Citation : C’est clair qu’à l’époque on avait pas accès à l’ordinateur chez soi, donc en général il y avait une qualité qui sortait des studios plutôt irréprochable, et l’ingé de mastering écoutait donc vraiment au demi décibel le vrai travail des machines utilisées, c’étaient vraiment des poils de couilles, un petit vernis, et c’était suffisant car le son était bien a la base. Maintenant c’est vrai qu’un peu tout le monde se déclare ingé-son, et du coup au master on a dix fois plus de travail