Le pub des poètes !
- 14 réponses
- 6 participants
- 707 vues
- 3 followers
oboreal
3747
Modérateur·trice thématique
Membre depuis 21 ans
Sujet de la discussion Posté le 25/11/2009 à 17:39:22Le pub des poètes !
Et si on parlait poésie un peu ?
Je vous propose de poster ici des textes poétiques (textes de chansons compris), écrits par vous ou par d'autres, mais qui vous ont particulièrement touché.
Si vous souhaitez seulement parler d'un poète que vous appréciez particulièrement, c'est ouvert aussi.
A vos plumes.
Je vous propose de poster ici des textes poétiques (textes de chansons compris), écrits par vous ou par d'autres, mais qui vous ont particulièrement touché.
Si vous souhaitez seulement parler d'un poète que vous appréciez particulièrement, c'est ouvert aussi.
A vos plumes.
[ Dernière édition du message le 25/11/2009 à 17:41:54 ]
- 1
- 2
oboreal
3747
Modérateur·trice thématique
Membre depuis 21 ans
2 Posté le 25/11/2009 à 19:11:39
Bon, en espérant vous motiver, je commence avec un texte que j'ai écris très récemment...
Et après ?
Il y a les prédicateurs qui annoncent la fin des temps
Les scientistes athées farceurs qui leurs donnent des arguments
Les polis ne tiquent pas, mais viennent battre la mesure
Du temps qui s’enfuit brûlant tant que monte le mercure
Un pied dans le précipice, l’homme croit qu’il peut se sauver
Aime kiffer la bonne conscience, celle du con qui va crever
Les sophistes aux dents de marbre descendent en courant des arbres
A prêcher de leurs mots rances, notre éternelle existence
On s’agite, on déblatère, à la surface de la sphère
Mais la fin est bien en route, et elle sent bon le mazout
Macaques délabrés plus que gentils bonobos, nous courons
Violeurs de notre terre, masochistes incestueux, nous jouissons
Comme des putains de gosses qui éprouvent les limites
De leur mère qui ne jouira qu’après leur mort subite
La faucheuse aiguise sa lame à la cime du dernier arbre,
Celui que nous couperons d’un ultime coup de sabre
Pour ériger à nos gloires une splendide stèle dorée
Nous seront beaux, grands, et fiers de nous être suicidés
Après nous, pas de néant, juste un autre univers
Dont le temps aura ôté, un atome de poussière
Oboreal
Et après ?
Il y a les prédicateurs qui annoncent la fin des temps
Les scientistes athées farceurs qui leurs donnent des arguments
Les polis ne tiquent pas, mais viennent battre la mesure
Du temps qui s’enfuit brûlant tant que monte le mercure
Un pied dans le précipice, l’homme croit qu’il peut se sauver
Aime kiffer la bonne conscience, celle du con qui va crever
Les sophistes aux dents de marbre descendent en courant des arbres
A prêcher de leurs mots rances, notre éternelle existence
On s’agite, on déblatère, à la surface de la sphère
Mais la fin est bien en route, et elle sent bon le mazout
Macaques délabrés plus que gentils bonobos, nous courons
Violeurs de notre terre, masochistes incestueux, nous jouissons
Comme des putains de gosses qui éprouvent les limites
De leur mère qui ne jouira qu’après leur mort subite
La faucheuse aiguise sa lame à la cime du dernier arbre,
Celui que nous couperons d’un ultime coup de sabre
Pour ériger à nos gloires une splendide stèle dorée
Nous seront beaux, grands, et fiers de nous être suicidés
Après nous, pas de néant, juste un autre univers
Dont le temps aura ôté, un atome de poussière
Oboreal
Anonyme
24659
3 Posté le 26/11/2009 à 13:41:52
Je ne sais pas si on peut vraiment parler de poésie, mais j'ai un faible pour ce texte de HF Thiéfaine que je trouve magnifique, malgrès son petit côté nawak:
Ecoute-moi... écoute moi mon amour... je claquerai connement la tête coincée dans un strapontin...
Ce sera pendant l'été de 1515 sur l'aéroport de Marignane... Je claquerai vraiment connement...
Mais je ressusciterai le troisième jour et ce troisième jour sera l'avant veille de l'attentat de Sarajevo...
Je passerai te chercher et tu me reconnaîtras facilement puisque j'aurai mon éternel chapeau à cran d'arrêt
Et que je porterai à la boutonnière une fleur de tournesol comme celle que tu aimes tant !...
Toi ! tu te jetteras dans mes bras et alors je te dirai
- Souviens-toi ! Souviens-toi, mon amour : J'étais beau comme un passage à niveau et toi tu étais douce
Douce comme les roubignolles d'un nouveau-né... souviens-toi...
On avait des scolopendres qui dansaient dans nos veines et
Un alligator au fond de la cuisine sur la droite en entrant... Mais si !...
Quand on entrait par la bouche d'incendie, dans ta bouche, il y avait des sirènes
Qui chuchotaient des mots... des mots qu'on avait oublié d'inventer... des mots qu'on avait oublié d'inventer
À cause de notre enfance malheureuse... de notre enfance malheureuse parce qu'on avait mal aux dents...
On avait mal aux dents parce que toujours on nous obligeait à manger des sucres d'orge et qu'on n'aimait pas ça !
Et puis après... Après, quand on se sera bien souvenu... Quand, fatigués de s'être souvenu...
Nos souvenirs ne seront plus que des loques... Alors... Je te prendrai par la taille et
Nous irons nous promener à l'ombre des tilleuls menthe... Tu me souriras... Je te rendrai ton sourire et
Dès lors... Dès lors nous ne saurons plus vraiment si ce que nous ressentons l'un pour l'autre
C'est de l'amour... De l'art... Ou du cochon !
Cette phrase est magnifique: "dans ta bouche, il y avait des sirènes qui chuchotaient des mots... des mots qu'on avait oublié d'inventer"
Ecoute-moi... écoute moi mon amour... je claquerai connement la tête coincée dans un strapontin...
Ce sera pendant l'été de 1515 sur l'aéroport de Marignane... Je claquerai vraiment connement...
Mais je ressusciterai le troisième jour et ce troisième jour sera l'avant veille de l'attentat de Sarajevo...
Je passerai te chercher et tu me reconnaîtras facilement puisque j'aurai mon éternel chapeau à cran d'arrêt
Et que je porterai à la boutonnière une fleur de tournesol comme celle que tu aimes tant !...
Toi ! tu te jetteras dans mes bras et alors je te dirai
- Souviens-toi ! Souviens-toi, mon amour : J'étais beau comme un passage à niveau et toi tu étais douce
Douce comme les roubignolles d'un nouveau-né... souviens-toi...
On avait des scolopendres qui dansaient dans nos veines et
Un alligator au fond de la cuisine sur la droite en entrant... Mais si !...
Quand on entrait par la bouche d'incendie, dans ta bouche, il y avait des sirènes
Qui chuchotaient des mots... des mots qu'on avait oublié d'inventer... des mots qu'on avait oublié d'inventer
À cause de notre enfance malheureuse... de notre enfance malheureuse parce qu'on avait mal aux dents...
On avait mal aux dents parce que toujours on nous obligeait à manger des sucres d'orge et qu'on n'aimait pas ça !
Et puis après... Après, quand on se sera bien souvenu... Quand, fatigués de s'être souvenu...
Nos souvenirs ne seront plus que des loques... Alors... Je te prendrai par la taille et
Nous irons nous promener à l'ombre des tilleuls menthe... Tu me souriras... Je te rendrai ton sourire et
Dès lors... Dès lors nous ne saurons plus vraiment si ce que nous ressentons l'un pour l'autre
C'est de l'amour... De l'art... Ou du cochon !
Cette phrase est magnifique: "dans ta bouche, il y avait des sirènes qui chuchotaient des mots... des mots qu'on avait oublié d'inventer"
the rain drop
1284
AFicionado·a
Membre depuis 19 ans
4 Posté le 26/11/2009 à 14:13:50
Un texte de bashung, particulièrement réussi :
Je passe pour une caravane
Pour un chien qui n'en démord pas
Le labyrinthe
Conduit l'homme mobile
A des étreintes
Loin du réconfort
Je passe de sas en sas
Et mes visites s'espacent
Des ombres s'échinent
A me chercher des noises
Le plus clair de mon temps
Dans ma chambre noire
De l'étuve au blizzard
Des coups de latte
Un baiser
Des coups de latte
Un baiser
Des coups de latte
Un baiser
Je passe sous silence mes avatars
Je passe sur tes frasques
M'obnubiler ? Pourquoi ?
Pour un vasistas
Loin du réconfort
Je passe de sas en sas
Et mes visites s'espacent
Mes élans me courent et m'entraînent
Vers d'autres riveraines
Vers la grande inconnue
Loin du réconfort
Je passe de sas en sas
Et tes visites s'espacent
Des ombres s'échinent
A me chercher des noises
Le plus clair de mon temps
Dans ma chambre noire
De l'étuve au blizzard
Des coups de latte
Un baiser
Des coups de latte
Un baiser
La classe !
Je passe pour une caravane
Pour un chien qui n'en démord pas
Le labyrinthe
Conduit l'homme mobile
A des étreintes
Loin du réconfort
Je passe de sas en sas
Et mes visites s'espacent
Des ombres s'échinent
A me chercher des noises
Le plus clair de mon temps
Dans ma chambre noire
De l'étuve au blizzard
Des coups de latte
Un baiser
Des coups de latte
Un baiser
Des coups de latte
Un baiser
Je passe sous silence mes avatars
Je passe sur tes frasques
M'obnubiler ? Pourquoi ?
Pour un vasistas
Loin du réconfort
Je passe de sas en sas
Et mes visites s'espacent
Mes élans me courent et m'entraînent
Vers d'autres riveraines
Vers la grande inconnue
Loin du réconfort
Je passe de sas en sas
Et tes visites s'espacent
Des ombres s'échinent
A me chercher des noises
Le plus clair de mon temps
Dans ma chambre noire
De l'étuve au blizzard
Des coups de latte
Un baiser
Des coups de latte
Un baiser
Citation :
"Des ombres s'échinent
A me chercher des noises"
La classe !
oboreal
3747
Modérateur·trice thématique
Membre depuis 21 ans
5 Posté le 27/11/2009 à 15:04:24
Que tout est noir : Damien Saez
Des jours qui ne ressemblent qu'à l'ombre des nuits
Des silences qui résonnent à l'âme comme un cri
Quand les paupières n'ont même plus la force des orages
Quand, porté par les flots, je ne vois plus rivage
Des amours qui sont nées aux mauvaises saisons
Quand l'printemps a tardé à ouvrir ses bourgeons
Des lunes toujours pleines qui ne me sourient plus
Comme jouer aux échecs quand la reine est perdue
Que tout est noir
Que tout est noir
Comment te dire
Que tout est noir
Comment j'ai peur
Comment j'ai froid
Comment te dire
Quand t'es pas là
Que moi sans toi
Ca ne veut rien dire
Comment te dire, dis-moi
Comment te dire
Que moi sans toi
C'est comme un rire
Qui trouve pas
Vers où mourir
Mes sciences qui ressemblent qu'à l'ombre du doute
Le bien qui fait du mal quand le mal vous envoûte
Quand au coeur de l'iris c'est le temps des moussons
Qui vient noyer le blé juste avant la moisson
Dans les travers du temps, je sais, je t'ai perdue
Et tu l'as dit cent fois, tu ne reviendras plus
Alors je peux partir comme un loup solitaire
Qui, blessé, s'en ira mourir auprès d'un hêtre
Moi, j'aurais tant voulu que cet être soit toi
Tant voulu avec toi être un autre que moi
Au profond de ton ventre faire plus belle la Terre
Oublier qui je suis et fermer les paupières
Que tout est noir
Que tout est noir
Comment te dire
Que tout est noir
Comment j'ai peur
Comment j'ai froid
Comment te dire
Quand t'es pas là
Que moi sans toi
Ca ne veut rien dire
Comment te dire
Comment te dire
Que moi sans toi
C'est comme un rire
Comme un triste navire
Qui sait pas où partir
Quand on est tellement seul que même la solitude
Vous semble être une amie dont on se passerait
Celle qui fut toujours là depuis le premier souffle
Qui depuis ce jour-là ne veut plus vous quitter
Quand vous ne savez plus qu'un jour vous saviez rire
Quand le mal a choisi votre âme pour empire
Quand tous les romantiques et les tristes du monde
Ont choisi votre coeur pour se mettre à pleurer
Que tout est noir
Que tout est noir
Comment te dire
Que tout est noir
Comment j'ai peur
Comment j'ai froid
Comment te dire
Quand t'es pas là
Que moi sans toi
Ca ne veut rien dire
Comment te dire, dis-moi
Comment te dire
Que moi sans toi
C'est comme un rire
Qui trouve pas
Vers où mourir
Des jours qui ne ressemblent qu'à l'ombre des nuits
Des silences qui résonnent à l'âme comme un cri
Quand les paupières n'ont même plus la force des orages
Quand, porté par les flots, je ne vois plus rivage
Des amours qui sont nées aux mauvaises saisons
Quand l'printemps a tardé à ouvrir ses bourgeons
Des lunes toujours pleines qui ne me sourient plus
Comme jouer aux échecs quand la reine est perdue
Que tout est noir
Que tout est noir
Comment te dire
Que tout est noir
Comment j'ai peur
Comment j'ai froid
Comment te dire
Quand t'es pas là
Que moi sans toi
Ca ne veut rien dire
Comment te dire, dis-moi
Comment te dire
Que moi sans toi
C'est comme un rire
Qui trouve pas
Vers où mourir
Mes sciences qui ressemblent qu'à l'ombre du doute
Le bien qui fait du mal quand le mal vous envoûte
Quand au coeur de l'iris c'est le temps des moussons
Qui vient noyer le blé juste avant la moisson
Dans les travers du temps, je sais, je t'ai perdue
Et tu l'as dit cent fois, tu ne reviendras plus
Alors je peux partir comme un loup solitaire
Qui, blessé, s'en ira mourir auprès d'un hêtre
Moi, j'aurais tant voulu que cet être soit toi
Tant voulu avec toi être un autre que moi
Au profond de ton ventre faire plus belle la Terre
Oublier qui je suis et fermer les paupières
Que tout est noir
Que tout est noir
Comment te dire
Que tout est noir
Comment j'ai peur
Comment j'ai froid
Comment te dire
Quand t'es pas là
Que moi sans toi
Ca ne veut rien dire
Comment te dire
Comment te dire
Que moi sans toi
C'est comme un rire
Comme un triste navire
Qui sait pas où partir
Quand on est tellement seul que même la solitude
Vous semble être une amie dont on se passerait
Celle qui fut toujours là depuis le premier souffle
Qui depuis ce jour-là ne veut plus vous quitter
Quand vous ne savez plus qu'un jour vous saviez rire
Quand le mal a choisi votre âme pour empire
Quand tous les romantiques et les tristes du monde
Ont choisi votre coeur pour se mettre à pleurer
Que tout est noir
Que tout est noir
Comment te dire
Que tout est noir
Comment j'ai peur
Comment j'ai froid
Comment te dire
Quand t'es pas là
Que moi sans toi
Ca ne veut rien dire
Comment te dire, dis-moi
Comment te dire
Que moi sans toi
C'est comme un rire
Qui trouve pas
Vers où mourir
anton.
3141
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 18 ans
6 Posté le 04/12/2009 à 03:49:24
Attendant sa vertu issue des pales conquêtes,
De ses couleurs enorgueillit
Voilà que germe une forme, quand la nature s’entête
Une fleur que nul n’a cueilli
Pétri des mains puantes d’un créateur gaucher,
La terre supporte cette âme qu’elle aime à recevoir
Ce fruit d’une saison aux arbres éméchés
Déjà moisi par un printemps qu’il peine à percevoir
Le ciel, seul spectateur de l’inanimé,
Offrit son regard clairvoyant
De ses tons crée l’harmonie innée,
Inondés d’instants chatoyants
Une branche aussi fléchie que désolée
Que son ennui avait pourrit
Jalousant l’herbe que le vent cajolait
Qu’une lourde chute aurait murit
La chair saignée, s’étalant goutte à goutte,
L’abeille vient en prendre le jus
Arrachant la substance de l’être à la déroute
L’infâme butineuse en a jouit
Les vers se délectent d’un fruit si désirable,
Aveugles d’appétits morbides
Se grandissent d’immondices exécrables
Le long de cette chair putride
Et des saisons passés,
Tombe sans geindre l’esprit vide qui faillit
Souffrir n’est pas assez
Pour l’au delà que les hommes ont trahi
Qui ronge la terre de son souffle vital
Loue ses tourments vers la grande armature
Offrant aux cieux un divin récital
Quand surgit en son cœur l’infâme créature
J'ai écrit ça il y'a quelques mois. Je ne dévoile jamais ce que j'écrit. Il y'a beaucoup de pudeur dans ces vers meme si ça ne se voit pas. Je pense que vous aurez devinez de quel poème ils sont inspirés. Ceci dit je ne suis pas non plus admiratif du personnage (vous devinerez de qui il s'agit) et je ne prétend pas offrir une aussi belle poésie de mots.
Il y'a des fautes de temps et des rimes pauvres parfois mais plus vraiment envie d'y toucher aujourd'hui.
De ses couleurs enorgueillit
Voilà que germe une forme, quand la nature s’entête
Une fleur que nul n’a cueilli
Pétri des mains puantes d’un créateur gaucher,
La terre supporte cette âme qu’elle aime à recevoir
Ce fruit d’une saison aux arbres éméchés
Déjà moisi par un printemps qu’il peine à percevoir
Le ciel, seul spectateur de l’inanimé,
Offrit son regard clairvoyant
De ses tons crée l’harmonie innée,
Inondés d’instants chatoyants
Une branche aussi fléchie que désolée
Que son ennui avait pourrit
Jalousant l’herbe que le vent cajolait
Qu’une lourde chute aurait murit
La chair saignée, s’étalant goutte à goutte,
L’abeille vient en prendre le jus
Arrachant la substance de l’être à la déroute
L’infâme butineuse en a jouit
Les vers se délectent d’un fruit si désirable,
Aveugles d’appétits morbides
Se grandissent d’immondices exécrables
Le long de cette chair putride
Et des saisons passés,
Tombe sans geindre l’esprit vide qui faillit
Souffrir n’est pas assez
Pour l’au delà que les hommes ont trahi
Qui ronge la terre de son souffle vital
Loue ses tourments vers la grande armature
Offrant aux cieux un divin récital
Quand surgit en son cœur l’infâme créature
J'ai écrit ça il y'a quelques mois. Je ne dévoile jamais ce que j'écrit. Il y'a beaucoup de pudeur dans ces vers meme si ça ne se voit pas. Je pense que vous aurez devinez de quel poème ils sont inspirés. Ceci dit je ne suis pas non plus admiratif du personnage (vous devinerez de qui il s'agit) et je ne prétend pas offrir une aussi belle poésie de mots.
Il y'a des fautes de temps et des rimes pauvres parfois mais plus vraiment envie d'y toucher aujourd'hui.
Plateau of mirrors Mon blog musique et création.
oboreal
3747
Modérateur·trice thématique
Membre depuis 21 ans
7 Posté le 04/12/2009 à 08:54:18
Content que tu nous ai dévoilé ce poème en tout cas.
Belle plume... J'espère te lire ici à nouveau.
Belle plume... J'espère te lire ici à nouveau.
anton.
3141
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 18 ans
8 Posté le 04/12/2009 à 20:52:45
Merci à toi. J'en attends d'autres, je risque de me sentir un peu seul sinon..
Plateau of mirrors Mon blog musique et création.
oboreal
3747
Modérateur·trice thématique
Membre depuis 21 ans
10 Posté le 05/12/2009 à 01:30:18
Citation de Gianni Andon :
J'en attends d'autres, je risque de me sentir un peu seul sinon..
Bah ouai mais fais un effort aussi, poste des poèmes un peu plus médiocres, parce que là passer derrière c'est un peu rude. ^^
- < Liste des sujets
- Charte
- 1
- 2