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Publié le 01/04/09 à 23:15
Rapport qualité/prix :
Excellent
Ibanez prestige EGEN 18 Herman Li signature. Fabriquée au Japon. Manche plat 24 cases en érable/noyer ; touche en palissandre scalopée de la 20 à 24ème case ; corps de forme strato en acajou ; table en érable flammé ; mécaniques gotoh dorées à bain d'huile ; vibrato type floyd rose flottant edge-zero d'Ibanez ; un sélecteur cinq positions ; un volume push/pull ; un potard de tonalité ; trois micros Dimarzio HLM (Herman Li Model)double/simple/double ; un seul coloris violet transparent. Petit détail esthétique en plus (ou en moins suivant le goût) le grip "Kung Fu" sur la corne supérieure faite sur les mesures de la main du maitre Li en personne.
Cette guitare représente, avec quelques autres, le haut du panier chez Ibanez. Tout est fait à la main et on a même le plaisir de découvrir le nom du luthier qui a façonné la belle.
UTILISATION
A première vue, cette guitare est faite pour les guitaristes qui veulent jouer toujours plus vite, plus fort et plus technique. Pour faire simple une gratte spécialement dédiée aux shreds metal. Eh bien, pas seulement ! C'est sûr que son manche ultra plat, ses 24 cases dont les 4 dernières sont creusées afin de ne pas se bousiller le bout des doigts sur la touche (et ça fonctionne incroyablement bien), son accès aux notes aigus déjà simple par la forme stratoïde et simplifié par une découpe à la jonction du corps et du manche laissant la place de la paume de la main, un équilibre impeccable, un poids léger (à peine 3 kilos sur la balance)et de super micros Dimarzio poussent irrémédiablement aux envolées techniques et on se prend vite pour un virtuose du métal et de la grande vitesse. Pourtant et même si le rock reste son terrain de prédilection, cette guitare est la championne de la polyvalence sonore et du super son.
SONORITÉS
Les sonorités ? ... Mais il est possible de tout jouer avec elle. Jazz, blues, pop, rock, heavy tout est possible grâce à sa configuration de micros et à un ingénieux push/pull sur le potard de volume qui permet d'obtenir 9 - oui !! j'ai bien dis 9 ! - configurations de micros et de sonorités. On peut obtenir des sonorités d'une strat ou d'une télé mais aussi bien d'une Les Paul. C'est sûr qu'au départ on s'y perd un peu avec autant de choix mais on y prend vite goût. Je n'ai pas choisie cette guitare pour autre chose que cette polyvalence sonore et je dois dire qu'après un mois d'utilisation, je ne suis absolument pas déçu.
Ma première guitare électrique est une PRS singlecut birds micros 22, les anciens modèles de cette marque, outre son poids considérable (presque 8 kilos) je trouvait que pour développer mes compos, je manquais d'amplitude dans la tonalité des micros. En effet, la différence de tonalité entre les micros est presque imperceptible et je suis obligé de retravailler le son à l'aide de mon rack d'effet (Boss GS10). Je voulait trouver une guitare à l'inverse de la PRS (à laquelle je reste profondément attaché pour sa facilité de jeux).
AVIS GLOBAL
En conclusion, j'utilise cette guitare depuis un mois et je suis loin de m'y être encore adapté. Le point "plus" de ce modèle c'est sa polyvalence phonique, j'ai été aussi bluffé par le sustain de cette guitare qui est aussi fine que du papier à cigarette (j'exagère un peu mais l'endroit du corps le plus large mesure 2cm et le plus fin moins de 1cm), par la beauté de cet instrument que je n'avais vue que sur magazine (même si j'étais un peu retissant au doré façon bling-bling des mécaniques)et par la qualité des matériaux. Le petit point "moins" de ce modèle - mais c'est un aspect personnel - c'est le manche. Il trop plat à mon goût et ne glisse pas super bien mais je dois avouer que je suis un adepte du manche rond type Les Paul et que j'ai pris de mauvaises habitudes avec la qualité du vernis passé sur le manche de ma PRS qui offre une qualité de glisse à toute épreuve. Le gros point "moins", c'est la disponibilité de cet instrument. Si vous avez la chance d'y tomber dessus dans un magasin sautez sur l'occas pour l'essayer car elle n'est que très peu distribuée en Europe et les délais d'attente peuvent être de plusieurs mois (elle est fait main). Pour ma part, j'ai eu la chance de tomber sur le représentant Ibanez dans mon magasin préféré, qui a commencé par s'arracher les cheveux quand je lui ai évoqué ce modèle car il en avait seulement trois pour le territoire et n'était pas certain qu'elles étaient encore disponibles au moment de ma commande. Par chance, je l'ai reçu la semaine suivante. Alors ne comptez pas trop l'essayer. La solution, c'est de faire un test avec une Ibanez de la série S, l'EGEN 18 à la même base excepté bien sûr les micros mais il vous sera possible de tester la forme, l'ergonomie et le manche de la guitare.
Comme tous les produits chez Ibanez, le rapport qualité/ prix est excellent. On est avec ce produit dans une gamme bien au dessus de modèles de marques d'outre Atlantique et pour un prix bien inférieur. Ça reste quand même bien cher (2200 euros) mais bon c'est du matos pro qui théoriquement doit pas bouger et qui devrait bien se revendre sur le marché de l'occas. C'est donc un investissement que je referais si c'était le cas.
Comme la perfection n'existe pas, je ne peux pas mettre un 10.
Cette guitare représente, avec quelques autres, le haut du panier chez Ibanez. Tout est fait à la main et on a même le plaisir de découvrir le nom du luthier qui a façonné la belle.
UTILISATION
A première vue, cette guitare est faite pour les guitaristes qui veulent jouer toujours plus vite, plus fort et plus technique. Pour faire simple une gratte spécialement dédiée aux shreds metal. Eh bien, pas seulement ! C'est sûr que son manche ultra plat, ses 24 cases dont les 4 dernières sont creusées afin de ne pas se bousiller le bout des doigts sur la touche (et ça fonctionne incroyablement bien), son accès aux notes aigus déjà simple par la forme stratoïde et simplifié par une découpe à la jonction du corps et du manche laissant la place de la paume de la main, un équilibre impeccable, un poids léger (à peine 3 kilos sur la balance)et de super micros Dimarzio poussent irrémédiablement aux envolées techniques et on se prend vite pour un virtuose du métal et de la grande vitesse. Pourtant et même si le rock reste son terrain de prédilection, cette guitare est la championne de la polyvalence sonore et du super son.
SONORITÉS
Les sonorités ? ... Mais il est possible de tout jouer avec elle. Jazz, blues, pop, rock, heavy tout est possible grâce à sa configuration de micros et à un ingénieux push/pull sur le potard de volume qui permet d'obtenir 9 - oui !! j'ai bien dis 9 ! - configurations de micros et de sonorités. On peut obtenir des sonorités d'une strat ou d'une télé mais aussi bien d'une Les Paul. C'est sûr qu'au départ on s'y perd un peu avec autant de choix mais on y prend vite goût. Je n'ai pas choisie cette guitare pour autre chose que cette polyvalence sonore et je dois dire qu'après un mois d'utilisation, je ne suis absolument pas déçu.
Ma première guitare électrique est une PRS singlecut birds micros 22, les anciens modèles de cette marque, outre son poids considérable (presque 8 kilos) je trouvait que pour développer mes compos, je manquais d'amplitude dans la tonalité des micros. En effet, la différence de tonalité entre les micros est presque imperceptible et je suis obligé de retravailler le son à l'aide de mon rack d'effet (Boss GS10). Je voulait trouver une guitare à l'inverse de la PRS (à laquelle je reste profondément attaché pour sa facilité de jeux).
AVIS GLOBAL
En conclusion, j'utilise cette guitare depuis un mois et je suis loin de m'y être encore adapté. Le point "plus" de ce modèle c'est sa polyvalence phonique, j'ai été aussi bluffé par le sustain de cette guitare qui est aussi fine que du papier à cigarette (j'exagère un peu mais l'endroit du corps le plus large mesure 2cm et le plus fin moins de 1cm), par la beauté de cet instrument que je n'avais vue que sur magazine (même si j'étais un peu retissant au doré façon bling-bling des mécaniques)et par la qualité des matériaux. Le petit point "moins" de ce modèle - mais c'est un aspect personnel - c'est le manche. Il trop plat à mon goût et ne glisse pas super bien mais je dois avouer que je suis un adepte du manche rond type Les Paul et que j'ai pris de mauvaises habitudes avec la qualité du vernis passé sur le manche de ma PRS qui offre une qualité de glisse à toute épreuve. Le gros point "moins", c'est la disponibilité de cet instrument. Si vous avez la chance d'y tomber dessus dans un magasin sautez sur l'occas pour l'essayer car elle n'est que très peu distribuée en Europe et les délais d'attente peuvent être de plusieurs mois (elle est fait main). Pour ma part, j'ai eu la chance de tomber sur le représentant Ibanez dans mon magasin préféré, qui a commencé par s'arracher les cheveux quand je lui ai évoqué ce modèle car il en avait seulement trois pour le territoire et n'était pas certain qu'elles étaient encore disponibles au moment de ma commande. Par chance, je l'ai reçu la semaine suivante. Alors ne comptez pas trop l'essayer. La solution, c'est de faire un test avec une Ibanez de la série S, l'EGEN 18 à la même base excepté bien sûr les micros mais il vous sera possible de tester la forme, l'ergonomie et le manche de la guitare.
Comme tous les produits chez Ibanez, le rapport qualité/ prix est excellent. On est avec ce produit dans une gamme bien au dessus de modèles de marques d'outre Atlantique et pour un prix bien inférieur. Ça reste quand même bien cher (2200 euros) mais bon c'est du matos pro qui théoriquement doit pas bouger et qui devrait bien se revendre sur le marché de l'occas. C'est donc un investissement que je referais si c'était le cas.
Comme la perfection n'existe pas, je ne peux pas mettre un 10.