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Sebounet « Indispensable »
Publié le 09/03/14 à 20:22Rack avec commandes en façade avant, lcd petit, sérigraphie discrète, une paire de sorties, trio MIDI, polyphonie light et au mieux bi-timbralité. A l'ère du numérique et de pro-tools, il vaut mieux considérer enregistrer "piste par piste". Ainsi, toute la puissance du D550 peut se déployer pour chaque son. Il ne s'agit pas d'une workstation, mais d'un authentique synthétiseur. 64 sons sauvegardables en interne et slot pour carte RAM ou ROM. Ce n'est pas une usine à gaz mais un redoutable producteur de son.
UTILISATION
Très difficile. La programmation et l'ergonomie m'avaient à l'époque découragé d'utiliser un D50. Ayant depuis racheté un d550, je constate que l'utilisation de ROM cards multiplie par 1000 les capacités de production de l'engin. Si les cartes sont bonnes (et les miennes le sont), on voit alors l'engin déployer un potentiel monstrueux. Disons que les sons d'usine ne disent rien, car trop entendus et trop prévisibles. Les cartes ROM permettent par contre de magnifier le potentiel. La synthèse LA me fait un peu penser à la synthèse modulaire de mon K2000, y compris dans l'imprévisibilité des résultats... Et dans le très grand nombre de paramètres éditables. Attention, il faut que le clavier-maître donne beaucoup de vélocité. Avec un clavier-maître donnant peu de vélocité, le D550 ne montre pas tout son potentiel.
SONORITÉS
Waah. C'est moelleux, profond, large, typé et chaleureux. Les chorus me plaisent particulièrement, ainsi que les reverbs, pas précises mais qui typicisent le son. Chaque son est authentique, minéral et avec un grain inimitable. Le filtre me convainc un peu moins, mais c'est personnel. Dans un mix, le D550 ressort de toute façon. Je l'ai passé dans un Virtualizer MKII, et là ça décolle complètement. La qualité des pads est au niveau de mon K2000, soit exceptionnelle, mais dans un registre différent, plus minéral. Les leads vocaux sont meilleurs que tout ce que je peux sortir de mes Proteus. On peut définir des sons apériodiques qui rappellent ceux de mon VZ1.
AVIS GLOBAL
A posséder absolument. Un outil revêche et unique. Oubliez les sons ultra-connus, la réelle force du D550 est dans le chemin que VOUS lui donnerez.
UTILISATION
Très difficile. La programmation et l'ergonomie m'avaient à l'époque découragé d'utiliser un D50. Ayant depuis racheté un d550, je constate que l'utilisation de ROM cards multiplie par 1000 les capacités de production de l'engin. Si les cartes sont bonnes (et les miennes le sont), on voit alors l'engin déployer un potentiel monstrueux. Disons que les sons d'usine ne disent rien, car trop entendus et trop prévisibles. Les cartes ROM permettent par contre de magnifier le potentiel. La synthèse LA me fait un peu penser à la synthèse modulaire de mon K2000, y compris dans l'imprévisibilité des résultats... Et dans le très grand nombre de paramètres éditables. Attention, il faut que le clavier-maître donne beaucoup de vélocité. Avec un clavier-maître donnant peu de vélocité, le D550 ne montre pas tout son potentiel.
SONORITÉS
Waah. C'est moelleux, profond, large, typé et chaleureux. Les chorus me plaisent particulièrement, ainsi que les reverbs, pas précises mais qui typicisent le son. Chaque son est authentique, minéral et avec un grain inimitable. Le filtre me convainc un peu moins, mais c'est personnel. Dans un mix, le D550 ressort de toute façon. Je l'ai passé dans un Virtualizer MKII, et là ça décolle complètement. La qualité des pads est au niveau de mon K2000, soit exceptionnelle, mais dans un registre différent, plus minéral. Les leads vocaux sont meilleurs que tout ce que je peux sortir de mes Proteus. On peut définir des sons apériodiques qui rappellent ceux de mon VZ1.
AVIS GLOBAL
A posséder absolument. Un outil revêche et unique. Oubliez les sons ultra-connus, la réelle force du D550 est dans le chemin que VOUS lui donnerez.