Grosse déprime !

Bonjour,

Je sais que j'aurais mieux fait d'aller chez un psy, mais rien de mieux qu'une bonne vielle tape sur l'épaule entre sondiers pour vous remettre d'aplomb, voire quelques conseils (bien plus efficaces qu'une boite de lexomil)... bref ! je m'explique :

Comme tout petit con qui débute dans la MAO, je tournais depuis quelques temps avec pas mal de soft cracké (paaaaaas bien !) mais voilà, maintenant que je me professionnalise dans les métiers du son, j'ai décidé de faire table rase du passé (et par là même, de mon PEL) en m'équipant entièrement de matos acheté dans le commerce le plus honnêtement du monde (bieeeeeeeeeeen) !

Me voilà donc, après quelques mois d'attentats à la carte bleue répétitifs, le cul sur un bon vieux fauteuil de bureau Ikea face à mon home studio. Et là, c'est le drame...

En gros, avant mes bonnes résolutions, je tournai sur un PC portable 3 ans d'âge ( IntelCore 2 duo, 2,00 GHz, 2Go de RAM) avec un CUBASE SX 3 cracké et la suite de plugs KOMPLETE 3 cracké (mais que fais la police !) et une M-AUDIO FIREWIRE SOLO.

Désormais, je me la pète devant les copains avec un IMAC tout neuf (Intel Core 2 Duo 3,06 GHz, 4Go de RAM sous SnowLeopard), une MBOX 2 PRO, PROTOOLS 8.03 et toujours la suite KOMPLETE 3 mais achetée d'occaz cette fois-ci !

Et voila le constat que je fais : avant, il m’arrivait de me retrouver avec des sessions cubase bourrées d'une 15aines d'instru virtuels, sans compter les inserts pour l'audio et cætera...
Et maintenant que j'ai une "config de batard" comme diraient les puristes, mon protools fait la gueule dès que je lui mets 5 pauvres instrus virtuels et dès que j'essais de repousser un peu les limites de la bête, PAF !!! Ptools de ferme carrément sans crier gare !!!

Alors me suis-je fais violement agrandir le trou du c** par digidesign ou le problème vient-il d'ailleurs ?

PS : par curriosité, ayant créé une partition windows sur mon Imac (c'est beau le progrès !) j'ai réinstallé mon ancienne config dessus, et là, fichtre bougre, 21 instrus virtuels plus tard, ce bon vieux "cu-cu" comme je l'appelle commence à peine à s'essouffler...

Docteur, aidez-moi, je sens que ça va mal !