Compo de Les compos inspirées dans le style Vos Compos Inclassable, issue de l'album Saison 6
Inventory ‘63-’69-’75
Oh Baby can you tell me where my country lies ? >>(1)
Cos’ I’ve been waiting here for so so long, >>(2)
So the path is clear oh ! here am I >>(3)
Along the forest road (for rest road). >>(4)
I need you to tell me my life is about to begin. >>(5)
And I’m hovering like a fly waiting for the windshield on a freeway. >>(6)
Walking across the sitting room, >>(7)
I feel your body melt, babe. >>(8)
With your guardian eyes so blue, >>(8)
Play me my song... Touch me, touch me now ! >>(2)
Wrapped up in some powdered wool, I guess I’m losing touch. >>(9)
I got sunshine in my stomach, >>(10)
And I’m counting out time. >>(11)
Looking for someone, I guess I’m doing that ! >>(12)
While my guitar gently weeps,
Michelle I wanna be your man.
She’s leaving home, the night before.
Tomorrow never knows.
You never give me your money…
Oh Darling, I’m a loser (flower) ! >>(13)
A flower ? >>(14)
How do you feel, how do you feel ? >>(15)
I’ve been mad for fucking years, absolutely years. >>(16)
Breathe in the air ! >>(17)
English ribs of beef cut down to 47 pence a pound.
Peek freans family assorted from 17 1/2 to 12… >>(18)
Paroles en hommage à Genesis, The Beatles et Pink Floyd (thanks for all, guys !). Musique en hommage à Anthony Philips, Steve Hackett, Robert Fripp (et beaucoup d’autres, moins consciemment).
Détails :
(1) : Genesis > Selling England by the Pound (1973) : Dancing With The Moonlit Knight.
(2) : Genesis > Nursery Cryme (1971) : The Musical Box.
(3) : Genesis > Selling England by the Pound (1973) : Firth Of Fifth + More Fool Me.
(4) : Genesis > Selling England by the Pound (1973) : The Battle Of Epping Forest.
(5) : Genesis > Trespass (1970) : The knife.
(6) : Genesis > The Lamb Lies Down on Broadway (1974) : Fly On A Windshield.
(7) : Genesis > Foxtrot (1972) : Supper's Ready - I. Lovers' Leap.
(8) : Genesis > Foxtrot (1972) : Supper's Ready - V. Willow Farm.
(9) : Genesis > The Lamb Lies Down on Broadway (1974) : Cuckoo Cocoon.
(10) : Genesis > The Lamb Lies Down on Broadway (1974) : In The Cage.
(11) : Genesis > The Lamb Lies Down on Broadway (1974) : I’m counting out time.
(12) : Genesis > Trespass (1970) : Looking For Someone.
(13) : The Beatles > Suite de titres de morceaux datant de (dans l’ordre) 1968, 1967, 1963, 1967, 1965, 1966, 1969, 1969, 1965.
(14) : Genesis > Foxtrot (1972) : Supper's Ready - IV. How Dare I Be So Beautiful ?
(15) : Pink Floyd > Atom Heart Mother (1970) : Summer of 68.
(16) : Pink Floyd > The Dark Side of the Moon (1973) : Speak to me.
(17) : Pink Floyd > The Dark Side of the Moon (1973) : Breathe.
(18) : Genesis > Selling England by the Pound (1973) : Aisle Of Plenty.
C'est très bien foutu, très joliment et finement écrit, mixé avec raffinement et interprété avec talent : que demande le peuple ! J'ai apprécié aussi les voix pas formatées, et avec du souffle (au sens où elles sont fortes d'émotions). Je salue en sus la virtuosité de la composition, c'est vraiment un chouette boulot.
Bon, pour expliquer le titre de mon commentaire : mon inculture musicale m'empêche de relever la moindre de vos références. Un jour je m'achèterai une culture.
En attendant, en ne jugeant le titre que sur ce que je pouvais juger (pour moi une composition intégrale sans clins d’œils), je trouve ça tout bonnement génial. Pour le prendre à l'envers, je crois que mon moment préféré c'est la fin, non pas parce que ça termine (on en écouterait des jours), mais parce que c'est splendide.
Vraiment, une composition immersive, forte en émotions et un délice pour les oreilles : bravo !
On pourrait en écouter comme ça pendant encore plus longtemps - toujours avec autant de plaisir, tellement c'est du bel ouvrage... du travail d'orfèvre, que dis-je, de virtuose de l'orfèvrerie !
(Je n'ai même pas essayé de deviner qui c'est qui qui du quizz... trop inculte suis-je.)
Ceci dit, pour en revenir à votre boulot... c'est tellement démonstratif de vos grandes, grandes capacités (vous êtes deux, non ?) et vraiment vous êtes des bons ! non ? - que ça me fait regretter que vous n'ayez pas proposé ici un truc plus... personnel.
Enfin, moi, ce que j'en dis... C'est vous qui voyez.
Sur le mix : bizarrement, alors que les différents instruments sont bien différenciés, le mix apparait pourtant tout étriqué, comme s'il était très resserré vers les médiums et aigus.
La voix est tjrs un peu en poil limite de justesse sans que cela soit néanmoins rédhibitoire à l'écoute.
La structure est très travaillée, très bien menée! Le fondu de fin arrive un peu vite.
Il se passe bcp de choses, dommage que le mix ne rende pas pleinement hommage au boulot réalisé !
Je trouve que le morceau a une dimension opéra rock et avec un petit plus sur le rendu technique, ça sortirait vraiment très bien ! J'ai trouvé l'ensemble original et bien construit dans le déroulé !
On va y aller Franco :
A02" : j'adore les guitares, ça commence bien ! A 2'18" aussi. A 1'35" et 2'40", j'aime les descentes. A 1'38" j'aime la remontée soft, tout en douceur sans heurt ni violence, ce qui correspond bien à l'époque " Peace and love ". Même si la photo est violente, ceux qu'on y voit dessus semblent plutôt paumés, comme écrasés et largués; ce qui peut se comprendre.
A 3'22", je salue la bonne idée de faire une voix comme à cette tranche de l'histoire; John, George, Paul et Ringo auraient apprécié je crois.
L'aigu me semble un peu surligné(à 1'29" ,2'30", 3'23" par ex), ne me dérange pas; en tout cas il est beau et propre, jamais acide, bien au contraire. Je n'enlève pas 1 étoile pour ça.
Le mix semble bien équilibré, aucun défaut ne vient perturber l'écoute = très bon job ! Si on tient compte de la volonté de vouloir recréer (en partie) les sonorités de cette époque.
Bravo les musicos !
La voix principale et l'arrière, le chant en général, les paroles, tout ça me semble très bien fait. En tout cas, je reconnais bien l'esprit Beatles, the Wings ou autres groupes de l'époque.
Très bien vu d'avoir mis le mot " Flower " à l'époque ou même les autos et minis vans étaient recouverts de flowers en plus du papier peint et même les jupes des filles, mais pas sur les kilts des mens d'outre manche !
Rapport à l'image : il faut imaginer un scénario. Soit on entre dans la tristesse du tableau, soit on veut se battre et reconstruire son patrimoine, reprendre et ré-habiller cette terre en pleine désolation. Ici, j'entends en musique plutôt la 1ère option.
Très bonne idée que cet inventaire de 63' à 75'. Encore bravo !