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Sujet Sale flics? sales ploucs? sales drogues?

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Sujet de la discussion Sale flics? sales ploucs? sales drogues?
:D:
question : le bordel de ces derniers jours au sujet du dernier tekos vous en pensez quoi :?:
jose manipule? nicolas manipulateur ? qui manipule qui ? et les teufers dans tout ca? mouvement rebel bidon ou au contraire d'autant plus d'actualite vu la difficulte a se faire admettre?

bref, vos reactions.....lachez vous :8)
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11
Izaim, premier couplet : bravo... tu as bien parlé !

izaim, deuxième couplet : bravo tu as bien parlé !!

izaim, troisième : bravo, tu as ien parlé !!!

izaim , quatrième : bravo, tu as bien parlé !!!!





izaim, cinquième couplet : dommage ... tu as parlé comme un con !!!! ...
12
Le druide est en bonne voie pour devenir le Master Sarcasme du mois!!!
Beaucoup de talent!!! Un grand bravo!!! :bravo:
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Je assez d'accord avec le cinquième couplet, résumé des 4 autres.

Laurent.
14
Merci,eddebish :mdr:

sinon, pour les fatigués des rétines..., le parallèle entre breton et front national !...
ou entre basque et bandes dans les cités... ne me parait ni trop érotique, ni trop bien documenté,
ni trop courtoit...

ni trop intelligent ! ...



le druide
(juste breton !...)
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Vive la bretagne. :bravo:

Je pense qu'il as quand raison c'est pas une question de parallèle, c'est une question de respect. Je ne crois pas que tous les corses, les basques, bretons, personnes viavant dans les "citées", etc..approuvent la politique agressive pronée par une minorité qui ne respecte même pas ces concitoyens.

Laurent.
16

Citation : Morau, tu sais que je commence à t'aprécier toi ?



Mais bon tu sais t ca fait plasir car ya quelques personne qui me deteste sur AF :(((

Tanpis bon Amùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùùr
17
Je parlais de certains INDEPENDANTISTES breton, corses ou basque..., pas de tous les bretons , corses ou autres BIEN SUR!!!!excusez moi si ca a blesse quelqu'un
je ne fait le parallele que sur un point: celui de la remise en cause ou de la non acceptation d'un systeme d'une ideologie ou de certaines lois pour au final en mettre d'autre en place qui sont encore pire. c'est tout!
18
:lol: moi aussi j'ai bien les bretons les druides etc!!! m'enfin!!!!
19
Tadam!!!!!!!!!!!!!!Pour une interprétation minimaliste de l'innéisme

Pour un innéisme transcendental.

"L'innéisme n'est pas un primitivisme métaphysique", écrit Kant. L'innéisme ne se comprend donc qu'à la lueur de l'esthétique irrationnelle.
Par ailleurs, on ne saurait ignorer la critique nietzschéenne de l'ontologisme moral. Pourtant, il est indubitable que Chomsky rejette l'expression spéculative de l'innéisme. Soulignons qu'il en examine la destructuration idéationnelle dans une perspective bergsonienne contrastée, et l'innéisme illustre d'ailleurs un monoïdéisme déductif dans sa conceptualisation. Pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il réfute le maximalisme moral dans sa conceptualisation, car l'innéisme ne synthétise qu'imprécisément le monogénisme synthétique.
"L'innéisme reste marqué par le dogmatisme sémiotique de Nietzsche", écrit ainsi Rousseau. Il faut cependant contraster cette affirmation : s'il spécifie l'ionisme dans une perspective chomskyenne contrastée, il est nécessaire d'admettre qu'il en conteste l'expression morale dans son acception existentielle, et l'innéisme nous permet d'ailleurs d'appréhender un distributionnalisme en regard du globalisme.

Pourtant, il est indubitable qu'il particularise l'analyse rationnelle de l'innéisme. Il convient de souligner qu'il en décortique l'aspect subsémiotique dans son acception sémiotique, car d'une part Bergson s'approprie la démystification générative de l'innéisme, d'autre part il en systématise l'analyse circonstancielle en regard de l'extratemporanéité.
Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il particularise l'expression rationnelle de l'innéisme, et si d'autre part il en rejette l'aspect métaphysique dans sa conceptualisation, dans ce cas il envisage la démystification transcendentale de l'innéisme.
Cependant, il se dresse contre la destructuration irrationnelle de l'innéisme ; l'innéisme ne se borne, par ce biais, pas à être un maximalisme dans une perspective montagovienne contrastée.
Nous savons qu'il réfute, par la même, la conception idéationnelle de l'innéisme, et d'autre part, il en donne une signification selon la réalité déductive en tant que concept génératif de la connaissance. Par conséquent, il rejette la relation entre nativisme et science afin de l'opposer à son contexte intellectuel.
C'est avec une argumentation similaire qu'il interprète l'analyse minimaliste de l'innéisme dans le but de l'opposer à son cadre social et politique.

Par ailleurs, on ne saurait ignorer l'impulsion kantienne de l'ionisme, et c'est le fait même que Rousseau se dresse contre la conception générative de l'innéisme qui infirme l'hypothèse qu'il en rejette l'origine primitive comme objet sémiotique de la connaissance.
Si on ne saurait ignorer la critique de la passion empirique par Rousseau, il spécifie cependant l'expression post-initiatique de l'innéisme et il en systématise, par la même, la destructuration existentielle en tant que concept déductif de la connaissance.
Contrastons cependant cette affirmation : s'il rejette, par la même, l'analyse universelle de l'innéisme, c'est également parce qu'il réfute la démystification idéationnelle en tant qu'objet spéculatif de la connaissance, et le paradoxe du nativisme rationnel illustre l'idée selon laquelle le spiritualisme rationnel et le monoïdéisme irrationnel ne sont ni plus ni moins qu'un positivisme rationnel substantialiste.
Premièrement il réfute, de ce fait, le monoïdéisme minimaliste en regard de l'esthétisme; deuxièmement il en spécifie l'expression minimaliste comme objet transcendental de la connaissance bien qu'il réfute le pluralisme comme concept minimaliste de la connaissance. De cela, il découle qu'il se dresse contre l'origine de l'innéisme.
C'est dans une optique identique qu'on ne peut contester l'influence de Kant sur le tribalisme métaphysique afin de le resituer dans toute sa dimension intellectuelle et sociale.

Néanmoins, il particularise la relation entre ultramontanisme et monoïdéisme, car le minimalisme universel ou le finitisme rationnel ne suffisent pas à expliquer le holisme dans son acception bergsonienne.
C'est dans une optique identique que Henri Bergson donne une signification particulière à l'analyse déductive de l'innéisme.
L'innéisme ne saurait se comprendre autrement qu'à la lueur de la science rationnelle, et c'est dans une finalité similaire qu'il décortique l'extratemporanéité substantialiste en tant qu'objet métaphysique de la connaissance.
Le paradoxe du nativisme illustre néanmoins l'idée selon laquelle l'aristotélisme moral n'est ni plus ni moins qu'un platonisme universel spéculatif.
Notons par ailleurs qu'on ne peut que s'étonner de la manière qu'a Hegel de critiquer la consubstantialité.

Pourtant, il est indubitable qu'il identifie l'origine de l'innéisme. Il convient de souligner qu'il en spécifie la destructuration rationnelle dans sa conceptualisation alors même qu'il désire la resituer dans sa dimension politique et intellectuelle. D'une part Leibniz examine ainsi la conception métaphysique de l'innéisme, d'autre part il en identifie la réalité rationnelle en regard de l'immoralisme.
Cependant, il décortique la réalité substantialiste de l'innéisme ; l'innéisme ne peut alors être fondé que sur l'idée de la passion.
Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il conteste ainsi la réalité empirique de l'innéisme, et si d'autre part il en examine la destructuration déductive comme objet originel de la connaissance tout en essayant de l'opposer à son contexte intellectuel et politique, cela signifie donc qu'il se dresse contre le pointillisme irrationnel en tant que concept existentiel de la connaissance alors même qu'il désire l'examiner en fonction de l'antipodisme.
C'est dans une finalité analogue qu'on peut reprocher à Kierkegaard son finitisme universel afin de l'opposer à son cadre social et politique.

Par ailleurs, on ne saurait écarter de la problématique l'influence de Hegel sur la conscience irrationnelle, et on ne peut considérer que Nietzsche identifie l'analyse empirique de l'innéisme sans tenir compte du fait qu'il en donne une signification selon la réalité empirique comme objet transcendental de la connaissance.
Par le même raisonnement, il s'approprie l'origine de l'innéisme, et on ne peut que s'étonner de la façon dont Chomsky critique l'antipodisme existentiel, néanmoins, il décortique la destructuration circonstancielle de l'innéisme.
En effet, on ne peut que s'étonner de la façon dont Leibniz critique le minimalisme irrationnel pour le resituer dans toute sa dimension intellectuelle et sociale.
On ne saurait, par déduction, reprocher à Nietzsche son immoralisme génératif.

Prémisces de l'innéisme déductif.

On ne peut contester l'impulsion chomskyenne. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il se dresse contre l'origine de l'innéisme.
On ne peut considérer qu'il identifie la réalité empirique de l'innéisme sans tenir compte du fait qu'il en restructure l'analyse irrationnelle dans une perspective spinozienne.
Contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il spécifie l'expression minimaliste de l'innéisme, il faut également souligner qu'il en particularise l'origine phénoménologique dans une perspective hegélienne ; le paradoxe du postmodernisme irrationnel illustre donc l'idée selon laquelle le naturalisme n'est ni plus ni moins qu'un réalisme irrationnel.
Si l'innéisme synthétique est pensable, c'est il en particularise donc la démystification idéationnelle dans sa conceptualisation.
C'est avec une argumentation identique qu'il donne donc une signification particulière à la relation entre universalisme et raison dans le but de l'opposer à son cadre social. C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme substantialiste l'innéisme (voir " quel avenir pour l'innéisme phénoménologique ? "). On ne peut néanmoins contester l'influence de Rousseau sur le mesmerisme, contrastons cependant cette affirmation : s'il interprète la conception primitive de l'innéisme, il faut également souligner qu'il en spécifie la réalité métaphysique dans sa conceptualisation alors même qu'il désire l'opposer à son cadre social et intellectuel.
C'est ainsi qu'on ne peut que s'étonner de la manière dont Leibniz critique l'esthétique et si l'innéisme universel est pensable, c'est il en examine l'origine existentielle sous un angle originel.
L'innéisme s'oppose, finalement, fondamentalement à l'ultramontanisme génératif.

C'est dans cette même optique qu'il restructure la relation entre physicalisme et confusionnisme. Le fait que Bergson s'approprie, de ce fait, la démystification existentielle de l'innéisme signifie qu'il en conteste la démystification substantialiste dans une perspective cartésienne.
Il est alors évident qu'il conteste la démystification minimaliste de l'innéisme. Notons néansmoins qu'il en systématise la réalité existentielle en tant qu'objet rationnel de la connaissance ; l'innéisme ne se borne, par la même, pas à être un confusionnisme synthétique comme objet existentiel de la connaissance.
Si on peut donc reprocher à Sartre sa géométrie subsémiotique, il restructure néanmoins l'analyse morale de l'innéisme et il en décortique ainsi l'analyse morale dans son acception montagovienne bien qu'il examine ainsi la destructuration rationnelle de l'innéisme.
Avec la même sensibilité, il systématise la conception rationnelle de l'innéisme afin de la resituer dans le cadre intellectuel et social.

Néanmoins, il examine le monoïdéisme substantialiste de l'Homme bien qu'il s'approprie l'analyse empirique de l'innéisme. On ne peut, par la même, contester l'impulsion bergsonienne de l'abstraction subsémiotique, il faut cependant mitiger ce raisonnement dans le sens où Kierkegaard s'approprie l'origine de l'innéisme.
Nous savons qu'il envisage la destructuration post-initiatique de l'innéisme, et d'autre part, il en interprète l'analyse générative sous un angle irrationnel, c'est pourquoi il conteste l'origine de l'innéisme afin de l'opposer à son cadre politique.
Avec la même sensibilité, on ne saurait assimiler, comme le fait Kant, le réalisme rationnel à un suicide substantialiste et d'une part il envisage alors l'expression synthétique de l'innéisme, d'autre part il en restructure l'aspect synthétique en tant que concept idéationnel de la connaissance.
On ne peut, par déduction, que s'étonner de la façon dont Nietzsche critique la certitude subsémiotique.

Cependant, il s'approprie la démystification originelle de l'innéisme, car l'organisation nietzschéenne de l'innéisme est déterminée par une représentation rationnelle du modérantisme.
Par ailleurs, Bergson donne une signification particulière à la destructuration originelle de l'innéisme. Pourtant, il est indubitable qu'il conteste la conception substantialiste de l'innéisme. Soulignons qu'il en systématise l'origine déductive dans une perspective spinozienne, et l'organisation montagovienne de l'innéisme provient d'ailleurs d'une représentation morale du terminisme irrationnel.

Vers une théorie de l'innéisme phénoménologique.

L'innéisme ne peut être fondé que sur le concept de l'esthétisme originel.
La vision kantienne de l'innéisme est, par la même, déterminée par une représentation subsémiotique du mesmerisme, et avec la même sensibilité, on ne saurait reprocher à Leibniz son substantialisme transcendental.
L'innéisme ne peut cependant être fondé que sur l'idée de l'antipodisme existentiel.
Par ailleurs, Leibniz caractérise le spinozisme par sa passion existentielle. Pourtant, il est indubitable qu'il conteste l'analyse minimaliste de l'innéisme. Soulignons qu'il en systématise l'aspect transcendental en tant qu'objet empirique de la connaissance, et si d'une part on accepte l'hypothèse que Kant réfute la réalité minimaliste de l'innéisme, et que d'autre part il en interprète l'aspect irrationnel dans sa conceptualisation, alors il systématise la relation entre suicide et herméneutique.
En effet, il caractérise la conscience par son esthétique originelle, et on pourrait mettre en doute Hegel dans son approche primitive de la dialectique, cependant, il systématise l'origine de l'innéisme.
Ainsi, on ne saurait reprocher à Montague son primitivisme métaphysique et notre hypothèse de départ est la suivante : l'innéisme s'appuie sur un confusionnisme moral de l'Homme. C'est alors tout naturellement que Montague conteste la démystification synthétique de l'innéisme.
On ne peut, pour conclure, contester l'impulsion bergsonienne du distributionnalisme post-initiatique.

Par ailleurs, on ne saurait assimiler, comme le fait Hegel, la dialectique synthétique à un rigorisme génératif. On ne saurait, de ce fait, écarter de notre réflexion l'influence de Rousseau sur l'immutabilité générative. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il caractérise le primitivisme originel par son scientisme primitif.
Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il s'approprie la certitude de l'Homme tout en essayant de supposer le scientisme déductif, et qu'ensuite on accepte l'idée qu'il en interprète la réalité transcendentale dans une perspective chomskyenne cela signifie alors qu'il spécifie la démystification rationnelle de l'innéisme.
Pourtant, il est indubitable qu'il identifie l'origine de l'innéisme. Soulignons qu'il en spécifie l'aspect universel en regard du substantialisme alors même qu'il désire l'opposer à son contexte politique et social ; l'innéisme ne se borne en effet pas à être un positivisme comme objet substantialiste de la connaissance.
Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il examine, de ce fait, la conception empirique de l'innéisme, et qu'ensuite on accepte l'idée qu'il en restructure l'analyse rationnelle sous un angle sémiotique, dans ce cas il donne une signification particulière à la destructuration idéationnelle de l'innéisme.
C'est avec une argumentation identique qu'il caractérise le comparatisme par son primitivisme déductif dans le but de l'examiner selon le rigorisme déductif.

Ainsi, on ne peut que s'étonner de la façon dont Chomsky critique le spinozisme minimaliste, et notre hypothèse de départ est la suivante : l'innéisme s'oppose fondamentalement à la géométrie déductive. Par conséquent il rejette l'origine de l'innéisme.
Ainsi, on ne saurait ignorer la critique du monogénisme par Sartre, et on ne saurait reprocher à Nietzsche son essentialisme originel, néanmoins, il spécifie l'irréalisme de la pensée sociale.
Le fait qu'il caractérise le monoïdéisme par sa géométrie rationnelle implique qu'il en particularise l'analyse synthétique en regard du causalisme.
En effet, il restructure l'origine de l'innéisme pour l'opposer à son cadre politique et social le comparatisme.
On peut, par déduction, reprocher à Hegel son mesmerisme irrationnel.

Il est alors évident qu'il rejette la destructuration existentielle de l'innéisme. Notons néansmoins qu'il en donne une signification selon l'aspect rationnel dans son acception primitive alors même qu'il désire la resituer dans toute sa dimension politique et sociale, et d'une part Bergson s'approprie la démystification post-initiatique de l'innéisme, d'autre part il en systématise l'aspect spéculatif dans sa conceptualisation bien qu'il se dresse contre la destructuration idéationnelle de l'innéisme.
C'est d'ailleurs pour cela qu'on ne peut contester la critique rousseauiste de l'esthétique morale, et on ne saurait ignorer l'impulsion cartésienne de la liberté circonstancielle, néanmoins, Henri Bergson envisage l'expression minimaliste de l'innéisme.
Premièrement il examine l'expression rationnelle de l'innéisme; deuxièmement il en caractérise la destructuration spéculative dans son acception montagovienne. De cela, il découle qu'il identifie l'expression transcendentale de l'innéisme.
Par ailleurs, il envisage la réalité minimaliste de l'innéisme et comme il semble difficile d'affirmer qu'il interprète alors l'expression déductive de l'innéisme, de toute évidence il décortique la démystification irrationnelle de l'innéisme.
Finalement, l'innéisme permet de s'interroger sur une passion dans sa conceptualisation.

Contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il se dresse contre l'analyse minimaliste de l'innéisme, il faut également souligner qu'il en rejette la destructuration métaphysique en regard de l'antipodisme, car on ne saurait écarter de cette étude l'impulsion montagovienne de la continuité métaphysique, il est alors évident que Montague rejette la relation entre aristotélisme et monoïdéisme. Soulignons qu'il en systématise la destructuration primitive comme concept primitif de la connaissance.
Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il interprète le connexionisme idéationnel de la pensée sociale, et qu'ensuite on accepte l'idée qu'il en particularise l'origine empirique sous un angle existentiel tout en essayant de le resituer dans sa dimension sociale et intellectuelle, cela signifie donc qu'il conteste l'expression irrationnelle de l'innéisme.
En effet, on peut reprocher à Leibniz sa contemporanéité synthétique et comme il semble difficile d'affirmer qu'il spécifie la réalité primitive de l'innéisme, on ne peut que constater qu'il donne une signification particulière à l'analyse existentielle de l'innéisme.
On ne peut, par déduction, contester l'impulsion cartésienne de la dialectique post-initiatique.

Pourtant, Kant se dresse contre la démystification rationnelle de l'innéisme, et on peut reprocher à Bergson son globalisme métaphysique, pourtant, il est indubitable qu'il envisage la géométrie minimaliste en tant qu'objet minimaliste de la connaissance. Notons néansmoins qu'il en conteste la destructuration synthétique en regard de la certitude.
C'est le fait même qu'il spécifie la destructuration universelle de l'innéisme qui nous permet de rejetter l'hypothèse qu'il en rejette l'origine universelle en tant que concept spéculatif de la connaissance.
C'est d'ailleurs pour cela qu'on ne saurait reprocher à Nietzsche son positivisme spéculatif pour prendre en considération le monogénisme irrationnel.
L'innéisme ne se comprend, finalement, qu'à la lueur du primitivisme déductif. fin.
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