieux qu’une électrique !
Contre soi, c’est encore plus dingue, on sent la guitare vibrer. Oui, vibrer ! Alors que le corps est en métal ! Dingue, je vous dis…
Sur ses conseils, j’ai choisi un micro de type P90, c’est un SP Custom bobiné plutôt musclé. Et l’avantage d’une guitare en acier, c’est qu’elle fait cage de Faraday, donc les bbzzzzzzz…. Finis ! ‘A p’us !!!
Un seul micro, un volume, une tonalité. Avec une électronique aussi minimaliste, on se force à jouer des potards et de la dynamique, et finalement, la polyvalence est là. C’est fou ce qu’on peut faire avec seulement un micro. Là encore, un conseil de Loïc.
Comment sonne-t-elle ? Que fait-on avec ? C’est à son image, c’est roots, c’est brut, c’est rentre-dedans tout en étant subtil à la fois.
Branchée dans des trucs de fast-food (amplis à modélisation) pour cause d’appartement, c’est déjà très beau, mais… au détour de studios de répèt’, avec un Fender Deluxe Reverb ou un VOX AC/30, on tutoie les étoiles.
Et moi qui suis d’habitude un maniaque du gain qui met tout à 11, je découvre les joies des sons plus vraiment propres, mais pas encore très sales.
Passer du clair au crunch rien qu’à l’attaque et au volume, du brillant au doux toujours à l’attaque et à la tonalité, du bonheur !
C’est une guitare blues, rock, hard-rock, punk.
Elle est vivante, elle est unique, elle est à moi comme je suis à elle.
N.B. : Ajouter à ça que le Père Le Pape gagne vraiment à être connu.
Un type qui fait de pareils instruments, qui ne se la pète pas, et qui reste sympa… BRAVO ! Y en a qui aurait chopé le melon pour bien moins que ça !!!