Voir les autres avis sur ce produit :
PBN
« Excellente guitare »
Publié le 17/11/18 à 22:25
Rapport qualité/prix :
Excellent
Cible :
Les utilisateurs avertis
Après avoir eu une Gibson Les Paul Studio de 2008 qui était vraiment remarquable, je me suis tourné vers la Traditional 2014 à l'occasion de l'anniversaire des 120 ans Gibson et, disons-le sans ambages, des avis AF que j'ai pu lire, avis qui m'ont convaincu d'investir.
Et, d'évidence, je ne me séparerai pas de cet instrument : la lutherie tient la route, les micros sont effectivement excellents et le manche qui tendait à m'effrayer au début - une bûche me dit le vendeur - se révèle jouable à l'envi.
Elle peut convenir à bien des styles et des genres musicaux. J'apprécie son poids, sa présence donc, sa réactivité sonore, tant en timbre qu'en résonances et cette fiabilité qui fait qu'elle semble répondre au doigt, à l'oreille, au coeur.
Je l'utilise indifféremment sur un ampli Black Heart à lampes et sur un ampli keyboards Peavey avec un Digitech RP500 et un Zoom G3X : très franchement, ça sonne dans les trois occurrences, n'en déplaise aux puristes patentés qui critiquent le numérique.
C'est du roots et j’essaie de tirer partie des trois positions : chaque micro apporte quand le réglage des tonalités a ses impacts. Un travail de ciselures.
Un bien bel instrument qui mérite d'être apprivoisé. J'ai l'impression de retrouver une forme de l'esprit de ces années si créatives musicalement : 1959 et consorts.
Et, d'évidence, je ne me séparerai pas de cet instrument : la lutherie tient la route, les micros sont effectivement excellents et le manche qui tendait à m'effrayer au début - une bûche me dit le vendeur - se révèle jouable à l'envi.
Elle peut convenir à bien des styles et des genres musicaux. J'apprécie son poids, sa présence donc, sa réactivité sonore, tant en timbre qu'en résonances et cette fiabilité qui fait qu'elle semble répondre au doigt, à l'oreille, au coeur.
Je l'utilise indifféremment sur un ampli Black Heart à lampes et sur un ampli keyboards Peavey avec un Digitech RP500 et un Zoom G3X : très franchement, ça sonne dans les trois occurrences, n'en déplaise aux puristes patentés qui critiquent le numérique.
C'est du roots et j’essaie de tirer partie des trois positions : chaque micro apporte quand le réglage des tonalités a ses impacts. Un travail de ciselures.
Un bien bel instrument qui mérite d'être apprivoisé. J'ai l'impression de retrouver une forme de l'esprit de ces années si créatives musicalement : 1959 et consorts.