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Sondage: Quel compresseur sur la caisse claire ?

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Sujet de la discussion Sondage: Quel compresseur sur la caisse claire ?
Bonjour à tous

Un petit post pour faire un tour d'horizon des compresseurs que vous utilisez sur la caisse claire

[ Dernière édition du message le 20/11/2017 à 16:51:46 ]

2
Nobody !!!!
3
j ai un set un peu special en analogique en live. Micro SN top et un SN bottom, ça passe ensuite par un transcient designer TD4 puis un expander/gate symetrix pour arriver enfin au comp. Pour le comp c est soit un VCA ou un FET. En VCA du dbx 166 ou un BSS dur 404 0u 402. En Fet toft DC2 ou bien purple audio action.

[ Dernière édition du message le 23/06/2018 à 20:05:24 ]

4
A la prise : SSL série G ou 1176 (suivant ce que je cherche). Au mix, j'adore les plugs Duende de SSL.
5
@rroland

Je n'ai pas compris l'interet (avec des enregistrements 24 bits numériques) de compresser à la prise.

N'est ce pas identique de cumuler ta compression de prise plus ta compression de mix (dans le bon ordre) sur un fichier audio de prise RAW (brut sans AUCUN traitement) ou faire ce que tu fais (compresser la prise en temps réel) puis appliquer une compression ultérieure au mix ?

C'est le coté "définitif" du traitement de prise que tu recherches ?

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Je fais cela avec de vraies machines à la prise, parce que j'aime que le son possède déjà une orientation (une signature sonore), et que cela sonne correctement dès la prise. J'utilise très souvent des "channel strips" SSL (FX G383 et 384 et XLogic essentiellement, et je suis fan du 33609 Neve sur le kick), et j'applique donc dès la prise de l'égalisation et de la compression. Je ne vais pas refaire le débat "hardware vs plug in", mais à la prise je ne passe que par du hardware de qualité.

Si besoin, je retouche au mixage, mais (sauf exception), c'est rarement important. Et cela se fera soit via la console, soit via des plug in (voire les deux). Je considère qu'une batterie (et le reste) doit déjà sonner de manière crédible à la prise. Bien entendu, j’évite (sauf exceptions) des compressions extrêmes, vu que c'est fait au hardware, sans possibilité de "undo".
7
+10 pour ce point de vue précis, justifié et tellement de bon sens.

Je pense qu'il est important, si ça ne fait pas déjà partie du processus, de se demander "pourquoi" et "comment" compresser un signal. La réponse induira de facto le choix du traitement. L'habitude aidant, cela permettra de voir plus loin plus rapidement, et permettra de faire des choix décisifs dès la captation.

[ Dernière édition du message le 04/09/2018 à 21:42:20 ]

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Comme l'écrit gulistan, l'habitude aidant, on sait mieux ce que l'on cherche, ou ce qui est demandé par les musiciens. Quand j'ai débuté (en analogique) je n'osais pas trop égaliser ou compresser, et il me fallait beaucoup de temps au mixage.

Aujourd'hui, je considère que le temps passé à la prise est du temps gagné au mixage.

Voici un extrait de ce que donne une mise à plat en fin de journée, sans aucune Eq ou compression appliquée sur ce mixage hyper rapide : le son tel qu'il a été enregistré, et des ajustements au niveau des volumes pour le "rough mix" plus une petite reverb pour lier le tout.



https://we.tl/t-N5Ia08dnmx
9
La compression du bus batterie se fera plutôt au mixage. Quand je le fais, j'évite de compresser les OH et cymbales (parce que cela fait aisément pomper la batterie)et j'envoie toute le reste dans un bus.