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loic_salsero « Un piano de scène de qualité professionnel »
Publié le 19/06/16 à 15:11
Rapport qualité/prix :
Correct
Cible :
Les utilisateurs avertis
Le CP5 est un piano de scène de qualité professionnelle, de par :
- sa construction,
- ses possibilités d’édition des sons ou « Performances » avec Effets et Layer et Split,
- la quantité des « Performances » et de des voix d’usine
- sans oublier l’expressivité exceptionnelle de son toucher qu’on peut qualifier de lourd, mais qui est en fait un bon compromis permettant aussi de jouer des sons orgues ou de synthé.
Une fois maîtrisée l’interface de son panneau de commande, le CP5 est un fabuleux piano, en particulier pour les pianistes qui exploiteront l’expressivité du toucher de son clavier, mais aussi pour d’autre musiciens qui profiteront des nombreux sons de qualité disponibles, y compris pour la scène où les « Performances » créées à l’avance par des sons superposés ou splittés seront rapidement disponible.
Ce piano est malheureusement desservi par une ergonomie peu intuitive, qui n’est pas insurmontable, mais qui dénote par rapport à d’autres pianos de scène de même catégorie : son successeur le CP4/CP40, le Yamaha Motif XF8 (le seul Motif toucher lourd) ou le Roland RD800, ou même des claviers de catégorie entrée de gamme (Roland FA06/FA08 qui n’offrent pas cependant un toucher de même expressivité).
- absence de mode « VOICE » : Pour jouer un son choisi par sa catégorie d’instrument il faut créer, ou commencer à créer une Performance ce qui conduit à choisir une voix par la catégorie d’instrument (c’est donc possible, mais moins direct et intuitif que sur d’autres pianos de scène)
- le mode « Layer » simplement activé par l’extinction de la touche SPLIT, est obscure à paramétrer, et sa description dans le manuel de référence est même difficile à trouver.
C’est cet inconvénient du CP5 qui justifie l'aide mémoire que je met à disposition dans la rubrique "Médias" de AF. Cet aide mémoire, pourtant basé sur les manuels Yamaha, en améliore la lisibilité, et pointe les informations pratiques perdues dans le long texte (cf. paragraphe OU trouver QUOI ?).
- sa construction,
- ses possibilités d’édition des sons ou « Performances » avec Effets et Layer et Split,
- la quantité des « Performances » et de des voix d’usine
- sans oublier l’expressivité exceptionnelle de son toucher qu’on peut qualifier de lourd, mais qui est en fait un bon compromis permettant aussi de jouer des sons orgues ou de synthé.
Une fois maîtrisée l’interface de son panneau de commande, le CP5 est un fabuleux piano, en particulier pour les pianistes qui exploiteront l’expressivité du toucher de son clavier, mais aussi pour d’autre musiciens qui profiteront des nombreux sons de qualité disponibles, y compris pour la scène où les « Performances » créées à l’avance par des sons superposés ou splittés seront rapidement disponible.
Ce piano est malheureusement desservi par une ergonomie peu intuitive, qui n’est pas insurmontable, mais qui dénote par rapport à d’autres pianos de scène de même catégorie : son successeur le CP4/CP40, le Yamaha Motif XF8 (le seul Motif toucher lourd) ou le Roland RD800, ou même des claviers de catégorie entrée de gamme (Roland FA06/FA08 qui n’offrent pas cependant un toucher de même expressivité).
- absence de mode « VOICE » : Pour jouer un son choisi par sa catégorie d’instrument il faut créer, ou commencer à créer une Performance ce qui conduit à choisir une voix par la catégorie d’instrument (c’est donc possible, mais moins direct et intuitif que sur d’autres pianos de scène)
- le mode « Layer » simplement activé par l’extinction de la touche SPLIT, est obscure à paramétrer, et sa description dans le manuel de référence est même difficile à trouver.
C’est cet inconvénient du CP5 qui justifie l'aide mémoire que je met à disposition dans la rubrique "Médias" de AF. Cet aide mémoire, pourtant basé sur les manuels Yamaha, en améliore la lisibilité, et pointe les informations pratiques perdues dans le long texte (cf. paragraphe OU trouver QUOI ?).