Arturia iMini

CONTEXTE

J’utilise ce logiciel sur un iPad air 64 go, en tandem avec Cubasis, pour des maquettes de morceaux. Je réalise principalement des sons de basse avec.

UTILISATION

En programmation, le logiciel est simple et intuitif à utiliser. Les imprécisions inhérentes à l'utilisation d'un écran tactile sont habilelent résolues par un système de réglage plus précis quand on presse longuement un potard.

Dites-donc, messieurs les programmeurs d'Arturia, ça vous dirait de sauvegarder les réglages MIDI qu'on fait une fois pour toutes ? Non, parce que les refaire à CHAQUE ouverture d'iMini pour éviter qu'il se retrouve piloté par le clavier d'un autre synthé ouvert et qu'il reçoive intempestivement des événements MIDI à la con, ça devient assez vite pénible.

Peut occasionnellement planter si utilisé avec beaucoup d'apps audio en simultané.

FONCTIONNALITES / SON

Les possibilités de programmation sont les mêmes que celles d'un minimoog ancienne génération : 3 oscillateurs + bruit blanc/rose, 1 filtre résonnant, 2 enveloppes ADS (filtre et amp).

Arturia a joint 2 effets aux réglages relativement restreints mais de bonne qualité (1 chorus et 1 delay)

Je trouve le son sympa, tout de même étonnant pour une tablette, et dans l'esprit d'un minimoog. Ne vous attendez tout de même pas à la même clarté ni à la même profondeur de son que son grand frère pour PC/MAC, et encore moins que celles d'un vrai. Il fera tout à fait le job pour des maquettes de morceaux, mais devra être traité de manière importante ou carrément remplacé pour des pistes defs.

CONCLUSION

Un bon synthé virtuel d'iPad. Les inconvénients que je cite ici sont valables pour un bon nombre des synthés virtuels existants à ce jour sur ios, j'en ai quelques uns ... (Thor, Nave, Sylenth, et autres ). Bref, à avoir dans votre arsenal si vous voulez choisir 2 ou 3 bons synthés à emporter dans votre tablette Apple.