Baden plays Vinicius (dernier album de Baden Powell)
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indeson.com
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Anonyme
Citation : En septembre 2000 Baden Powell, THE guitariste de la musique brésilienne nous quittait, quelques mois auparavant il avait enregistré huit morceaux instrumentaux joués en solo tous issus son tandem avec Vinicius de Moraes. Baden à la composition et Vinicius aux paroles : deux alliés décalés de la scène bossa des années 60 à 80 non seulement à Rio mais aussi à Paris pendant l’exil. Hors sujet : ne l'acheter pas , vous n'aller rien apprecier , vous etes trop con , on donne pas de la confiture à des cochons Hors sujet : .c'est pas gagner de parler culture , nom de diou Hors sujet : l'auteur a compris baden toujours ! c'est un bon celui là Hors sujet : il y en a certain avec leurs 3 neurones , trouvent deja trop compliqué cette musique , alors baden !
Il faut écouter ce CD
Un son idéal qui permet d’apprécier sans limite toute la sensibilité du touché, le rythme et les harmonies qui font de la choro cancao le must de la production made in Brazil
Elle est présente dans chaque accord, à chaque mesure dans des rythmes samba, bossa ou afro et dans des phrasés explorant les limites de la « saudade », mélancolie brésilienne si bien exprimée par son contemporain Jobim.
Un mélange constant de tradition et d’imagination très loin, très très loin du tropicalisme vulgaire où la bossa recyclée en musique d’ascenseur servis si abondamment pendant l’année du Brésil.
Obrigado Baden.
c'est plus accrocheur comme cela !
Dom Janvier
Colombo
La présentation du disque est alléchante
Hors sujet : A l'auteur de l'article, pour l'amour de Dieu, signe "Baden do Brasil" et vire moi ce Z qui est à lui seul le symbole de l'impérialisme Américain et de sa volonté d'hégémonie culturelle 
Dom Janvier
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