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Sujet Vivre en fonction de ce que pensent les autres.

  • 22 réponses
  • 3 participants
  • 306 vues
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Sujet de la discussion Vivre en fonction de ce que pensent les autres.
Développement de l'empathie et de la perspicacité à discerner les émotions des proches ou éducation à l'ancienne pour se pourrir la vie ?

Je m'occupe du goût du public : je lutte contre (Oscar Wilde)

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:smiley qui baille:
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Fais pas ton modo Takis

Je m'occupe du goût du public : je lutte contre (Oscar Wilde)

4
Tiens bonne idée ca, je vais postuler. :bravo:
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Bon, pour ce topic, je vais prendre ta réponse pour la solution 2.

Je m'occupe du goût du public : je lutte contre (Oscar Wilde)

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:ouuuh qu'il est fatigué ce smiley:
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Rien qu'en voyant le titre du thread, je savais que c'était toi qui l'avait créé :bravo:
Voila ce que j'en pense de toi, essaye de vivre en fonction. :|

https://lucasparax.bandcamp.com

https://disquesobscurs.fr/

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:mdr: Joli !

Je m'occupe du goût du public : je lutte contre (Oscar Wilde)

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L’empathie est l’application d’une distance affective toute relative qui ne dois servir qu’a ajuster son discernement à un instant T. Vivre a travers le regard des autres revient à user ses outils d’analyse et a perdre tout sens de l’autocritique, avec le risque d’y laisser des plumes d’un point de vue identitaire.

La perspicacité s’aborde comme un travail d’acuité sensitive, et ne doit en aucun cas devenir la fonction prégnante du Moi. J’entend par la que si l’ouverture et l’écoute demande un effort quotidien, elle ne doit pas faire l’objet d’un travail sur soi qui anihilerait tout le coté spontané qui lui est propre.

Quant a l’éducation « a l’ancienne », elle est de toute façon inévitable dans le sens où la relation trans-générationnelle se nourrit de ses propres racines. Elle doit elle aussi faire l’objet d’un disctanciation afin de permettre que la coutume ne prenne pas le pas sur nos aspiration a évoluer (faits constatés dans certains pays conservateurs) .

Se pourrir la vie a toujours été le propre de l’homme, déversant sa haine contre lui même et les autres pour contre balancer les efforts insensés qu’il fait en terme d’amélioration du quotidien. C’est la loi que dicte la nature pour freiner notre évolution et nous maintenir au rang d’animaux malgré notre sens social. Voilà comment je vois les choses.
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