Tous les avis sur Lollar Precision Bass Split-coil pickups

Micro chopé d'occasion (mais reçu neuf dans sa boite) pour mettre sur une pb Tokai de la fin des années 80 (modèle apb 57)

Le but était de remplacer le micro d'origine correct mais très chargé en médium et pauvre sur le reste du spectre par quelque chose de plus "smooth" et plus équilibré.

Mission plus qu'accomplie

Ma basse grogne toujours si besoin mais avec beaucoup plus de bas, des aigües et harmoniques bien plus agréables et un équilibre sur l'ensemble des cordes parfait.

On est clairement sur le haut du panier, j'ai également un hepcat sur une PJ, c'est de la même veine et aussi jouissif (le lollar est plus défini je trouve mais on est pas sur les mêmes combos de bois, c'est donc difficile à comparer)

du son du micro ici: https://soundcloud.com/philippe-krako/lollar-60-pbass-pickups

Comblé je suis et je referais ce choix sans hésiter

En attendant de refaire bobiner la bobine (micro grave d’origine) de ma Fender Precision Bass 74’, j'ai dû la "Lollariser" avec des Lollar Precision Bass Split-coil pickups, micros fabriqués aux USA par un gourou des micros guitare: Jason Lollar.

Caractéristiques: Patterned after the original split-coil humbucking bass pickup- wound to early 60's specs. Scatter wound for more harmonic presence. Punchy with good definition. Hand beveled Alnico 5 magnets, vintage cloth covered wire. Wax potted. Available in black covers only 11K.

Mes impressions après un test, succinct, réalisé en studio:
- growl impressionnant,
- sustain long (voir trop),
- réponse étendue avec un meilleur équilibre entre les cordes,
- clarté extrêmement magnifique,
- meilleure présence harmonique (sûrement due au “scatter wound”),
- dynamique avec une bonne définition.

Difficile de trouver des défauts, pour l'instant. J’attends de faire la comparaison avec le rembobinage de la bobine (micro grave d’origine) et des tests en Live.

Un tout petit bémol, son prix, mais très largement justifié en terme de qualité.
Je referais ce choix sans hésitation !

Musicalement,
Mitch