En fait, il s’agit là d’un module doté d’une façade réversible qui vous permet d’utiliser le Catalyst Sequencer ou le Catalyst Controller. Le premier est un séquenceur à 64 pas classique, alimentant huit canaux de sortie. Chaque sortie dispose de sa propre longueur, de son horloge de quantification et de division, de son réglage de transposition, de sa plage de tension ou encore de son réglage de randomisation.
Le second, Catalyst Controller, dispose de huit canaux de génération de CV et d’un crossfader qui permet de passer d’une scène à l’autre. Une scène est comme un instantané des niveaux de CV sur toutes les sorties, ce qui vous permet de passer d’un niveau de sortie à l’autre. Vous pouvez également utiliser les boutons pour passer d’une scène à l’autre ou utiliser un CV externe pour vous déplacer à votre guise.
Techniquement donc, pour le prix de $395, vous pouvez vous procurer deux modules. Rendez-vous sur le site de 4ms pour plus de détails.
-
KaameleonPosteur·euse AFfolé·ePosté le 26/01/2024 à 08:56:40400 balles pour avoir un bête sequencer ou un controler de cv trop grand… hum faut voir.
Si on peut faire du morphing entre 2 presets ça peut être cool mais toujours trop grand
On est à 200 brouzouf du nerdseq ! Autrement plus interessant ! -
philippe2Nouvel·le AFfilié·ePosté le 16/04/2024 à 22:16:55C'est sûr qu'on ne demande pas la même chose à un séquenceur pour faire des mélodies et des rythmiques qu'à un séquenceur qui se dédie à explorer le champ des possibles en matière de... séquences. C'est comme dire d'une bécane de trial, 'bof pas très confortable pour aller chercher le pain, je préfère mon Audi '...seulement si le but est de gravir une montagne... (bon c'est une analogie pour faire court car faut pas non plus que le chemin abrupte de montagne fasse plus de 60 km...). Bref t'iras toujours plus loin où tu veux aller si t'as les bons outils.
Perso, c'est -même si j'avais déjà le grand-père : voir ci-dessous - la version contrôleur CV (et même officiellement Gate maintenant) qui m'intéresse.
Même si on peut switcher en 2 secondes vers le séquencer en appuyant sur 3 boutons : ce sera un peu plus long pour celui qui veut le panel qui va avec (faut le retourner), mais après tout un simple panel en carton suffit pour t'y retrouver.
Donc pour reprendre la critique : 'pour faire du morphing entre 2 presets...'
Plus exactement on peut faire du morphing entre un point A (première scène) et un point B (dernière scène)) et là où je pensais qu'on pouvait insérer 6 scènes entre le départ A et l'arrivée B ...surprise de taille... en fait on peut aller jusqu'à un total de 64 scènes ! (dans ce cas d'utilisation mieux vaut piloter avec CV ultra lent pour savourer la progression du fader...) Ça fait une sacrée update pour l'heureux propriétaire que je suis du module dont il s'inspire : le fameux Catalyst de Emblematic (avé le crossfader de DJ pro qui lui n'a pas de trig, ni de reset, ni d'entrée CV pour s'amuser avec le motion rec par exemple.
La version d'Emblematic était déjà un prince du preset en morphing avec des options de friction et d'élasticité de mouvement du fader (4MS a gardé l'idée avec le slew linear ou expo), le Catalyst nouvelle génération (les prochains firmwares proposeront toujours plus d'options ) est pas loin d'en devenir le roi.
Juste une précision pour les acheteurs récents du module: faite de suite l'update du firmware en 1.1 avant de faire joujou avec car il y un bug sur celui présent (1.0) quand t'achètes le module.
3 fois rien, c'est juste impossible de sauvegarder .
J'étais un peu comme l'option en mode Gate (vert) au début, il se rallumait par défaut en mode Sequencer au lieu de Controller et impossible de sauvergarder la moindre scène ... avant de loucher du côté des forums de Mod Wig et finalement sur le site de 4MS dans la rubrique firmware.
Pour le prix, vraiment rien de choquant pour un double module (dans les terrains de jeux de ses camarades, Voltage Block, Preset de Polyend etc...) et quant au nombre de HP : je m'en fous comme de mon premier Cranial Saw dual VCO (le genre de joke qui ne fera sourire que les briscards du modulaire...)