Compo de Les compos inspirées dans le style Inclassable, issue de l'album Saison 3
Bon traitement des sons. Il y a un contraste bien choisi et réalisé dans les sons et les mélodies, début oppressant suivi d'une montée qui relance une dernière partie
On ressent bien un côté lourd et oppressant , la montée à 1:38 relance bien le morceau. J'aime moins le son des drums résonnants vers la fin (2:31) question de goût et le panoramique de la fin ne m'est pas très agréable au casque (3:00). Ce sont des détails par rapport à l'ensemble du morceau.
Le morceau est sympa et très rythmé avec d'excellentes parties de BAR
le mix apparait bien clair. Le morceau propose une progression tout le long et on ne s'ennuie pas une seconde.
Alors j'ai eu du mal à me détacher du film le Cinquième élément que ce morceau m'a rappelé pour une bonne partie. J'avais adoré la BO, et là je me suis retrouvée projetée dans différentes scènes du film. Donc l'orage n'était pas là pour moi hormis qd j'ai tourbillonné à la fin emportée dans l’œil du cyclone.
Bien :
A 1:34 , bien vu l’utilisation de la stéréo, bonne intégration de la boite à rythme, la réverbe est bien utilisée.
A 2:15, les niveaux sont bons entre la rythmique et le reste.
Globalement, c’est un bon mix.
Moins bien :
A 1:15, le son type frappe tambour sonne très plastique.
Jusqu’à 2min, le background manque de volume face à la boite à rythme
J’ai été surpris du changement à 1:40, c’est bien vu. L’utilisation des violons est très MIDI on/off.
A 0:55, j’aurai laissé les violoncelles sur la même note avec plus de travail sur leur réalisme, la nappe suffisant à la variation.
La stéréo à la fin arrive un peu brutalement pour un orage qui s’en va au loin.
Beaucoup de son vintage la dedans, la compo aussi.
Sur la longueur, bonne suite d’idées et de plans. C’est bien mixé.
Globalement, le son est de qualité. En ce qui concerne les critiques sur les cordes, le défaut s'il y a est davantage dans l'orchestration que dans la qualité du sample (on sent le clavier en fait). Malgré ce bémol, le morceau est bien construit et le choix des instruments est pour moi judicieux et bien amené.
C'est de qualité. On est pris par l'impulsion rythmique du morceau et les variations dans l'orchestration avec ces quelques touches de sound design flattent les oreilles et embarquent l'auditeur.
Les sons s’entremêlent bien, le timbre des cordes ou de la guitare ne m'a pas dérangé (j'aurais tout de même mis plus de délai et réverbe sur la guitare pour qu'elle soit plus au fond).
Bonne dynamique d'ensemble, le mix est bien. Même si j'aurais fait d'autres choix sur l'égalisation de certains instruments (surtout sur les médiums).
La première partie monte lentement pour donner place à un rythme bien cadencé (d'ailleurs sur cette partie, il manque la grosse synth basse bien péchue car là je trouve qu'il manque un truc, je perçois une basse dans les graves mais elle est trop discrète à mon goût, pas assez mise en valeur avec ce son).
Le pan à la fin m'a un peu donné le tourni (écouté au casque).
Sinon, j'ai bien aimé. C'est du bon boulot.
Un très bon travail sur les timbres, ils sont diversifiés, contrastent bien et bien mixés ensemble.
Cependant je n'aime pas trop le son des cordes, manque d'ampleur et d'articulation. Même remarque pour la guitare, il aurait été intéressant qu'elle paraisse plus loin.
Certains son percussifs assez spéciaux j'apprecie assez.
Je préfère la 1ere partie, les 2 parties sont très différentes au niveau des sonorités, il y a un contraste intéressant mais à mon goût tout ne va pas forcément bien ensemble.
Sinon globalement l'ambiance correspond plutot bien au thème
Pas d'erreur de jeu. La qualité sonore est là, même si je ne suis pas très fan des sons de cordes et de guitare.
Le mix ne m'a pas gêné, mais j'aurais plus centré par moments. La structure se tient très bien, bon équilibre, je trouve.
J'ai apprécié la première partie (cette annonce menaçante), jusqu'à 1.38, en adéquation avec le sujet.
Je suis plus mitigé quant à la seconde. Celle-ci m'a plus évoqué un dérèglement corporel qu'un orage supercellulaire (subjectivité...). Après, on peut toujours établir un parallèle.
Une certaine recherche cependant.