Sujet de la discussionPosté le 10/03/2019 à 03:30:47Sous le Nopal
Sous le Nopal
La Terre perd ses pôles, fallait bien que ca arrive un jour ou l'autre.
et comme elle n'en a que deux à l'origine, on est bien obligé de reconnaitre qu'au final, ce sont plutot les pôles qui perdent la Terre.
Ca engendre tout un tas de choses, et la Terre finit par perdre un de ses sommets,
Le Qunuqpuqru, une montagne en Amerique Latine, se trouve cisaillé comme une vulgaire dent carriée et contraint de s'en remettre à l'espace,
sans meme le luxe de se retrouver en orbite.
Avec bien sur les gens qui sont dessus et les gens qui sont dessous.
Tout un monde, qui va devoir se faire et se devoir se defaire, je ne vais pas m'etendre plus que ca, les pages de Sylvie Taussig ont le vocabulaire qu'il faut pour vous expliquer tout ca en details.
Moi par contre, cette aventure m'a inspirée 7 pieces musicales,
les mots qu'elles utilise, les scenes que ce roman suggere, l'ambiance et les accords qui peuvent en decouler.
Parce que pour le coup, voila bien un roman qu'on peut parfaitement mettre en accords
Sous le Nopal donc, de Sylvie Taussig
Elles sont très chouette tes sept pièces, les guitares et les pianos électriques sont très élégants. Par contre Frédéric, t'es pas raisonnable ... la nuit, on dort ...
Oui c'est vrai,
Tu as raison,
la nuit est faite pour dormir, mais le dimanche matin de 7h17 est encore plus fait pour se reveiller non ?
Et alors la, parvenir à te chopper ainsi au saut du lit, et à cette heure pour le moins matinale, en plein 7h17 !!!, l'insomnie chercherait à se trouver (voire meme à se forger) un alibi qu'elle ne s'y prendrait pas autrement...
Merci pour ton ecoute
Un roman mis en image donc, mais sans la camera,
7 scenes avec toujours la meme rethorique, 2 accords pas un de plus, pas un de moins, pour comprendre que la solution n'est pas la, qu'elle n'a jamais été la et qu'elle ne sera jamais la.
Enfin moi, c'est comme ca que j'interprete