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Un orchestre symphonique en 32 Mo

Alors qu'en matière d'orchestration symphonique, la mode est aux expandeurs virtuels basés sur plusieurs centaines de Giga de samples, une petite compagnie nommée Synful a choisi d'explorer la voix de la synthèse additive. Le résultat s'appelle Synful Orchestra et il vous met à la tête d'un orchestre symphonique VSTi/DXi occupant moins de 32 Mo de mémoire !

Mais le plus bluf­fant, c’est la façon dont la chose sonne, notam­ment au niveau des arti­cu­la­tions. Ne manquez pas d’al­ler jeter une oreille atten­tive dur les démos WMA dispo­nibles dans notre espace Médias.
Pour le reste, voici les carac­té­ris­tiques du trouble-fête :
  • Instru­ments RPM inclus : Piccolo, Flûte, haut­bois, cor anglais, clari­nette, clari­nette alto, basson, cor français, trom­pette, trom­bone, tuba, violon, violon alto, violon­celle, contre­basse.

  • Tech­no­lo­gie proprié­taire Synful RPM : modé­li­sa­tion de la tran­si­tion des notes, Recherche intel­li­gente des frag­ments de phrase, synthèse addi­tive, notes infi­nies sans recou­rir à des boucles.
  • Occu­pa­tion mémoire totale : 32 Mo.
  • 80 à 160 voix en temps réel sur un P4 1.5 GHz.
  • Compa­tible VSTi/DXi.
  • Contrôles RPM incluant 'Harmo­nic Tilt’, 'Harmo­nic Pari­ty’, 'Tran­sient Noise Trim’, 'Sustain Noise Trim’, 'Gain’, 'Tune’, 'Pitch Wheel Range’, 'Delay for Expres­sion’, 'Synful Pitch Wheel’ (pour un porta­mento réaliste et les effets de glissé).
  • Vibrato natu­rel contrôlé par la roue de modu­la­tion.
  • S’uti­lise comme une banque MIDI.
A noter qu’une version d’éva­lua­tion est dispo­nible sur le site de déve­lop­peur tandis que vous pouvez acqué­rir le plug-in pour la modique somme de… 358 €.
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    Arnaud Cueff(Los Teignos)
    Auteur·rice de l’article

    Si j'ai fait de la guitare et un peu d'harmonica classiques en ENM dans mon enfance, c'est en autodidacte que j'ai fait l'essentiel de ma formation en matière de musique comme d'audio. Après des études de Lettres Modernes, j'ai travaillé pour la presse spécialisée puis web, tant dans le domaine des instruments de musique que dans celui des jeux vidéo (d'où mon pseudo). Je suis monté à bord du bateau Audiofanzine en 2004 en tant que rédacteur en chef, fonction que j'ai laissée quelques années plus tard à Grégoire Nachbauer (Red Led) tout en gardant un pied dans l'éditorial, en conservant notamment la rédaction de l'édito envoyé chaque semaine via la newsletter hebdomadaire du site comme en réalisant des tests, dossiers et contenus vidéo sur mes sujets de prédilection.