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V old man on the hill « Vroum planète. »
Publié le 03/11/14 à 09:49Made in Indonesia, mon modèle est de 2009 et il est, à l'heure actuelle, entièrement d'origine.
Micros EMG 81 bridge et 85 neck (électronique soudée et non clipsée). 1 volume, une tonalité et un Switch type strat 3 positions .
24 frettes et manche traversant vernis épais noir avec binding blanc
Pas de vibrato et cordes traversant le corps.
UTILISATION
Le manche c'est pour moi l'atout numéro un de ce modèle. Les manches traversants Ibanez sont moins fins et plats que leurs cousins vissés, la couche épaisse de vernis apporte toutes proportions gardées un feeling plus "gibsonien" et l'accès total au aiguës permet de jouer toutes les notes avec un confort optimal. Ce manche traversant est extrêmement cohérent dans son profil, de l'arrondi des aiguës jusqu'au plat des graves.
Le corps est un corps de RG dans toute sa "splendeur" et le fait qu'il n'y ait pas de pickguard le rend pour ma part encore plus laid car oui, je n'aime pas cette forme.
Le dress code métal: guitare noire plus micros noir EMG est un peu trop stéréotypé pour moi.
Et si je passe sur le look de la guitare pour me concentrer sur ses réelles possibilités j'en oublie aisément son aspect.
Je viens des guitares vintages et le chemin fut long avant de délaisser toutes ses beautés des 60's, au profit du jeu pur. Notamment une sangle plus courte pour un port de l'instrument plus haut fut un véritable Everest pour moi.
SONORITÉS
Les micros EMG sont mal compris, en général, et on leur attribue des pouvoirs qu'ils n'ont pas ainsi que des carences qu'ils n'ont pas non plus. Le cliché gros du niveau de sortie "only for métal" est stupide car nombreuses électronique passives aux aimants survitaminés font largement mieux au jeu de celui qui pisse le plus loin. Et en son clair, la guitare offre de réelles possibilités de contrôle. Car moi c'est ce qui me plait chez les EMG c'est cette lisibilité d'un bout à l'autre de ma chaine sonore, en particulier avec le 81, une plus grosse impression du contrôle de mon son au travers des effets, câbles et ampli. Ce n'est que mon ressenti du moment. Néanmoins cette guitare, éventuellement, de part ses qualités acoustiques et son ergonomie pourra accueillir l'électronique passive élue de votre coeur et la trappe située à l'arrière du corps pourra servir de "cachette" pour les choses qui se cachent.
AVIS GLOBAL
C'est un modèle qui seconde mon autre Ibanez XPT700 (preuve que je me fous de la forme), elle aussi montée en EMG, mais pas d'origine contrairement à cette RGT. J'adore le vibrato sur ma Xiphos mais je voulais une seconde pelle sans! Voila tout. Je suis venu aux guitares "modernes" trop tardivement et ce n'est qu'aujourd'hui que je me rend compte à quel point le fait de jouer avec des instruments aussi subtils est une force irrésistible.
Micros EMG 81 bridge et 85 neck (électronique soudée et non clipsée). 1 volume, une tonalité et un Switch type strat 3 positions .
24 frettes et manche traversant vernis épais noir avec binding blanc
Pas de vibrato et cordes traversant le corps.
UTILISATION
Le manche c'est pour moi l'atout numéro un de ce modèle. Les manches traversants Ibanez sont moins fins et plats que leurs cousins vissés, la couche épaisse de vernis apporte toutes proportions gardées un feeling plus "gibsonien" et l'accès total au aiguës permet de jouer toutes les notes avec un confort optimal. Ce manche traversant est extrêmement cohérent dans son profil, de l'arrondi des aiguës jusqu'au plat des graves.
Le corps est un corps de RG dans toute sa "splendeur" et le fait qu'il n'y ait pas de pickguard le rend pour ma part encore plus laid car oui, je n'aime pas cette forme.
Le dress code métal: guitare noire plus micros noir EMG est un peu trop stéréotypé pour moi.
Et si je passe sur le look de la guitare pour me concentrer sur ses réelles possibilités j'en oublie aisément son aspect.
Je viens des guitares vintages et le chemin fut long avant de délaisser toutes ses beautés des 60's, au profit du jeu pur. Notamment une sangle plus courte pour un port de l'instrument plus haut fut un véritable Everest pour moi.
SONORITÉS
Les micros EMG sont mal compris, en général, et on leur attribue des pouvoirs qu'ils n'ont pas ainsi que des carences qu'ils n'ont pas non plus. Le cliché gros du niveau de sortie "only for métal" est stupide car nombreuses électronique passives aux aimants survitaminés font largement mieux au jeu de celui qui pisse le plus loin. Et en son clair, la guitare offre de réelles possibilités de contrôle. Car moi c'est ce qui me plait chez les EMG c'est cette lisibilité d'un bout à l'autre de ma chaine sonore, en particulier avec le 81, une plus grosse impression du contrôle de mon son au travers des effets, câbles et ampli. Ce n'est que mon ressenti du moment. Néanmoins cette guitare, éventuellement, de part ses qualités acoustiques et son ergonomie pourra accueillir l'électronique passive élue de votre coeur et la trappe située à l'arrière du corps pourra servir de "cachette" pour les choses qui se cachent.
AVIS GLOBAL
C'est un modèle qui seconde mon autre Ibanez XPT700 (preuve que je me fous de la forme), elle aussi montée en EMG, mais pas d'origine contrairement à cette RGT. J'adore le vibrato sur ma Xiphos mais je voulais une seconde pelle sans! Voila tout. Je suis venu aux guitares "modernes" trop tardivement et ce n'est qu'aujourd'hui que je me rend compte à quel point le fait de jouer avec des instruments aussi subtils est une force irrésistible.