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Créez votre VSL Symphonic Cube personnalisé

Vienna Symphonic Library vous propose de concocter votre propre bundle d’instruments virtuels Symphonic Cube et de profiter de cadeaux.

Le Sympho­nic Cube de VSL comprend 10 collec­tions Vienna Instru­ments. Durant tout le mois de juin, vous pouvez choi­sir les instru­ments que vous souhai­tez parmi une sélec­tion de 27, VSL vous offrira 4 des banques les moins chères (rembour­se­ment après achat). Vous pouvez égale­ment opter pour 20 Vienna Instru­ments Collec­tions, 8 d’entre elles vous seront offertes.

Pour créer votre Sympho­nic Cube person­na­lisé, vous pouvez choi­sir entre les Solo Strings, Cham­ber Strings, Orches­tral Strings, Appas­sio­nata Strings, Vienna Dimen­sion Strings, Harps, Wood­winds, Saxo­phones, Recor­ders, Brass, Special Brass, Vienna Dimen­sion Brass, Percus­sion, Elements, Vienna Impe­rial, Konzer­thaus Organ, Special Keyboards, Bösen­dor­fer Impe­rial, Vienna Choir et Vienna Solo Voices. De quoi vous faire un bel orches­tre…

Tous les détails de l’offre sont en ligne sur www.vsl.co.at.

  • hhub17 3113 posts au compteur
    hhub17
    Squatteur·euse d’AF
    Posté le 02/06/2015 à 17:24:45
    A ce prix-là, moi qui suis une quiche en composition et orchestration, je prends plutôt une Strato ou une Les Paul d'une certaine qualité.
    Mais force est de reconnaître que VSL, c'est pas mal et que cela couvre beaucoup des besoins du symphoniste ou musicdefilmiste.
  • cslevine 738 posts au compteur
    cslevine
    Posteur·euse AFfolé·e
    Posté le 03/06/2015 à 10:25:17
    OK les sonorités des instruments paraissent belles et très réalistes, bluffantes... lorsqu'on écoute un morceau.
    Mais ce j'aime pas dans Vienna, outre des prix complètement surréalistes, c'est plusieurs choses :

    1.le système tout sauf naturel des "articulations", le vieux contournement pour pallier l'effet mitraillette des samples, consistant à faire plus de la programmation que d'avoir la sensation de jouer d'un instrument.
    Alors que Synful Orhcestra / Wallander / ... réussissent l'exploit de calculer les transitoires en temps réel !
    2. les trilles / glissandis / ... pré-enregistrés.
    C'est un peu la démarche de piller dans du sample, à ce moment là.
    Pour jouer une oeuvre existante, c'est des compromis du style utiliser un trille majeur car y'a pas en mineur...
    et perdre le côté "ce que je vois en MIDI est ce que j'entends" ( le WYSIWYG pour le MIDI )
    3.les seulement 3 couches de nuances, qu'on entend clairement pour chaque instrument : ppp / mF / FFF
    ce qui par exemple s'entend dans la géniale transcription du Sacre faite par un américain. Ca sonne très bien globalement... mais j'entends pas mal d'endroits dans lesquels Synful Orchestra / Wallander / Sample modelling donnent des résultats beaucoup plus "musicaux", naturels.

    Notament quand on analyse les samples de la harpe de Vienna, dans Kontakt, on voit clairement par corde les 3 niveaux de vélocités. Sons superbement enregistrés, mais quoi on est en 2015 et 3 niveau de vélocités... icon_facepalm.gif


    et ce pour les très modiques sommes équivalantes à payer de vrais musiciens...
    + la lourdeur des banques de samples qui doivent peser des gigas et des gigas sur un disque dur qu'il faut du SSD
    Bref les années 90.

    Quand au côté parfois encore un peu "synthé" des modèles physiques,
    bah, je dirais que statistiquement dans le Sacre joué par Vienna, j'ai aussi cette impression, ( mais pas très souvent ) de "boîte à sample".


    donc rapport qualité / poids / prix pour VSL euh ben.... voilà...

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Esther Banshee(Banshee in Avalon)
Auteur·rice de l’article

Musicienne semi-professionnelle depuis plus de 25 ans, j'ai commencé par apprendre à jouer du piano, puis de la guitare dès mon plus jeune âge, avant d'explorer ma voix et d'en faire mon instrument principal. Si mes oreilles aiment s'aventurer dans tous les univers musicaux, le blues, le rock et le metal restent mes styles de prédilection. De nombreux groupes m'ont fait confiance au fil des années, ce qui m'a permis de rencontrer et de travailler avec des artistes(nes) et des ingénieurs(es) talentueux(ses) auprès de qui j'ai pu apprendre ces passionnants métiers de la musique. J'ai initialement rejoint l'équipe d'Audiofanzine en 2007 afin de mettre en place la version espagnole du site (localisation puis traduction et rédaction de contenus), avant d'officier sur le site français en tant que rédactrice de news et de tests. J'ai également traduit des contenus pour le site anglais. Dès 2013, plusieurs marques de l'audio ont fait appel à mes services de traduction et mon catalogue s'est peu à peu étoffé. En 2020, j'ai quitté mon poste de rédactrice à plein temps chez AF pour me consacrer entièrement à la traduction pour une dizaine de marques réputées du secteur. Je reste toutefois proche de l'équipe et tente de répondre présente dès que je le peux pour faire vivre le désormais grand site bleu.